Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3) : « En théorie, on a de l’avance. Maintenant il faut terminer, ne pas aller dans une zone trop déventée. Dans la pétole, tout peut arriver. La meilleure façon de se faire avoir dans ce type de temps, c’est de marquer son concurrent. On a du vent malgré tout, un vent qui évolue assez fortement en direction, en fonction de si on est sous un nuage ou pas. La force, on sait à quoi s’en tenir, mais la direction… On a des écarts de 30 degrés sur les prévisions de direction du vent, entre le modèle américain et les autres. On va arriver vers 6h TU vendredi, je pense... »
Samuel Manuard (Actual) : « On a de bonnes conditions. On est sortis de la zone très perturbée où on s’est fait pas mal secouer par des grains. Il faut trouver la barrière entre aller à fond et faire attention au bateau, surtout quand on a des conditions très scabreuses. La situation n’est pas clairement établie pour l’arrivée. Visiblement, il y a peu de vent au fond du golfe, on peut rester scotchés pendant longtemps, donc il ne faut pas lever le pied et surtout ne pas penser que tout est acquis. On est pressés d’arriver ; on a très envie de découvrir le Costa Rica. »