Guillermo Altadill: « Cela a été dur avec les deux dépressions que nous avons essuyées. Ensuite, ça a été stressant pour nous parce qu’il a fallu tenir le rythme et garder le décalage de milles que nous avions avec les autres et puis cette dernière journée avec nos concurrents qui revenaient. Finalement, nous terminons deuxième, et c’est un super résultat. Nous avons cassé des petites choses classiques dans les conditions que nous avons rencontrées mais pour être honnête, le bateau était parfait, génial pour affronter les conditions que nous avons eues la première semaine. Le pire souvenir, c’est cette dernière journée. Les derniers 150 milles. Hier c’était horrible, on était en plein milieu des grains, on voyait les autres avancer à 15 nœuds…c’était très stressant. »
Alex Thomson : « Ce n’était pas la route la plus facile mais nous préférions cela plutôt que de rester deux jours coincés dans une zone sans vent avec les voiles qui font flap flap. Physiquement, ça va. Le plus dur, c’est que nous n’avons pas beaucoup dormi. Nous avons eu la même stratégie que Virbac-Paprec. Et nous finissons l’un derrière l’autre. Je pense que notre bateau est un cran en dessous en vitesse. On espérait qu’il y aurait une opportunité pour revenir sur eux, on croyait que ce serait peut-être le cas à l’approche de l’arrivée mais ils avaient trop d’avance. »
Premières réactions de Thomson et Altadill
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