mercredi 17 septembre 2025
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Armel Tripon s´attaque à la Generali Solo

Gedimat - Armel Tripon
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« Ce qui est certain, c’est que je reviendrai sur cette course. Elle a été incroyablement riche en enseignements pour moi, le bateau, les réglages ». Avec quinze jours de recul, Armel Tripon tire un bilan positif de sa dernière et plus folle aventure à bord de Gedimat : cette fameuse première traversée de l’Atlantique en solitaire sur Figaro Bénéteau 2, le Trophée BPE Saint-Nazaire – Cienfuegos de Cuba. Et autant on l’avait senti un peu déçu de son classement le 29 mai dernier, au terme de 25 jours de course, autant aujourd’hui le skipper de Gedimat est plus lucide : « Pour moi, la course se divise en trois périodes : le départ où je ne suis pas rentré assez rapidement dans le match, la traversée de l’Atlantique où je pense avoir fait une belle course et enfin cette arrivée compliquée qui ne m’a pas réussi », résume-t-il.

On a encore en mémoire le superbe de Saint-Nazaire, où Gedimat prend la deuxième place derrière Charles Caudrelier sur les premières longueurs de la course. « Mais juste après, les deux premières nuits ont été difficiles, j’ai pris du retard parce que j’étais trop stressé, trop fatigué, pas assez lucide », tempère Armel. Il y eut ensuite cette incroyable descente sous spi du Golfe de Gascogne, rare à cette période de l’année, et puis surtout cette fameuse option au Sud.

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Un Mini Pavois 2005 riche et varié

Mini Pavois 2005
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Duo pressé ! A noter le bel écart de deux heures créé par les deux leaders de ce Mini Pavois qui ont navigué collés serrés tout au long de cette course qui a emmené la flotte virer la marque Karek Greis au large de Lesconil. Si le groupe de tête a été relativement compact jusqu’aux Birvideaux (ils étaient sept en une heure, ndlr), c’est la facilité, la puissance, la clairvoyance et la maîtrise des Minis 6,50 qui ont fait la différence sur les 123 milles restants. 15/20 nœuds de vent de nord-ouest ont accompagné les leaders à la descente permettant d’envoyer les spis et de taquiner les 12/15 nœuds de vitesse et les surfs pendant de longues heures. A titre d’information, Corentin a parcouru les 124 derniers milles à prés de 8,5 nœuds de vitesse moyenne… Une belle performance ! Son plan Manuard de 2003 s’est régalé de ces conditions de brise et a montré tout son potentiel. Corentin a de plus bien géré la situation en prenant un ris et en changeant son spi de tête pour un spi de capelage au bon moment, Tanguy persévérant sous grand spi et reconnaissant ensuite son erreur… Il faut dire que le pied de pilote de Tanguy cassera lors de cette descente l’handicapant dans ses changements de voile. Mais de l’avis de tous, ce parcours aura été complet permettant ainsi de tester les bateaux dans différentes conditions de vent, de naviguer au contact et de comparer les potentiels et les réglages des uns et des autres, de tenter des options et prendre des risques comme de couper au travers des Glénans, d’apprendre à mieux gérer ses phases de repos et aussi de se faire plaisir. La phrase de Corentin « c’est sur ce type de parcours que l’on apprend » prend ainsi toute sa valeur !

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Premier bilan de l’IB Group Challenge

Banque Populaire
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La mayonnaise a pris ! Mettez quelques petits poids (lourds) du Vendée Globe, ajoutez un zeste d’Orange-2, faites revenir une poignée de Solitaires, agrémentez le tout d’une pincée d’olympisme, versez une Coupe de l’America, réservez et assaisonnez avec une brise à intensité inconstante… et vous obtenez un joyeux plateau de coureurs… nappé d’un parcours aux saveurs méditerranéennes. Liez le tout à une ambiance conviviale, saupoudrez de passages obligés mythiques (Gibraltar, Malte), servez le froid et le chaud au gré d’une météo à géométrie variable, déglacer à l’anisette à Nice et décorer d’un grain de pluie puis d’un grand soleil à l’arrivée en Alpes Maritimes.L’IB Group Challenge, course au large d’ouverture du Championnat du Monde des Multicoques, a été goûté par les équipages, savouré par les spectateurs (superbe départ dans les Courreaux de Groix, incroyable finish devant le port de Nice entre Gitana 11 et Foncia), apprécié par les medias. Saveurs espagnoles, fragrances portugaises, sucs marocains, piments algériens, parfums tunisiens, odeurs maltaises, huiles siciliennes, senteurs sardes, goûts corses, humeurs azuréennes, c’est aussi cette diversité de paysages qui a mis en sauce cette course originale qui mélange parcours atlantique, traversée de la Méditerranée occidentale, remontée de la mer thyrénéenne pour s’achever en mer ligurienne. Même si les équipages n’ont pas toujours eu l’occasion de découvrir les rivages, soit pour cause de bord au large, soit par mauvaise visibilité par brume de chaleur, soit à cause d’un passage de nuit, une grande force se dégageait de ces côtes dénudées, abruptes, verdoyantes, sablonneuses, caillouteuses…Certains équipiers notaient qu’ils étaient sidérés par la capacité des bateaux à franchir ces mers en quelques heures, de changer de climat, d’ambiance, de paysage, alors qu’il leur fallait autrefois des jours pour rallier la Corse au départ de Malte… Si côté équipages, tous sont comblés par cette course, par son rythme, par les sensations à plus de 35 nœuds, par sa difficulté tactique, par ses aléas météorologiques, par une navigation au contact quasi permanente, par des retournements de situation surprenants, le bilan technique est lui aussi riche. Seul Groupama-2 a subi une avarie grave qui l’a obligé à abandonner pour rallier au plus vite, La Ciotat. Le trimaran de Franck Cammas doit être gruté et démâté demain jeudi, puis les bras de liaison réparés et renforcer : la remise à l’eau est prévue le 1er juin et le trimaran vert sera donc présent dès le Grand Prix de Calvi (10-12 juin).

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25 Solitaires en Méditerranée

Eric Drouglazet - Malongo
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Certes, le plateau de cette Generali Solo ne manque pas de CV impressionnants, et la fidélité des plus grands animateurs de la série est sans aucun doute un des plus grands motifs de satisfaction pour les organisateurs. Fidèle parmi les fidèles, Eric Drouglazet (Malongo) ne sait même plus à combien de participations il en est ! « Cela fera ma douze ou treizième sur le circuit Figaro méditerranéen, annonce le solide finistérien, et bien que je sois complètement rincé, je n’aurais certainement pas voulu rater ça. » « Rincé », il doit l’être en effet – à l’instar de ses camarades Sam Davies (Skandia), Gildas Morvan (Cercle Vert), Jeanne Grégoire (Banque Populaire), Armel Tripon (Gedimat) et Marc Emig (Total), qui se présenteront tous au départ de la Generali Solo suite à une transat particulièrement éprouvante. Eric Drouglazet, grand vainqueur de cette Transat en solo entre Saint Nazaire et Cuba (une première pour le monotype Figaro Bénéteau II !), s’est également illustré en remportant la Solitaire du Figaro en 2001, année où il fut sacré pour la seconde fois Champion de France… Ajoutons à cela sa victoire sur le circuit Figaro Méditerranéen en 1996, et le tableau sera (à quelques milliers de milles près) presque complet. « Je serai à la Generali, car l’ambiance y est inimitable, explique ‘Droug’. C’est à la fois sportivement très relevé, et très convivial à terre. Je me souviens avoir eu du Mistral pendant une semaine d’affilée, on enchaînait les manches par 30 nœuds, il y avait parfois tellement de vent qu’on avait du mal à amarrer les bateaux au port le soir… Il faut être un régatier solide, mais aussi un bon tacticien car les périodes de calmes sont également délicates à gérer. Il y a une constante, c’est le côté familial de l’épreuve, on entretient un rapport particulier avec l’équipe d’organisation, et le cadre est franchement paradisiaque – surtout le final sur Porquerolles, où on dispute la traditionnelle partie de pétanque, et ça non plus, je ne voulais pas le rater ! Plus sérieusement, ceux d’entre nous qui ont couru le Trophée BPE arriveront fatigués et avec des bateaux sans doute un peu moins frais, mais mon envie de jouer dans le paquet de tête est intacte », termine Eric. A la place de ses adversaires, on s’inquiéterait tout de même un peu…

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Tip Top Too en tête de la Mini Lion

Tip Top Too - Andrea Caracci
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En tête du classement provisoire, les étrangers trustent les trois premières places. Le premier à passer la ligne de pointage de Saint Raphaël, mardi à 17h29 est l’italien Andréa CARRACCI associé à Samuel MANUARD sur Tip Top Too. 20 minutes après, les espagnols Sampaquita des frères GARCIA prennent la 2ème place suivi en 3ème position, à 18h52 de Borja PELLA et Alex PELLA sur Open Sea.
En 4ème position, pointe le premier français sur Bahia Express (551), Bernard GALLAY et Christopher PRATT. 5ème, un autre espagnol, le 403 Spasmos de Juan Carlos SANCHIS MARI associé à Jordy VIDE et en 6ème, Night Fever de Mathieu CASSANAS et Laurent MERMOD.
Alexia BARRIER, 1ère femme skipper sur Roxy arrive à la 7ème place.
A la 14ème position, Capian (286) de Mathieu GIROLET et Patrick MALET prend la 1ère place des séries à 0h51, ce mercredi matin. A la 18ème place, l’équipage belgo germanique 504 Manu Poki de Alex HUPIN et Henrik Masekowitz prend la 2ème place des séries.
Reste en course 4 bateaux qui n’ont pas encore franchi la ligne, certains se trouvent à l’abri le long des côtes.
Se rajoutent aux abandons précédents trois bateaux, 274 Tête De Mule ; 377 Bizkaia Ekp Argos Nautica et 367 Manuia.
La course repartira jeudi matin de Saint Raphaël en direction de Port Camargue avec des conditions météos plus clémentes.

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Corentin Douguet remporte le Mini Pavois 2005

Corentin Douguet - E. Leclerc
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Ils ont dit :

Corentin Douguet (E.Leclerc) : « Ce Mini Pavois n’a pas été facile et s’est fait sur le rythme d’un Figaro. Nous avons été à vue tout le temps. Il n’y a eu que des sections courtes avec beaucoup de pêcheurs et de cargos. Il y a eu aussi beaucoup de phases de transition ce qui fait que nous avons très peu dormi ! Pour ce qui est du sommeil, j’ai dormi quatre fois un quart d’heure. A un moment, je me suis mis sous pilote en mode vent et voulais aller dormir. Le vent a tourné et j’ai dû ressortir pour tout régler de nouveau. Ensuite, je me suis endormi une heure avec le stick à la main… Je suis complètement à l’ouest ! En fait cela c’est joué ce matin avec Tanguy. Nous avons été à vue toute la régate et nous n’avons pas arrêté de nous passer et repasser sans arrêt. Cela me fait plaisir car c’est ma première victoire sous les couleurs de E. Leclerc. Cela veut dire aussi que nous avons bien bossé. J’ai toujours des petits soucis dans le petit temps mais le bateau n’a pas été fait pour cela mais tout va bien en général ! ».

Tanguy de Lamotte (Set Environnement pour Mécénat Chirurgie Cardiaque) : « Cela a été une course intéressante car nous avons été toujours au contact Corentin et moi. Nous n’avons pas arrêté de nous croiser et recroiser sur cette course. J’étais un coup devant, lui une autre fois et ainsi de suite… Cela nous a apporté beaucoup d’émulation. C’est vrai que nous n’avons pas beaucoup dormi mais c’est avec des navigations comme celle-là que l’on apprend ! Moi, je n’ai pas été assez réactif sur un changement de spi et voilà… Corentin a creusé en mettant son spi de capelage et en prenant un ris dans la grand-voile. De plus, j’ai cassé mon pied de pilote ce qui fait que cela a été plus difficile ensuite pour les changements de voile. Je n’avais pas envie de casser plus et Corentin était parti… Je suis en tous les cas rassuré sur le potentiel du bateau et ça, c’est bien ! »

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Mini-Pavois, les premières arrivées en milieu de soirée

Mini-Pavois 2005
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Glissades au portant, ETA en milieu de soirée !
Cela glisse au portant maintenant sous spi à plus de 6 noeuds de vitesse moyenne en ce moment pour la tête de la flotte ! Aussi, à cette vitesse et avec ce vent de nord-est ce matin tendance nordouest en fin de parcours, il se pourrait bien que les premiers pointent le bout de leur étrave vers 22h00 sachant que ce pourrait être légèrement avant avec ses conditions idéales pour la glisse. La ligne d’arrivée sera mouillée au large du Port des Minimes entre une bouée orange et la Bouée des Minimes, un bateau comité étant sur zone.

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Artech 60-Caen la Mer au départ à Calais

Le 60 Open  Caen La Mer - Jean- Baptiste Dejeanty
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Sur une monture qu’il a conçue et construite avec son équipe du chantier Artech, remarquable pour l’étroitesse de ses lignes (les bouchains permettent une carène plus étroite), Jean-Baptiste Dejeanty a pu enfin vérifier sur l’eau l’impact des profondes modifications apportées sur le bateau depuis sa première sortie, lors de la Route du Rhum 2002. On peut presque parler de bateau neuf, puisque seule la carène en carbone-verre-epoxy est d’origine. Remis en chantier pendant un an et demi à Caen, Artech-Caen la mer a gagné une tonne, affichant désormais un poids sur la balance de moins de 8 tonnes.
Gréement, appendices, plan de pont, accastillage… Tout a été repris et les sensations à bord s’en ressentent, si l’on en croit le skipper. Par un petit 15 nœuds de vent idéal pour une reprise, il a pu mesurer les effets du gain de poids sur le speedo. « Que du bonheur ! Cette première sortie nous a permis de valider nos choix. Pas de mauvaises surprises. Le bateau est remarquablement équilibré sous voiles, le nouveau plan de pont semble parfait, les réglages et les tensions sur le gréement sont bons. Evidemment, il reste quelques détails à régler et ce sera chaud d’ici le départ à Calais, mais ces premiers tests sont vraiment de bon augure».

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Final anthologique à Nice…

Michel Desjoyeaux - Géant
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Impossible de savoir à moins d’une demi-journée qui allait remporter ce parcours de 2 510 milles agrémenté en permanence de bouleversements hiérarchiques. Groupama-2, Géant, Foncia, Gitana 11, Banque Populaire se sont relayés en tête de la flotte et Gitana X, qui semblait parti pour jouer les figurants, a même troublé la flotte plusieurs fois en restant toujours au contact. Tout s’est finalement décanté lors de cette dernière nuit de course où Banque Populaire possédait une vingtaine de milles d’avance sur Gitana 11 en approchant le cap Corse, tandis que Géant, Foncia et Gitana X étaient relégués à une centaine de milles vers les Bouches de Bonifacio. Un duo devant, un trio derrière…
La nuit était bercée par une petite brise portante de secteur Sud et les prévisionnistes annonçaient un flux d’Est 10 nœuds puis Sud-Est 15 nœuds à venir pour la matinée de mardi. En fait, une dernière bouffée d’air permettait à Pascal Bidégorry de bénéficier de son décalage pour s’échapper sans plus coup férir et franchir la ligne d’arrivée en Alpes Maritimes au lever du jour avec encore un petit flux de Nord-Est… Il remportait l’IB Group Challenge en 8 jours 16 heures 36 minutes et 17 secondes à la moyenne sur la route directe (orthodromie) de 12,05 nœuds.

Ayant passé le cap Corse en milieu de nuit, Frédéric Le Peutrec tombait dans une bulle sans vent et voyait le compteur tourner sans rien pouvoir faire. Et quand au lever du jour, trois voiles apparaissaient à l’horizon, ce fut le coup fatal ! Un peu décalé à son vent, Michel Desjoyeaux passait lentement au large de Gitana 11 et arrivait à conserver une vitesse d’une dizaine de nœuds jusqu’à Nice alors que les trois autres trimarans peinaient encore dans un vent redevenu mou. Le milieu de matinée voyait Armel Le Cléac’h en troisième position, un bon mille devant Frédéric Le Peutrec et cinq milles devant Thierry Duprey du Vorsent… Géant n’avait plus qu’à dérouler jusqu’à l’arrivée qu’il franchissait sous une petite brise de Sud-Est avec 6 heures 18 minutes d’écart sur Banque Populaire.
La troisième place était loin d’être acquise quand la brise se mit à souffler jusqu’à plus de 25 nœuds : Foncia et Gitana 11 sous grand voile haute et gennaker gardaient toute la toile pour finir en limite d’adhérence, avec Frédéric Le Peutrec qui arrivait à se glisser par-dessous Armel Le Cléac’h et à le coiffer de vingt secondes ! Moins de trois millièmes de nœuds de différentiel sur 2 510 milles de course…
L’IB Group Challenge fut une course palpitante, qui a enthousiasmé tous les équipages par son rythme extrêmement soutenu, par ses rebondissements permanents, par sa difficulté particulièrement en Méditerranée, par l’intensité nerveuse et la sollicitation physique. A refaire !

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Golding en bonne compagnie

Mike Golding - Ecover
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Ce sera la deuxième édition de la Calais Round Britain Race mais cela fait des siècles que les marins naviguent autour des Iles Britanniques et Irlandaises. Vincent Riou (PRB) a remporté la première édition de la Calais Round Britain Race en seulement 9 jours, 9 heures et 48 minutes. ECOVER avait terminé troisième, trois heures seulement derrière le vainqueur. La dernière partie du parcours sera un sprint final pour remporter le record Douvres-Calais. Actuellement, le record est détenu par Charles Hedrich (Objectif 3) qui avait parcouru la traversée de 19 milles en une heure et 18 minutes à la vitesse moyenne de 14,6 nœuds. La Calais Round Britain Race 2005 verra les équipages suivants sur la ligne de départ à 14h30, heures françaises (1230 GMT) :Mike Golding (ECOVER)Jean Pierre Dick (Virbac Paprec)Roland Jourdain (Sill et Veolia)Jean Le Cam (Bonduelle)Emma Richards (Pindar Alphagraphics)Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat)Jean Baptiste Dejeanty (Caen La Mer)La course se court en équipage et Mike sera rejoint par Neal McDonald, Brian Thompson, Laurent Mahy et Graham Tourell. “Cela va faire du bien de repartir en course. ECOVER est en grande forme et c’est grâce à mon équipe technique qui a travaillé très dur depuis la fin du Vendée Globe pour que le bateau soit prêt à temps pour cette course. Nous avons un équipage assez impressionnant et ce sera particulièrement sympa d’avoir Neal et Brian à bord. Brian a navigué avec nous de nombreuses fois et était mon co-skipper dans la dernière Transat Jacques Vabre. Il vient tout juste de gagner l’Oryx Quest et a le mords aux dents. Nous connaissons bien Neal qui est un marin talentueux, l’un des meilleurs coureurs au large en Grande-Bretagne. Je suis confiant qu’avec cette équipe,nous avons de bonnes chances de gagner la course, bien qu’en regardant la concurrence, ils ont aussi d’excellents équipages ! Pour nous, la cerise sur le gâteau serait de battre aussi le record Douvres-Calais, mais nous allons devoir engranger quelques milles avant de pouvoir faire ça ! », a commenté Mike.

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