… comme ses petits camarades de l’Odyssée Cannes – Istanbul, qui décidément joue de malchance avec la météo.
« Mardi 4 juillet, île d’Andros, mer Egée : 40 noeuds dans le port, 50 dans les rafales au large, nous ne sommes pas mécontents d’être à l’abri, même précaire, dans cette petite île grecque. A priori, nous sommes bloqués ici pour 48 h par cette météo épouvantable. Ce qui donne, il faut bien l’avouer, une tournure particulière à cette course… le bateau et l’équipage vont bien et on va prendre ces derniers aléas avec philosophie et surtout du bon côté. Manger, se reposer et se distraire un peu. Côté course nous sommes second au général, à plus de 20 minutes de « TEB » qui ont très bien navigué sur cette deuxième étape. Derrière, Les Mousquetaires et « le Dr Valnet » sont assez loin et je ne parle pas du reste de la flotte qui a désormais beaucoup de retard. Donc le premier bilan est très positif. Nous pouvons espérer encore gagner ou finir second. Si toutefois la course va à son terme… »