mercredi 3 décembre 2025
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Mini-Transat. Prologue dimanche en attendant un départ possible mercredi

village de la Mini Transat la BOULANGERE 2019 dans le bassin des chalutiers à La Rochelle. @ C. Breshi

La patience reste de mise pour les 87 femmes et hommes engagés dans la Mini-Transat La Boulangère 2019 qui attendent que les conditions de vent et de mer soutenues dans le golfe de Gascogne et au large du cap Finisterre se calment et qui ne laissent pas entrevoir de possibilité de départ avant mercredi au plus tôt. En attendant es marins vont profiter d’un bon tour de chauffe demain avec un prologue de 34 milles en baie de La Rochelle, dont le départ sera donné à 14h15 et qui s’annonce spectaculaire. De 10h à midi, le public rochelais pourra assister à la sortie des bateaux du Bassin des Chalutiers.

La situation des marins de la Mini-Transat La Boulangère est particulière. Normalement, ils auraient dû prendre le départ de la première étape demain, dimanche 22 septembre, mais la météo en a décidé autrement.

« Jusqu’à mercredi, la porte est complètement fermée »
Météorologue de la Mini-Transat La Boulangère, Christian Dumard explique la situation : « Jusqu’à mercredi, voire jeudi, les conditions seront fortes dans le golfe de Gascogne avec du vent fort de face et des vagues à la fois hautes et dont la période est courte. C’est une situation très compliquée pour des Mini 6.50. Ensuite, il y a de l’incertitude sur l’évolution de la situation. Une nouvelle dépression devrait arriver vendredi mais on ne peut pas encore bien anticiper son déplacement. L’objectif est que les concurrents naviguent dans des conditions maniables jusqu’au cap Finisterre. » Denis Hugues, le directeur de course, complète : « On se fixe une limite de mer maximum dans laquelle on n’enverra pas les concurrents. Tant que la hauteur des vagues dépasse 3 mètres, on ne donne pas le départ. Jusqu’à mercredi, la porte est complètement fermée. Les conditions semblent devoir bien s’améliorer en fin de semaine prochaine mais si on peut lancer la course avant, on le fera. Nous sommes prêts à prévenir les concurrents 48 heures à l’avance. »

Au programme demain, un prologue de 34 milles en baie de La Rochelle
S’il va falloir patienter pour assister au départ de la première étape de la Mini-Transat La Boulangère, il y aura tout de même du spectacle demain à La Rochelle. De 10h à midi, le public pourra assister à la parade de sortie du Bassin des Chalutiers et à la présentation des skippers. Puis, à 14h15, les 87 Mini 6.50 prendront le départ du prologue. Au départ et à l’arrivée de La Rochelle, le parcours sera long de 34 milles. Cette course sans enjeu sportif devrait se dérouler dans un vent d’Ouest/Sud-Ouest de 13 à 17 nœuds, avec des rafales à 25 nœuds. « Les conditions seront assez toniques et les marins auront la possibilité d’embarquer jusqu’à deux équipiers », précise Denis Hugues.

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Défi Azimut. Charal confirme aux 48H Azimut

Lorient La Base, Défi Azimut 2019. Lorient La Base, Défi Azimut 2019. Jeudi 19 septembre, départ des 48heures. @ Y. Zedda

L’Imoca Charal de Jérémie Beyou s’est imposé de bout en bout aux 45H Azimut. Une victoire qui vient après celle de la Fasnet et qui confirme que le premier foiler de dernière génération est maintenant bien maîtrisé par son skipper et son équipe. PRB, deuxième montre que le tandem Escoffier/ Lunven sera bien présents sur la Jacques Vabre. Tout comme Charlie Enright & Pascal Bidegorry sur 11th HOUR, l’ex-Hugo Boss qui rste une superbe machine rapidement prise en main par le duo.
Le foiler VPLP ne vole peut-être pas 100% du temps dans la grosse brise qui a accompagné la flotte sur les deux premiers bords, mais sait parfaitement gérer sa capacité d’accélération pour garder la tête comme l’explique Pascal Bidégorry : « On a poussé très fort 11th Hour . Pendant que tu es à fond, tu sens que Charal gère. On les imagine plus cool à bord ! ». Kevin Escoffier de PRB pense de son côté que le vol donne à Charal plus de polyvalence « Leur aisance en vitesse leur permet de choisir leur trajectoire. Ils peuvent se permettre de naviguer sous toilé en cherchant d’autres angles que nous pour accélérer. Du coup, ils changent aussi moins de voile, ce qui coûte toujours cher sur ces bateaux ».

Côté bateau à dérives, Apicil a surpris tout son monde. Le plan Finot Conq 2007 mené par Damien Seguin (déjà 6ème à la Route du Rhum) et Yoann Richomme termine cinquième et naviguait clairement un cran au dessus au portant. Pour les intéressés néanmoins, « ce n’est pas une surprise. On savait qu’on avait la bonne voile pour faire cette première partie du parcours. On a tiré fort sans se mettre non plus dans le rouge. » commentait sobrement Damien Seguin sur les pontons à son arrivée.

Gros rythme et haut niveau
L’erreur, ou la petite avarie coûtait cher sur ces 48 heures. C’était vrai au portant quand les bateaux fonçaient à plus de 20 nœuds de moyenne. Ce le fut aussi cette nuit au près où il fallait trouver le bon dosage en latitude pour ne pas tomber dans la zone de pétole au Sud de la route. Une zone avec laquelle est allé flirter de trop près Apicil qui a vu Banque Populaire X revenir comme un boulet « Armel ne laisse rien passer et il a fallu s’arracher sur les réglages toute la nuit après notre petite erreur stratégique d’hier soir » concédait Yoann Richomme. Ce dernier bord a été fatal à plusieurs bateaux comme La Mie Câline qui perd cinq places en une nuit…
Certains s’avouaient à l’arrivée surpris par le très gros rythme tenu par les leaders. Yannick Bestaven qui hisse son Maitre Coq IV à la quatrième place reconnaît « avoir tiré très fort sur la machine. On a fait quelques plantés où tu redescends de 30 à 18 nœuds, il faut vraiment que les bateaux soient solides ! » Même satisfaction du coté de Samantha Davies qui expliquait « Si le vent avait été plus fort, il aurait fallu ralentir pour préserver le matériel. Là, pas du tout, et c’est rassurant de voir que le bateau tient quand on est à 100 % du potentiel. »
Et ce ne sont pas les media men qui vont démentir les skippers. Hommes et femmes de l’ombre dérushent ce soir leurs photos et vidéos en prévision du concours dont le prix sera décerné dimanche après le Tour de Groix. Et de l’avis de tous, la vie à bord des derniers IMOCA est un enfer !

L’importance des voiles
Le choix de la bonne voile d’avant sur une course qui s’est déroulée aux deux tiers au portant était essentiel. Certains ont multiplié les changements, toujours coûteux en énergie et en distance, quand d’autres comme Apicil ou 11th Hour ont fait toute la course avec le même « reacher ». Dans une mer très courte, la capacité à ne pas enfourner était primordiale et chacun tâtonne encore sur la combinaison idéale dans ces conditions. « L’idéal serait d’avoir à poste 2 galettes d’enrouleur. Une pour une voile en tête, l’autre pour le capelage. C’est très important de pouvoir jongler facilement » expliquait Yannick Bestaven.

Les nouveaux foilers ont encore du boulot !
Côté nouveautés, la meilleure performance est à mettre à l’actif de MACSF, toujours dans le coup et qui termine à une belle huitième place malgré le temps d’entrainement très bref sur ce plan de 2007 transformé en foiler. Sur Advens for Cybersecurity, Thomas Ruyant et Antoine Koch ont longtemps été dans le top ten, et pour la troisième sortie du bateau dans ces conditions, c’est très satisfaisant. « On a une bonne job list pour tirer un peu plus sur le bateau. Il faut y aller step by step mais on a pris nos marques, testé plein de configurations de voiles. On ne s’attendait pas à pouvoir participer aussi pleinement à cette belle fête de l’IMOCA » s’enthousiasmait Thomas Ruyant à son retour.
La course a visiblement laissé un goût plus amer à Sébastien Simon sur Arkéa Paprec. C’est l’aîné du bord qui prenait le micro et relativisait la 11ème place du plan Juan Kouyoumdjian : « On n’est pas parvenu à voler au vent arrière reconnaissait Vincent Riou. Pour voler, il faut que tout marche. Nous avons aussi fait de mauvais choix de voiles, nous n’avons peut-être pas été assez agressifs. Mais on a terminé le parcours, on va naviguer dimanche autour de Groix et c’est positif de ne pas avoir eu de gros pépin. »

LE CLASSEMENT DES 48H AZIMUT
1. CHARAL Jérémie Beyou & Christopher Pratt 1j 18h 43min 46s
2. PRB Kévin Escoffier &Nicolas Lunven 1j 20h 08min 52s
3. 11th HOUR Charlie Enright & Pascal Bidegorry 1j 20h 45min 47s
4. MAITRE COQ IV Yannick Bestaven & Roland Jourdain 1j 21h 19min 08s
5. GROUPE APICIL Damien Seguin & Yoann Richomme 1j 22h 11min 26s
6. BANQUE POPULAIRE X Clarisse Crémer &Armel Le Cléac’h 1j 22h 16min 51s
7. INITIATIVES COEUR Samantha Davies & Paul Meilhat 1j 22h 18min 31s
8. MACSF Isabelle Joschke & Morgan Lagravière 1j 23h 42min 27s
9. V AND B – MAYENNE Maxime Sorel & Guillaume Le Brec 2j 00h 14min 48s
10. BUREAU VALLÉE 2 Louis Burton &Davy Beaudart 2j 00h 20min 54s
11ARKÉA PAPREC Sébastien Simon & Vincent Riou 2j 01h 28min 22s
12 CORUM L’EPARGNE Nicolas Troussel &Jean Le Cam 2j 02h 02min 25s
13 PRYSMIAN GROUP Giancarlo Pedote & Anthony Marchand 2j 02h 16min 57s
14 NEWREST – ART & FENÊTRES Fabrice Amedeo & Éric Péron 2j 02h 20min 31s
15 LA FABRIQUE Alan Roura & Sébastien Audigane 2j 02h 40min 33s
16 ADVENS FOR CYBERSECURITY Thomas Ruyant & Antoine Koch 2j 02h 41min 11s
17. LA MIE CÂLINE – ARTIPÔLE Arnaud Boissières & Xavier Macaire 2j 02h 57min 34s
18 Groupe SETIN Manuel Cousin & Gildas Morvan 2j 04h 28min 39s
19 PURE Romain Attanasio & Sébastien Marsset 2j 04h 43min 02s
20 TIME FOR OCEANS Stéphane Le Diraison & François Guiffant 2j 05h 33min 00s

ABD. Vers un monde sans SIDA Erik Nigon & Vincent Le Serec

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SailGP. Début de la Super finale à Marseille, comment suivre les courses ?

La météo s’annonce assez automnale avec l’arrivée d’un flux d’Est soutenu. Même si la rade nord est relativement protégée, ce vent de terre sera fort et très rafaleux. Surventes et bascules vont rythmer les régates. La Super Finale de la saison 1 de SailGP risque donc d’être assez ‘rock’n’roll’ ! La journée de vendredi sera probablement la plus maniable de toutes.

Billy, Marie, Matthieu, Devan, Olivier et Timothé se préparent à cette échéance à domicile. Avec sérieux, concentration, envie, mais aussi beaucoup de réalisme et d’humilité. Depuis ses premiers bords à Sydney en février dernier, l’équipage a passé plusieurs caps dans le maniement du F50. « Nous ne réussissons pas encore tout à 100%, mais on commence à entrer dans les détails. Sur ces bateaux très technologiques, ce sont ces mêmes détails qui font la différence explique Billy Besson. Alors on cherche, on tâtonne, c’est le propre de la performance. On est toujours dans une phase de progression ».

Billy Besson : « on a tout à gagner »
L’étape de Cowes, très prometteuse, a aussi fait évoluer les esprits. « Chacun a vraiment pris son rôle, sa place à bord. Une confiance mutuelle s’est installée, confie Marie. Billy est plus libéré pour barrer le bateau et c’est le cas pour tout le monde. Si chacun reste dans cette dynamique de concentration maximale et que les planètes s’alignent, alors on peut espérer faire quelque chose de bien ».
Les quatre régates d’entraînement disputées ce jeudi dans le petit temps ont d’ailleurs montré que l’équipe pouvait rivaliser dans le trio de tête. Alors peuvent-ils espérer grimper au classement général ?

Mathématiquement, la troisième place, derrière les intouchables Australiens et Japonais, est encore accessible. Pour cela, les Français doivent battre leur rivaux chinois, anglais et américains. « Ce serait la cerise sur le gâteau, poursuit Marie, car on reste sur un objectif de travail avec des ambitions pour la saison prochaine. Mais si on reste nous-mêmes, si nous arrivons à bien mettre en place la communication entre nous, on peut espérer quelque chose de bien. »

« On a tout à gagner, enchaîne Billy. Alors on va essayer d’augmenter la prise de risque pour pouvoir jouer devant ».

Ils ne seront pas les seuls. Et cette prise de risque sera liée à la météo. C’est elle qui donnera le tempo sur ces trois jours de régate et peut-être faudra t-il d’abord veiller à rester à l’endroit et à ne pas casser avant de penser attaquer.

Rappel du classement général provisoire :

1- Australie, Tom Slingsby, 169 points
2- Japon, Nathan Outteridge, 165 pts
3 -Etats-Unis, Rome Kirby, 123 pts
4 – Grande-Bretagne, Dylan Fletcher, 120 pts
5 – Chine, Phil Robertson, 117 pts
6- France, Billy Besson, 115 pts

Programme 
20 septembre // Ouverture de la Fan Zone SailGP et premier jour de course // 14h30 – 16h00 – trois régates avec les six équipes.
21 septembre // Deuxième jour de course // 14h30 – 16h00 – trois régates avec les six équipes;
22 septembre // Parade Nautique, troisième jour de course et cérémonie de remise des prix // 14h30 – 16h00 – deux régates avec les six équipes, suivies du match race opposant les deux meilleures équipes de la saison avec 1 million de dollars de prize money à la clef.

La Fan Zone SailGP sera gratuite et ouverte au public de 11h00 à 19h00 le vendredi et le

Comment suivre les courses ?
Sur Dailymotion : https://www.dailymotion.com/video/x72b1qo
Canal+SPorts à partir de 14h30 tous les jours
Sur FRance 3 PAca le 232/09 à 15h20

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48 heures Azimut. Charal en tête, foilers les rois du golfe !

Lorient La Base, Défi Azimut 2019. Lorient La Base, Défi Azimut 2019. Jeudi 19 septembre, départ des 48heures. @ Yvan Zedda

Dans des conditions encore estivales, les 21 IMOCA se sont élancés ce jeudi après-midi pour une course en double et un mediaman pour les 48 heures Azimut. Un parcours de 665 milles dont près des deux tiers vont se jouer vent de travers ou au portant dans du vent soutenu. L’allure reine des foilers se trouve bien là, entre 90 et 130° du vent réel. Pas étonnant donc de voir que le plus abouti de la dernière génération, Charal, comptait déjà 6 à 8 milles d’avance après 60 milles de course sur ses meilleurs dauphins PRB et 11th Hour et plus de dix sur le peloton. Sur les quatre premières heures, le plan VPLP de Jérémie Beyou et Christopher Pratt a donc navigué 3 nœuds plus vite que le gros des troupes, excusez du peu.

« Il y aura des opportunités sur le parcours prévenait ce matin Sébastien Simon, skipper d’Arkéa Paprec qui pointe ce soir en quatrième position. Notamment des petites zones de molles sous l’influence d’une dépression orageuse qui pousse sur l’Espagne. Il va falloir être précis et effectuer les bons changements de voile au bon moment » Et dans ce domaine, le superbe départ et le contournement de l’île de Groix montrait ô combien les places peuvent se gagner ou se perdre facilement aux vitesses où évoluent les IMOCA. Avec un départ « à l’anglaise » (au portant) où il fallait bien gérer le timing d’approche de la ligne – ce que firent parfaitement Banque Populaire X et Bureau Vallée II -, le choix de la bonne voile de portant était primordial. Ceux qui avaient choisi le grand gennaker étaient contraints de changer pour plus petit après l’empannage à la pointe de Pen Men, une manœuvre couteuse, même en double. A ce jeu, Charal gérait parfaitement son positionnement, loffant au-dessus de toute la flotte sous petit gennaker, sans perdre une seconde après l’empannage. Grosse maîtrise également sur 11th Hour de Charlie Enright et Pascal Bidegorry qui pointe ce soir deuxième en remontant sérieusement sur le leader.
Mais la flotte est déjà étalée sur plus de 10 milles en latéral, et le classement joue au yoyo. Chacun cherche les meilleures veines pour soigner son angle de descente vers le way point 1, tout en sachant que le vent doit progressivement tourner vers le Sud Est.
Pilotage à haute vitesse, surveillance de l’adversaire et réglages incessants : Voilà le menu du soir pour les 21 tandems engagés. Premier verdict et hiérarchie au passage de la marque virtuelle, prévu un peu avant le lever du jour.

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Mini-Transat. Départ retardé !

SERIE 944 / Amélie GRASSI @ C. Breschi

Les conditions de vent et de mer soutenues attendues dans le Golfe de Gascogne puis au large du cap Finisterre ont contrainst les organisateurs à reporter le départ de la Mini Transat prévue initialement dimanche 22 septembre.

« Maintenir le départ dimanche n’est pas raisonnable. » Directeur de course de la Mini-Transat La Boulangère, Denis Hugues a pris la décision, en accord avec l’organisateur, de reporter le départ de la première étape, prévu à La Rochelle dimanche à 14h15. « Depuis deux jours, nous regardons la météo de très près et observons des systèmes perturbés sur l’Atlantique », explique-t-il. « Si on donnait le départ dimanche, les concurrents feraient face à des conditions très délicates à partir de mardi soir avec une mer forte et des vents d’Ouest/Sud-Ouest de 30 nœuds moyens et des rafales à 40 nœuds. Nous avons étudié tous les schémas possibles, comme mettre un waypoint le long de l’Espagne pour éviter les conditions les plus difficiles. Mais ça ne passerait pas pour une bonne partie de la flotte. La traversée du Golfe de Gascogne est toujours délicate. Quand les conditions ne sont pas réunies, cela devient dangereux. »

« Emmener le plus de marins possibles en Martinique »
« Les Mini 6.50 sont des bateaux magiques mais ils sont petits et plutôt conçus pour les allures portantes », poursuit Denis Hugues. « Or, les concurrents se seraient retrouvés au près dans une situation très délicate, contre le vent et la mer. C’est le plus mauvais scénario pour ces bateaux. Le but de la Mini-transat est d’emmener le plus de marins possibles en Martinique. »

Jean-François Fountaine, Maire de La Rochelle et Président de la Communauté d’Agglomération, ainsi que l’ensemble des élus s’associent à la décision de l’organisateur et du directeur de course de la Mini-Transat La Boulangère, qui prend en compte la sécurité des marins.

La fête est maintenue dimanche avec un prologue en solitaire
Si le départ de la première étape entre La Rochelle et Las Palmas de Gran Canaria est reporté, il y aura tout de même du spectacle dimanche. « Nous voulons maintenir la fête pour les spectateurs et les proches des coureurs. C’est pourquoi nous allons lancer un prologue en solitaire et dans des conditions de course », confirme Denis Hugues. La parade de sortie du Bassin des Chalutiers et la présentation des skippers sont donc maintenues dimanche, de 10h à midi. Puis, à 14h15, les 87 Mini 6.50 franchiront donc la ligne de départ du prologue en baie de La Rochelle, qui devrait se disputer dans de très belles conditions avec un vent de 15 à 20 nœuds.

Plus d’infos sur www.minitransat.fr

PHOTOS ET VIDEOS

Libres de droits pour les médias.
Pour accéder aux photos en hautes définitions et télécharger des vidéos, merci de vous accréditer dans l’espace presse du site internet, disponible en cliquant sur le lien ci-dessous :
http://www.minitransat.fr/user/login?destination=espace-presse

Toutes les photos des skippers et de leurs bateaux se trouvent dans la médiathèque du site internet. ©Christophe Breschi

Les vidéos à télécharger se trouvent dans l’espace presse / vidéo. Merci de mentionner le crédit : Sea Events

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Defi Azimut 2019. Spectaculaire run d’Arkea Paprec !

Les runs de vitesse ont été disputés ce mercredi à Lorient dans de superbes conditions. L’occasion pour Sébastien Simon et Vincent Riou de faire le spectacle en faisant voler à plusieurs reprises leur monocoque ! Au classement des runs, ARKEA PAPREC monte sur la 3e marche du podium avec son meilleur temps à 3 minutes 12 secondes sur le parcours de 1,2 milles nautiques, juste derrière PRB et Charal. Les 40 marins prendront le départ aujourd’hui à 13h00 des 48h Azimut.

A moins de 40 jours du départ de la Transat Jacques Vabre, le Défi Azimut est l’occasion de renouer avec la compétition pour Sébastien Simon et Vincent Riou. Après un rapide chantier au retour de la Rolex Fastnet Race en août, le duo avait effectué plusieurs sorties d’entraînement dédiées à la mise au point et aux réglages du bateau. Ce parcours de 48 heures permettra de valider la configuration course d’ARKEA PAPREC et d’accumuler les milles en double avant la Transat Jacques Vabre.

« Le bateau est très prometteur. Nous sommes fiers du résultat quand on voit l’énergie dépensée. Il y a encore du travail et notamment pour stabiliser le comportement du bateau au portant dans la brise. Les 48 heures au large vont nous permettre de nous mettre en confiance avec Vincent. » Sébastien Simon, skipper d’ARKEA PAPREC

Entre jeudi midi et samedi après-midi, les Imoca régateront sur un parcours en forme de triangle équilatéral. 500 milles qui mèneront les duos à mi-golfe de Gascogne dans du vent soutenu puis cap à l’ouest avant de revenir vers Lorient. Une régate intense et au contact. Les conditions météo annoncées devraient permettre aux marins de faire parler leur monture et de se jauger à quelques semaines du départ vers Salvador de Bahia.

« Ça va aller très vite ! Nous allons faire pratiquement tout le parcours au reaching dans 20-22 nœuds de vent, des conditions vraiment top pour les foilers. On risque d’avoir des écarts assez conséquents samedi à l’arrivée entre les différentes générations de bateaux. »

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Mini-Transat. Le départ approche !

Le grand départ approche pour les 87 inscrits à la Mini-Transat La Boulangère s’élanceront de La Rochelle pour la première étape à destination de Las Palmas de Gran Canaria. D’ici-là, ils profiteront d’un tour de chauffe à l’occasion du Prologue qui a été décalé à vendredi (au lieu de mercredi) en raison du vent soutenu annoncé demain et jeudi en baie de La Rochelle.

En attendant, les préparatifs se poursuivent et les marins de la Mini-Transat La Boulangère évoluent dans une atmosphère particulière. C’est le fameux « esprit Mini », un mélange d’entraide (à terre comme en mer), de partage, de fraternité, de convivialité… Certains des engagés ont répondu à cette vaste question : « que représente l’esprit Mini » ?

C’est un paradoxe : beaucoup de marins de la Mini-Transat La Boulangère n’ont jamais été aussi entourés et soutenus que depuis leur engagement dans cette course au large en solitaire. Les « Ministes » forment une grande famille unie autour d’une même passion (dévorante) et d’un défi commun : traverser l’Atlantique sur les plus petits bateaux de course au large au monde.

Un maître-mot, l’entraide
« Pour moi, l’esprit Mini est un lien humain entre des gens qui se donnent la même énergie pour vivre leur rêve. On monte tous ensemble un château de cartes. Chacun à sa manière, et avec son vécu, apporte à la communauté », explique d’emblée Guillaume Coupé (906). Quand on demande aux marins ce que représente l’esprit Mini, « entraide » est le mot qui revient le plus spontanément. A terre, les coureurs se donnent des coups de main, se prêtent du matériel, se conseillent mutuellement. « Le fait de ne pas avoir d’équipe technique nous oblige à aller vers les autres. Nous avons besoin d’eux pour monter nos projets en solo. En fait, les copains Ministes deviennent notre équipe technique », souligne Jean-Baptiste Ternon (880). « Nous voulons traverser, mais nous avons aussi envie que les potes arrivent en Martinique. Alors quand on a du temps pour aider les autres Ministes dans leur préparation, on n’hésite pas », indique pour sa part Thibault Blanchet (774).

Partager est également un moyen de se tirer mutuellement vers le haut. « Nous sommes nombreux à ne passer que deux ans sur le circuit et nous voulons prendre un maximum de plaisir sur ce laps de temps. Le fait de s’entraider, d’échanger permet d’énormément progresser et ainsi de profiter pleinement », analyse Florian Quenot (946).

Pour certains, cette entraide a été essentielle pour la concrétisation de leur projet. C’est notamment le cas de Pierre Moizan (630). Il raconte : « L’année dernière, j’ai heurté un OFNI sur la course Les Sables-Les Açores-Les Sables et j’ai dû évacuer le bateau. J’ai mis un an à tout reconstruire. Beaucoup de Ministes m’ont donné des coups de main, y compris des anciens comme Adrien Hardy. Sans eux je ne serai pas là. Leur soutien m’a porté. Toute cette aide reçue sans la demander, c’est hyper touchant. »

Frères et sœurs de mer
En mer, l’esprit de solidarité est encore plus puissant. Les coureurs à portée VHF se soutiennent, se stimulent et si besoin se portent assistance. « Sur l’eau, nous sommes en compétition mais chaque concurrent est un ami, un frère. Même les marins les plus compétitifs n’hésitent pas une seconde à mettre leur course de côté pour aider quelqu’un en difficulté », raconte l’Italien Daniele Nanni (659).

La navigatrice belge Marie-Amélie Lenaerts (833) confirme : « On s’aide à fond. Lors de la Transgascogne cette année, j’ai eu un souci électronique. J’ai fait un appel à la VHF et beaucoup de coureurs m’ont répondu pour me donner un coup de main, même ceux que je connais moins. J’étais plutôt en arrière de la flotte et pourtant même les leaders ont pris le temps de me conseiller. »

Mémorables arrivées…
L’excellente ambiance lors des arrivées est une autre marque de fabrique de la Mini-Transat. A toute heure du jour et de la nuit, chaque nouveau « finisher » est accueilli comme il se doit par ses amis Ministes ayant déjà bouclé le périple. Aux Canaries comme en Martinique, la fête à terre est à la hauteur des difficultés rencontrées en mer. « L’esprit Mini, c’est aussi s’hydrater. Certains jouent un peu moins le jeu à ce niveau et nous avons quelques éléments perturbateurs », plaisante Christophe Brière de la Hosseraye (755) qui explique plus sérieusement que vivre une expérience si forte et intense rapproche. « On peut devenir super pote avec un mec ou une fille qui a 10 ans de moins, ou de plus. »

Quitter le circuit Mini et son esprit peut entraîner une forme de nostalgie. « Même si je m’y prépare, l’après Mini me fait un peu peur. Je m’attends à ressentir un gros vide sur le plan émotionnel et personnel », confie Guillaume Coupé.

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Le Prologue reporté à vendredi
Initialement prévu pour demain, mercredi 18 septembre, le Prologue de la 22e Mini-Transat La Boulangère est reporté à vendredi. Denis Hugues, directeur de course, explique cette décision : « Nous décalons le prologue car nous attendons un flux de Nord-Est de 25 nœuds avec des rafales à 30. Les skippers préparent une transat en solitaire sur des bateaux de 6,50 mètres. Il est donc primordial de ne prendre aucun risque pour ce prologue dont l’idée est de faire une répétition générale pour que les concurrents visualisent bien la zone de départ. Vendredi le vent va bien baisser pour se stabiliser à 10-13 nœuds. »

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HLD s’engage aux côtés de Romain Pilliard dans le projet USE IT AGAIN !

Après sa participation à La Route du Rhum, le trimaran de l’économie circulaire mené par Romain Pilliard reprend le large cet automne. Le trimaran Use It Again ! a quitté le port de la Trinité-sur-Mer et a mis le cap sur Marseille en Méditerranée pour poursuivre sa mission de promotion de l’économie circulaire et de sensibilisation à la protection des océans aux côtés du Groupe HLD et du fonds HLD pour la Méditerranée.

Débutée, il y a un peu plus d’un an, la campagne Use It Again ! avait été mise en lumière sur la dernière Route du Rhum. En terminant 4ème en catégorie Ultime à la barre de son trimaran géant entièrement recyclé, Romain Pilliard et son équipe ont prouvé qu’un projet performant pouvait s’intégrer dans une économie circulaire. À toutes les échelles, dans tous les domaines, concevoir les choses autrement, c’est possible !

Le Groupe HLD et Use It Again !, ensemble pour la protection des océans
Le Fonds HLD pour la Méditerranée est un fonds de dotation dédié́ à la protection de l’environnement en Méditerranée. Sa création remonte à 2018, et a été́ réalisée par le groupe HLD, groupe d’investissement fondé huit ans plus tôt. L’objectif de ce fonds de dotation est de soutenir les projets de protection de la Méditerranée et de sensibiliser sur les enjeux environnementaux au cœur de cette région, avec pour but de participer au développement de solutions répondant aux menaces qui impactent l’ensemble du bassin méditerranéen sur le plan écologique. Pour se faire, HLD organise le 23 septembre à Marseille, la journée HLD pour la Méditerranée qui rassemblera entrepreneurs et porteurs de projets associatifs.

Agir concrètement : l’exemple de Use It Again !
Romain Pilliard sera présent en tant qu’invité d’honneur de la journée de la protection de la Méditérranée, pour démontrer que le trimaran Use It Again, entièrement rénové selon les principes de l’économie circulaire est un bel exemple de transformation de la société civile et se veut un influenceur à la transition énergétique des entreprises. ” Le Groupe HLD est très heureux de travailler en collaboration avec Use It Again. Le projet représente les valeurs d’entrepreneuriat et d’exemplarité qui pilotent et animent le Groupe HLD et ce partenariat fait suite à l’engagement du groupe dans la protection de l’environnement marin, comme en atteste la création du fonds HLD pour la Méditerranée, ” explique Anne Canel, administrateur délégué du Groupe HLD.
Basé à La Trinité-sur-Mer, le trimaran Use It Again est actuellement en convoyage vers Marseille où il est attendu en fin de semaine. Après son passage en Méditerranée, le trimaran retrouvera son port d’attache avant d’entamer un chantier d’hiver pour préparer le premier objectif sportif 2020 : la participation à la mythique transat en solitaire entre Brest et Charleston : The Transat.

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Défi Azimut. Du grand spectacle à Lorient avec les runs de vitesse !

20 IMOCA se sont tour à tour élancés pour des runs de vitesse spectaculaires dans des conditions météos parfaites pour cette première journée du Défi Azimut.
C’est La Fabrique d’Alan Roura et Sébastien Audigane qui ouvrait le bal aux alentours de 15 h 50 en franchissant la ligne des runs mouillée dans les courreaux de Groix. 20 nœuds, petit clapot couleur menthe à l’eau, grand soleil,… la rade de Lorient avait tous les atours de la voile champagne ! En cadence, les 19 autres concurrents s’annonçaient à la VHF et se présentaient sur la ligne sous des combinaisons de voilure très variées. Sur ce bord assez serré à 100° du vent, seul La Mie Câline Artipôle (Arnaud Boissières, Xavier Macaire) se risquait sous son petit gennaker quand d’autres comme Corum l’Épargne (Nicolas Troussel, Jean Le Cam) et Apicil (Damien Seguin, Yoann Richomme) filaient GV haute –J2. Ces deux-là se révélaient d’ailleurs les plus rapides des bateaux à dérive à la fin de la journée, en compagnie de V and B Mayenne (Maxime Sorel, Guillaume Le Brec)

Tour de chauffe
Pour beaucoup, le premier passage ressemblait à un tour de chauffe. La prestation de ceux qui rentraient d’emblée dans le vif du sujet n’en prenait que plus de hauteur. Charal (Jérémie Beyou, Christopher Pratt) faisait ainsi le premier la démonstration de sa maîtrise du vol, suivi pas très loin en vitesse pure de PRB (Kevin Escoffier, Nicolas Lunven), certes moins aérien mais très régulier et qui termine second.
Très bonne surprise aussi du côté de MACSF qui dès son premier run décollait franchement, sustenté par ses nouveaux foils. De toute évidence, le long refeat hivernal donne des ailes au premier IMOCA sur plans VPLP-Verdier de douze ans d’âge. Associée à Morgan Lagravière, Isabelle Joschke ne boudait pas son plaisir : « Depuis la mise à l’eau, nous n’avions jamais eu 20 nœuds et c’est une très belle surprise de trouver le bateau léger à la barre et facile. C’était juste stressant d’aller à ces vitesses avec autant de bateaux autour, mais on n’a rien cassé et c’est une belle journée avant d’attaquer les 48 heures… »

Histoire de générations
Rapidement, la succession des runs entre derniers foilers, génération intermédiaire et anciennes montures à dérives tournait à la leçon d’architecture. Quand certains s’appuient sur leur carène et voient leur puissance se diluer dans la gîte, d’autres s’envolent, restent à plat et transforment toute l’énergie en vitesse. Dans ce domaine, le deuxième run d’Arkéa Paprec avait de quoi rassurer quant au potentiel du plan Kouyoumdjian de Sébastien Simon et Vincent Riou qui se hisse sur le podium. La carène hyper tendue faisait merveille sur mer plate avec une stabilité longitudinale remarquable.
Parti prudemment, Advens for Cybersecurity de Thomas Ruyant et Antoine Koch montait en puissance au fil des runs et montrait aussi que sa carène Verdier était bien née. « C’était la troisième sortie du bateau expliquait Antoine Koch de retour à Lorient La Base. On est parti prudemment mais on a pris nos marques et la vitesse du bateau nous rassure. Une fois sur les foils, on voit bien qu’il n’a pas besoin d’une grosse surface de voilure pour accélérer. C’est la logique du multicoque en fait ! »

Côté foilers 2015, la palme revient à Maitre Coq (Yannick Bestaven, Roland Jourdain) qui fait mieux qu’Initiatives cœur et aussi bien qu’Advens for Cybersecurity.
A noter enfin que l’écart entre le plus rapide et le plus lent des 60 pieds excédait 10 nœuds ce qui à l’échelle de courses plus longues pourrait créer des gouffres. Première vérification avec les 48 heures Azimut qui partent demain au milieu du Golfe de Gascogne sur un parcours venté et plutôt favorable aux foilers…

LE CLASSEMENT
1. Charal (Jérémie Beyou & Christopher Pratt)
2. PRB (Kevin Escoffier & Nicolas Lunven)
3. Arkéa Paprec (Sébastien Simon & Vincent Riou)

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Embarquez sur la Course Caribean 600 du RORC

Challenge Ocean vous propose d’embarquer sur la course du RORC Caribbean 600 qui au fil des ans s’est imposée comme un classique incontournable de la navigation offshore. Une « must do » comme aiment à le dire nos amis anglais. À une période de l’année où l’hémisphère nord est aux prises avec l’hiver, le soleil, l’eau chaude et les alizés constants sont trop durs pour résister à l’appel du large ! Être en course autour de tant d’îles tropicales dans de telles conditions est tout simplement superbe à vivre.
Cette course rassemble toutes sortes de voiliers : monocoques et multicoques de course mais aussi super yachts et voiliers de course croisière avec plus de 900 marins professionnels et amateurs à bord. La navigation y est exigeante avec des vents forts (mais chauds) et une mer souvent formée.

Le parcours de la course Caribbean 600 s’étend sur 600 miles nautiques, slalomant entre les magnifiques îles des Caraïbes : Antigua, l’île de York, Barbuda, Tintamarre, Anguilla, Saint-Martin, Saint-Barthélemy, Saba, Saint-Eustache, Saint-Kitts, Nevis, Redonda, Montserrat , Guadeloupe, Les Saintes et Les Désirades.

Avec le départ et l’arrivée depuis l’île d’Antigua, c’est un véritable défi nautique en raison de l’interaction des conditions locales dans les différentes îles avec les alizés. Le RORC Caribbean 600 est sans aucun doute une régate unique. Une expérience dont vous vous souviendrez toujours.

Équipier à bord d’Albatros sur la course Caribbean 600
Embarquez à bord d’Albatros, monocoque de 21m, comme équipier sur la course de la Caribbean 600 au sein d’un équipage amateur pour parcourir les 600 milles de course, encadré par deux marins professionnels (skipper Capitaine 200 Voile, navigateur).

Quelque soit votre niveau, l’esprit de compétition est indispensable pour s’engager sur une telle épreuve. Nous ne visons pas le podium, mais avant tout de bien naviguer et vivre de l’intérieur cette course grandiose ! La durée de l’embarquement à bord est de l’ordre de 8 jours, au départ et à l’arrivée d’Antigua.

Stage World Sailing (ex ISAF)
Au moins 1/3 de l’équipage doit avoir effectué le stage World Sailing (ex ISAF) qui a une validité de 5 ans. Si vous souhaitez suivre cette formation de 2 jours (survie en mer, incendie, médical, etc), possibilité de la mener au CEPS de Lorient.

La licence FFVoile est obligatoire avec une aptitude médicale à la compétition. Affilié École Française de Croisière auprès de la Fédération Française de Voile, vous pouvez souscrire votre licence auprès du Club CHALLENGE OCEAN.

Durée : 8 jours*
Dates : du 21 au 28 février 2020
Embarquement : Antigua ou Saint-Martin le 20 février 2020
Débarquement : Antigua ou Saint-Martin le 29 février 2020
Bateau : Albatros – Challenge 67 avec équipage professionnel
En course : Classe IRC1
Entraînement : les 21 et 22 février 2020
Départ de la course : le 24 février 2020
Remise des prix : le 28 février 2020
Remise des prix : Prix : 2650€, caisse de bord incluse (petit-déjeuner, déjeuner, dîner, consommables), inscriptions et licence FFV en sus.

Plus d’infos sur : https://www.challengeocean.com/evenement/equipier-sur-la-course-caribbean-600/

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