“Je ne sais pas comment je vais terminer ce dernier tronçon…”” Karen Leibovici (“”Benefic””), elle, doit faire face à une nouvelle difficulté technique : 35 nœuds de vent, mer croisée, et voilà le pilote principal qui décroche, incapable de reconnaître l’angle de barre. “”Une telle réparation est impossible à effectuer en mer””, constate la Rochelaise avec amertume. A 60 milles par le travers de l’île Santa Maria dans l’est des Açores, “”Benefic”” est ballotté par les éléments. Karen Leibovici, qui souffre toujours de fortes douleurs au dos, doit à nouveau barrer pour maintenir vitesse et stabilité. Elle a dans le même temps réussi à fixer un petit pilote de rechange, dans l’attente d’une solution concoctée par son équipe à terre. Elle est à 20 h à 1115 milles des Sables d’Olonne.”
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