mercredi 10 septembre 2025
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Les Allemands s’imposent à Saint-Tropez

Dragon Saint-Tropez
DR

Le départ de la dernière manche a été donné comme prévu en fin de matinée avec 10-12 nœuds de vent   de nord-est, mais après un rappel général, une nouvelle procédure a été mise en place sous "pavillon noir", ce qui correspond à une élimination immédiate en cas de départ prématuré. Ce départ a été validé sans disqualification. L’unique manche du jour a été courue sur un parcours n°2, c’est-à-dire deux tours complets plus un bord de près, l’arrivée étant jugée à la bouée au vent.
 
En rassemblant un plateau aussi international, la première édition de Dragon Saint-Tropez a confirmé qu’elle répondait parfaitement aux attentes des Dragonistes. Le Dragon est un voilier facile à déplacer par voie terrestre, ce qui permet aux concurrents de la série d’être extrêmement mobiles leur donnant ainsi le plaisir de se retrouver à Saint-Tropez à la mi-octobre. Par ailleurs beaucoup de bateaux, appartenant à des équipages nordistes, hivernent en Méditerranée.
 
Les Allemands confirment
Malgré un abandon dans la toute dernière manche, et comme on pouvait s’y attendre déjà hier soir, c’est l’équipage allemand de Georg Haindl, Vincent Hoesch et Max Scheibmair sur Lola qui emporte la première édition de Dragon Saint-Tropez avec une belle régularité. En revanche, la situation s’est renversée aujourd’hui pour les places suivantes, et c’est finalement l’équipe britannique d’El Gringo conduite par Martin Payne qui réussit à monter sur la deuxième marche du podium. A noter que cette brillante équipe, qui aura terminé 4 fois à la seconde place durant les différentes manches, comptait dans ses rangs – outre Pedro André – la présence du régatier français Jean-Sébastien Ponce. Devancé sur le fil du rasoir, l’équipage russe conduit par Maxim Semerkhanov à bord de Diamond perd donc l’argent pour un petit point et termine troisième. Côté français et suite à une disqualification de l’équipage conduit par Louis Urvois hier en fin de journée, la meilleure équipe française est finalement celle de Tsuica 2au Cannois Gérard Blanc, équipé par Jean-Gabriel Charton et Frédéric Fulconis qui termine en 7ème position, deux points devant les Douarnenistes de Ar Youleg, Louis Urvois, Gwen Chapelain et Sébastien Audigane.
A noter que le prix BMW – un pendentif en or en forme de poulie réalisé par le joaillier tropézien Steve Schaming – a été remis à l’équipière la mieux classée à l’issue de l’ensemble des régates : l’Allemande Martina Loos, sur Happy Island, quatrième au général.
 
Classement général à l’issue de 7 manches (final)
1 GER 956LOLA HAINDL Georg 20 pts
2 GBR 648EL GRINGO PAYNE Martin 24 pts
3 RUS 77DIAMOND SEMERKHANOV Maxim 25 pts
4 GER 980HAPPY ISLAND LOOS Carlo 32 pts
5 GBR 716JERBOA WILKINSON-COX Gavia 45 pts

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2win pour l’Etoile du Design.

Twincat 15
Twincat 15

L’entreprise rochelaise 2win, basée à Périgny, nous apprend que l’A.P.C.I. (Agence pour la Promotion de la Création Industrielle) a sélectionné le Twincat 15, catamaran crée par la société 2win -fabricant français de dériveurs et catamarans de loisirs sportifs- pour le prestigieux concours de "l’Observeur du Design" .

Le Twincat 15, nom du bateau nominé pour l’Etoile du Design, sera exposé jusqu’au 14 janvier à la  Cité des sciences et de l’industrie à Paris.

L’inauguration de l’exposition a eu lieu le mardi 10 octobre 2006 à la Cité des sciences et de l’industrie en présence de M. François Loos, ministre délégué à l’industrie.

Ce bateau est l’aboutissement 3 années de recherche et développement avec une filiale du groupe Saint-Gobain spécialisé dans les plastiques renforcés.
En plus d’être très innovant sur le plan design, la grande nouveauté réside sur le matériau utilisé pour la fabrication : Le Twintex®.

Les matériaux utilisés et le process de fabrication sont très respectueux des normes d’hygiènes pour la mise en œuvre et de recyclabilité pour l’avenir.

L’utilisation de ce matériau pour la fabrication d’un bateau en série est une première mondiale.
Ce catamaran présente des propriétés uniques sur le marché actuel.

En plus d´une qualité de navigation impressionnante il assure rigidité, résistance très importante aux chocs, légèreté et recyclage .

Le plaisir de grande sensation d’une glisse fun en toute sécurité sans entretien et sans se soucier des petits chocs occasionnels.

Le deuxième rendez-vous de cette fin d’année sera le salon nautique de Paris du 1er au 11 décembre 2006.

Plus d´infos sur www.2-win.fr

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Ultimes préparatifs pour le tenant du titre

Desjoyeaux Géant portrait à bord 2006
DR

Depuis le Grand Prix de Fécamp, Géant est passé en configuration solitaire et l’emploi du temps de Michel Desjoyeaux est lui aussi tourné de plus en plus vers la transatlantique. Dès le début du mois, il a participé au stage d’entrainement de trois jours organisé par le pôle Finistère Course au large avec Sopra, Groupama et Gitana XI. Depuis, le vainqueur de la précédente édition effectue les dernières mises au point de son trimaran et attend avec impatience de rejoindre le bassin Vauban pour que toutes ses pensées se tournent vers ce qu’il appelle avec humour : « la petite régate de quartier ».

Interview de Michel Desjoyeaux :
Comment s’est déroulé le stage de 3 jours organisé par le pôle Finistère Course au large ?
« Nous avons eu du petit temps ainsi que du medium pendant les trois jours de stage. Je n’avais pas navigué en solitaire depuis ma qualification cet été. Ça permet de voir que je sais toujours où se trouvent les ficelles car je suis plus souvent à la barre pendant les navigations en équipage. Ce genre de stage est toujours instructif, on a toujours des choses à apprendre. Cela permet de se remettre en route. Par rapport aux autres bateaux, j’étais serré avec Groupama et dans les manœuvres, je me situe plutôt dans le haut du tableau. »

Quel est ton quotidien en ce moment ?
« En ce moment, l’équipe travaille sur le bateau, nous allons recevoir les voiles neuves et les regarder rapidement. »

Tu commences la préparation physique pour la Route du Rhum La Banque Postale ?
« Je ne suis pas un accro de la préparation physique, mais je commence à faire attention à mon sommeil et à avoir une hygiène de vie qui tienne la route. Mais je n’ai pas de grosses lacunes de ce côté-là, même pendant le reste de l’année. »

Source Géant

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Une première en mono pour Guillemot

Safran ex-Kingfisher Marc Guillemot
DR

Le retour en monocoque
« Ma dernière vraie expérience au large en monocoque remonte à 1994, lorsque Eric Tabarly m’avait embarqué avec lui sur le maxi La Poste pour la course autour du monde en équipage. Grâce au Vendée Globe, une nouvelle génération de monocoques est en train de naître. Comme on dit familièrement, en ce moment, c’est là que ça se passe dans le monde de la course au large », confie Marc Guillemot. Le dimanche 29 octobre, à 13h02, c’est à bord de SAFRAN (ex-Kingfisher) que Marc Guillemot coupera la ligne de départ de la Route du Rhum.
 
Dernière ligne droite pour le SAFRAN Sailing Team
Toute l’équipe du SAFRAN Sailing Team règle les derniers détails à bord du monocoque. « Nous avons un peu de bricolage pour améliorer et faciliter les manœuvres en solitaire. Les 3 jours d’entraînement à Bénodet, la semaine dernière, m’ont permis de faire une petite liste des derniers points à vérifier » explique Marc Guillemot. Encore quelques sorties au large de La Trinité-sur-Mer, afin de valider les ultimes réglages et tout le team rejoindra Saint-Malo.
 
Marc Guillemot quittera son port d’attache le mardi 17 ou le mercredi 18 octobre, en fonction des conditions météo, pour rejoindre la cité corsaire où il est attendu le vendredi 20 octobre avant 12h, selon l’avis de course.

Source Safran

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Le pari d´United Team Germany

America's Cup 2007 Valencia Louis Vuitton Act 12 United Internet Team Germany
DR

L’équipe n’a remporté que cinq matchs dans la saison, dont quatre face à China Team. La victoire contre Shosholoza fait exception. La régate en flotte du Louis Vuitton Act 11 n’a été d’aucune consolation… UITG termine à la 11e place devant le syndicat chinois et loin derrière les autres.  Pour les Allemands, la gageure, en 2006, était d’arriver à trouver le rythme à bord de GER 72. Mais avec un bateau lent, difficile d’être compétitif. La bonne nouvelle est que GER 89 est désormais arrivé et que les premières impressions à bord sont positives.

"C’est tellement différent que vous pouvez le voir tout de suite. Si je me souviens la dernière fois que je suis passé d’un bateau ancien à un bateau de nouvelle génération, l’écart n’était pas aussi grand. C’est une chance pour nous, parce que nous avons vraiment besoin de faire un grand bond en avant ” a déclaré le skipper Jesper Bank. “Mais nous n’avons pas eu l’occasion de vraiment nous mesurer aux autres équipes, donc nous ne savons pas encore où nous situer. Nous savons que c’est différent, que nous marchons bien. Dès le premier jour, lorsque nous avons mis les bateaux côte à côte, nous savions qu’il était plus rapide. Et ce n’est pas habituel de faire ce genre de constat dès la sortie du hangar. Mais nous n’avons pas encore passé beaucoup de temps à bord, donc…"

Après ses premières navigations, le bateau est retourné dans son hangar pour améliorer quelques réglages, chose courante quand il s’agit de mettre au point un nouveau Class America. Le problème est que le temps est compté… et l’équipe en est bien consciente. “Nous retenons notre souffle parce que nous étions frustrés, et nous le sommes encore, d’avoir eu à naviguer sur un vieux bateaux pendant autant de temps. Nous avons commencé la campagne avec la volonté d’avoir un bateau neuf à l’eau le plus tôt possible. Et là, nous ne sommes toujours pas su l’eau.” admet Bank. “Donc, nous avons le sentiment de courir après le temps et une grande part de nos résultats va dépendre des performances de notre nouveau bateau. Nous faisons tout ce que nous pouvons pour être aussi préparés que possible, sachant que c’est le bateau qui fera le reste.”

Des résultats dans la continuité
Si les résultats obtenus en 2006 sont frustrants pour l’équipe, il faut rappeler à quel point il est difficile de lancer un challenge en partant de zéro. Certes, Bank amène son expérience acquise dans une précédente America’s Cup et dans ses multiples campagnes olympiques. Il n’empêche qu’un syndicat naissant doit de toute façon gravir les échelons. Dans l’univers de la Coupe, c’est souvent dans la continuité – après de multiples tentatives- d’une équipe finit par connaître le succès. Bank y croit et voudrait que ce soit le cas pour UITG.

“Si vous regardez les investissements réalisés autour d’une équipe, ça ne ressemble pas à quelque chose de ponctuel. Cela va plus loin que 2007. Tel est notre planning et la manière dont nous gérons nos investissements. Donc, nous voulons continuer et nous espérons continuer.” Mais pour convaincre un partenaire qu’une équipe vaut la peine, encore faut-il obtenir quelques résultats sur l’eau. Pour cela, les Allemands ont programmé des entraînements intensifs à Valencia, dès maintenant et jusqu’au début du Louis Vuitton Act 13. “Nous prévoyons de rester ici tout le long” confirme Bank. “Nous avons quelques déplacements et quelques épreuves de match racing, mais à part cela, nous restons ici à Valencia.”

“Nous devons nous concentrer sur GER 89 et sur ce que nous allons faire avec ce bateau. Nous sommes limités en ressources humaines et surtout en temps, donc, le défi pour nous est de prendre les bons raccourcis et les bonnes décisions. Nous allons naviguer avec d’autres équipes. Nous avons un programme d’entraînement ce mois-ci avec Areva, Shosholoza et Mascalzone Latino-Capitalia.” L’équipe n’a pas froid aux yeux quand il s’agit d’abattre du travail. Souvenez-vous, UITG était le premier à emprunter le nouveau canal du Port America’s Cup, le 11 janvier dernier. C’était lors de leur première session d’entraînement, dans des conditions hivernales. Avec Bank comme chef d’orchestre, un nouvel hiver de navigation attend les Allemands. Le fruit de ce travail sera connu dès le mois d’avril avec l’Acte 13 qui précèdera la Louis Vuitton Cup. Mais jusqu’où UITG peut-il progresser d’ici là ? “Nous devons vraiment voir ce que vaut GER 89 avant de commencer à nous fixer des objectifs. Nous voulions que le bateau soit à l’eau au début du printemps, mais cela n’a pas été le cas. Nous sommes où nous sommes et nous devons avancer. J’aurai certainement une meilleure idée de ce que peuvent être nos objectifs en mars l’année prochaine.”

Source ACM

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Vuarnet : protection et innovation depuis 1960.

Vuarnet
Vuarnet

Design, ergonomie et confort motivent toujours l’innovation ! Vuarnet lance cette année une nouvelle thématique nylon où les modèles s’envisagent en total look ! L’utilisation du logo élastomère, coordonné aux embouts, affirme la nouvelle identité de la marque. De nouveaux traitements flash sur les verres confirment l’unicité et se développent en vert, orange, violet, rouge ou bronze. Les montures, déclinées dans des coloris irisés, procurent un touché satiné.

Parmi ces nouveautés, le modèle 121 est proposé avec de nombreuses déclinaisons de verre Vuarnet (notamment le Nautilux, idéal pour toutes activités nautiques), pour une protection optimisée dans toutes situations. Ce modèle est également réalisable en verres correcteurs.

Plus d’infos sur www.vuarnet.com

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Les solitaires se jettent à l´eau

Alex Thomson stage de survie Velux 5 Oceans 2006
DR

Les huit marins viennent notamment de boucler le stage de sécurité dispensé par le CEPIM. Le navigateur Yves le Blevec accompagné du pompier secouriste Henry Monet ont ainsi cherché à familiariser les marins avec certains automatismes à adopter en situation de détresse. Des gestes qui pourraient assurer leur sécurité et leur survie en mer. Au menu de la formation, les skippers ont tout d’abord dû se munir de leurs combinaisons de survie. Une fois dans l’eau et vêtus de la tête aux pieds de ces combinaisons qui leur permettent de flotter et de rester au sec, les exercices de base auxquels ils se sont prêtés n’avaient plus rien de simple. Henry Monet, habitué de ces stages en donne une raison : « Il y a une flottabilité positive au niveau de la combinaison qui rend le simple fait de passer sous l’eau difficile. »

C’est dans la bonne humeur, qu’ils ont pratiqué le SMDSM : Système mondial de détresse et de sécurité en mer. Les skippers ont donc effectué les mouvements basiques leur permettant de se déplacer dans l’eau, le plus facile étant en fait d’être sur le dos et en marche arrière. Ils sont ensuite passés un à un sous un ponton, puis sous l’un des bateaux avant de gonfler un radeau de survie. Une fois tous a bord, ils ont plusieurs fois fait l’exercice de le retourner et de regrimper à bord. Même les plus expérimentés comme Bernard Stamm ont apprécié l’exercice. « Ca nous permet de nous rappeler toutes ces choses qui sont en mémoire mais qu’au final on ne fait jamais. On crée ainsi des automatismes que nous n’aurions pas sans ce genre de préparation. Et puis dans ces conditions c’est plutôt marrant de le faire mais on espère ne pas en avoir besoin pour autant. Retourner ce radeau à huit n’est déjà pas évident alors devoir le faire seul en mer avec les vagues ce serait une autre paire de manches … ».

Il y a ceux qui n’ont encore jamais eu a le faire, et ceux qui souhaitent ne pas avoir à le revivre. Mike Golding fait partie de ces derniers. « Je me suis retrouvé dans le radeau de survie en 1989 après mon chavirage en trimaran lors du tour de l’Angleterre. Je n’ai pas envie que ça se reproduise de nouveau mais là je le prends en rigolant. Il faut être à l’aise de toute façon ! ». Et apparemment, les marins qui s’apprêtent à partir autour du monde ont réussi le test comme le confirment les deux formateurs. « Dans l’ensemble nous avons été plutôt agréablement surpris et nous trouvons qu’ils ont bien géré. Etre bon marin et être à l’aise dans l’eau ne va pas forcement de pair et là c’est vrai que tous ont plutôt un bon rapport à cet élément. »Après les exercices en mer, les marins ont passé en revue les matériels de sécurité et notamment ceux qui touchent à la pyrotechnie. Apres avoir utilisé des fusées de détresse et des fumigènes dans le port de Bilbao, ils se sont frottés au « triangle du feu ». Les formateurs ayant déclaré un feu hydrocarbure, tous ont du l’éteindre par étouffement. Mike Golding, ancien pompier, a passé le test haut la main !

Source Velux 5 Oceans

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CHN95, premier Class America pour l´empire du milieu

Construction CHN95 China Team oct 2006
DR

Numérologie chinoise : le 95 expliqué par Léo, traducteur-interprète chez CHINA TEAM
« Le 5,cela représente tout d’abord les 5 éléments essentiels : le feu, le bois, la terre, l’or et l’eau. Ces éléments sont fondateurs, puisqu’ils ont permis aux dieux chinois de créer notre monde. L’association du 9 et du 5 comporte une autre dimension très symbolique. Quand on écrit 9 et 5 ensemble, en caractères chinois, cela veut dire 45, soit la multiplication des deux chiffres. Et 45, c’est un chiffre qui est chargé de sens et de symboles importants puisque c’était l’âge auquel un chinois pouvait devenir roi. On a bien sûr un proverbe pour cela, « jiu wu zhi zun », qui veut dire qu’à 45 ans, c’est l’âge où l’homme atteint sa plénitude, son apogée, c’est l’âge fort ! C’est donc un chiffre qui doit nous réussir ! »

Pourquoi CHN95
La désignation des Class America se compose de deux parties. Les trois premières lettres désignent le pays d’origine du Yacht Club, CHN pour la Chine, ITA pour l’Italie, NZL pour la Nouvelle Zélande, etc. Le chiffre qui suit est attribué par le directeur technique de la jauge pour chaque nouveau Class America, dans l’ordre chronologique de construction. CHN95 sera donc le 95ème Class America depuis la naissance de la jauge, en 1992. Un bateau peut changer de nationalité, mais pas de numéro.

La jauge ACC
Le numéro d’un Class America est officiellement attribué par le directeur technique de la jauge si le bateau a été construit en stricte conformité avec elle. La jauge est un document édictant les règles et obligations encadrant la construction du bateau, notamment sa taille, son poids, la surface de voile, mais aussi les procédés de construction et les matériaux utilisés. Une équation, devenue fameuse au sein du landerneau de l’architecture navale, associe les trois grandes dimensions du futur bateau de course :

L est la longueur en mètres, S la surface totale de la voilure et DSP, le déplacement du bateau (exprimé en mètres cube)  Les architectes doivent jouer sur ces trois critères pour déterminer, parmi une infinité de solutions possibles, celle qui fera avancer le bateau plus vite que les autres.

Source China Team

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Adrena : 4 nouveautés pour la régate !

Adrena Sailect
Adrena Sailect

Logiciel Optima-Sailect® : une innovation 2007, unique sur le marché, en partenariat avec North Sails.
Sailect est un logiciel exclusif, totalement intégré à Optima, qui permet de visualiser les plages d’utilisation de chacune des voiles. D’une utilisation très simple, il informe en permanence de la bonne adéquation du jeu de voiles avec les conditions de vent en cours. Il anticipe également les meilleures voiles à utiliser sur les bords suivants.
La voilerie North Sails fournit à son client la Sailect®, c’est à dire la représentation graphique polaire des plages d’utilisation des voiles du bateau.
Le navigateur peut ensuite visualiser à tout moment la bonne configuration de voilure.
Il peut de plus étudier les vraies plages d’utilisation (ranges) de ses voiles par rapport aux prévisions de la Sailect® et dialoguer avec sa voilerie afin de faire évoluer la garde robe du bateau.
L’étude de la Sailect® à travers le logiciel Optima va par ailleurs aider le navigateur à exprimer ses souhaits et son ressenti à la voilerie en s’appuyant sur des données enregistrées et fiables.

Logiciel Tactique : Tactique V4, nouvelles fonctions : Alarmes.
La version 4 du logiciel Tactique permet de paramétrer des alarmes sur plus 100 données gérées dans le logiciel, comme par exemple l’écart de route, la vitesse cible, le fond, le vent…
Quand elle se déclenche l’alarme émet une signal visuel sur l’écran du PC et un signal sonore au choix qui peut être relié à un haut-parleur à l’intérieur et/ou à l’extérieur.
Indispensable en course au large, les alarmes sécurisent le repos du navigateur en solitaire ou du skipper hors quart.
En régates côtières, les alarmes préviennent le tacticien des différents événements relatifs au parcours (approche d’une layline, rotation du vent…).

Module Routage.
Le routage avancé de Tactique a été développé dans l’optique de la course et la recherche de performance.
Il inclut la lecture et l’affichage des GRIB météo (vent, vagues, pression…), il évite automatiquement les terres et gère les marques à laisser et les portes à passer.
Le routage se fait sur un calcul de la route optimale à suivre en prenant en compte les GRIB météo, les courants (y compris dans leur influence sur le vent) et les polaires de vitesse du bateau.
Le routage peut être lancé directement sur un parcours enregistré depuis les instructions de course.
Il est possible de demander plusieurs calculs de routes successifs en forçant certains paramètres comme le GRIB, le vent ou les courants puis de les afficher sur la cartographie afin de les comparer.
Enfin, le module Replay de tactique permet de jouer une route calculée en amont et présente à l’écran tous les paramètres de navigation au cours de la route prévue.

Module AIS.
Un récepteur AIS connecté au PC du bord et le module AIS de Tactique garantissent la sécurité des navigations.
Le module AIS permet le suivi permanent des différents bateaux émetteurs présents dans la zone, l’affichage de leur position et de leur route sur la cartographie et la lecture de leurs caractéristiques.
Le module AIS détecte les routes de collisions et avertit le navigateur du danger par des alarmes visuelles et sonores.

Plus d’infos sur www.adrena.fr

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Les nouvelles pompes Whale.

Thommeret - Whale
Thommeret - Whale

La nouvelle gamme de pompes de cales électriques ORCA de chez Whale.
Les systèmes d’eau Whale, qui renouent avec leur grande expérience de fabricant en pompes de cale, ont lancé une nouvelle gamme de pompes de cale électriques.
Cette nouvelle gamme de pompes de cale haut qualité est composée de 4 modèles avec un choix de 3 capacités de débit – 32 l/min, 57 l/min et 82 l/min.
Ces quatre modèles ont un haut niveau performances parfaitement conformes avec la norme ISO8849 d’équipements nautiques.
La nouvelle gamme Orca est facile à installer ainsi qu’à entretenir et elle a une multitude d’avantages pour l’utilisateur.
– L’installation est simplifiée avec les multiples emplacements de câblage et sa forme compact permettra à l’installateur une position au meilleur endroit de la cale.
– La base très large du filtre de la Orca assure une surface maximale de la pompe dans l’eau, alors que la faible consommation assure une longue vie à la batterie.
– Les pompes électriques Orca Whale sont garanties 3 ans.

Références des modèles Orca :
WBE0500 Pompe de cale électrique ORCA – capacité 32 l/min (12 V = d.c.)
WBE0950 Pompe de cale électrique ORCA – capacité 57 l/min (12 V = d.c.)
WBE1450 Pompe de cale électrique ORCA – capacité 82 l/min (12 V = d.c.)
WBE1454 Pompe de cale électrique ORCA – capacité 82 l/min (24 V = d.c.)

Whale est heureux d’annoncer le lancement de la toute nouvelle pompe de cale manuelle Smartbail TM.
La Smartbail TM, référence WBP5012, sera lancée au METS en Novembre 2006, mais elle est disponible chez les shipchandlers à la commande pour livraison Novembre 2006. La Pompe Smartbail TM de Whale est la combinaison d’une performance haut niveau avec un matériel robuste et un style lisse et moderne.
Ce modèle Smartbail offre une foule d’avantages aux utilisateurs :
– La Smartbail se monte avec un perçage de 140mm de diamètre à la place des emplacements prévus par certaines pompes actuellement sur le marché.
– La boite inclu deux types de sorties, 2X25mm (1") et 2X38mm (1½")
– La Smartbail TM est conçue pour garantir un environnement durable et ses performances sont
compatibles avec la norme ISO15083 standard.
– La poignée lisse intégrée rend la pompe instantanément opérationnelle.
– Les pompes manuelles Smartbail Whale sont garanties 3 ans.
– La conception de ligne mince est idéale pour les espaces confinés
– Facile à installer pour une seule personne
– Aucun raccord supplémentaire n’est nécessaire pour une installation rapide
– Facilité de préhension de la poignée pour une utilisation confortable
– La fixation ne nécessite aucun ajout de silicone, malpropre à l’environnement.
– Une fois installée, la pompe est immédiatement utilisable
– Le diaphragme breveté de chez Whale assure une action facile de pompage.
– Pour le confort de l’installateur, la pompe peut-être fixée dans diverses orientations et arrive préassemblée en une seule unité.

Plus d’information sur le site de Yachting Thommeret : www.yachting.fr

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