Laurent Pagès, à bord de Team Brunel, sait que la première partie du parcours entre le Cap et Abu Dhabi sera intéressante sur le plan stratégique mais la suite s’annonce trop aléatoire pour en faire son étape favorite. « Ce n’est pas l’étape la plus excitante à mon goût. Toute la deuxième partie, après l’équateur, dans le nord de l’Indien est assez aléatoire avec des zones de grains difficiles à anticiper. J’ai le sentiment que pour l’arrivée à Abu Dhabi, la première partie jusqu’à la zone de convergence intertropicale, soit la partie la plus intéressante sur le plan stratégique, ne comptera pas ! On peut très bien envisager de se retrouver tous à l’entrée du détroit d’Ormuz dans une zone sans vent . Attention, mon analyse de l’étape ne veut pas dire que l’on n’est pas motivé ! »