Le trimaran Geronimo affiche un petit 308 miles au compteur de sa première journée malgré des sauts de vent de plusieurs heures en fin de journée hier qui font alors écrire à Olivier de Kersauson : "Brume, pluie, pétole: de plus la mer bouillonne : 7 noeuds dans les rafales et progression dérisoire vers l´Est. Le vent adonne, impossible de porter un gennaker dans ce clapot infernal. La mer est de face ou de travers ou bien de l´arrière, bref de partout. Chocs sourds tour à tour sur la coque centrale et les flotteurs. Navigation chaotique, lente, pénible : impression d´aller nulle part enfermés dans ce monde sans horizon de brume et de pluie."
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