Alex Thomson s’explique dans le nouveau Course au Large

Promo CAL 43 Imoca
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C’est à moins d’une semaine de son convoyage retour vers les côtes anglaises que nous avons joint Alex Thomson, en villégiature new yorkaise suite à une petite traversée de l’Atlantique destinée à tester sa nouvelle monture. Ayant, quoique difficilement, ravalé sa frustration de n’avoir pu participer au dernier Vendée Globe suite à une collision avec un chalutier à l’approche des Sables d’Olonne, le navigateur britannique est de retour en mode course à la barre de l’ex-Pindar, qui termina cinquième de ce même Vendée Globe, aux mains de Brian Thompson.

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Un engin dont le cahier des charges insistait avant tout sur la puissance lors de sa conception : rappelons que c’est tout d’abord sous l’impulsion de Mike Sanderson, et sans ambition tourdumondiste en solo, que le dessin de cette machine avait été confié à Juan Kouyoumdjian, ce qui constituait alors la première incursion de l’architecte dans l’univers de l’IMOCA.

En clair, le Vendée Globe n’était pas au programme, ce qui explique la radicalité du navire, doté d’un mât-aile initialement destiné au trimaran Gitana X lorsque l’équipe Hugo Boss en a fait l’acquisition… Brian Thompson nous avait confié avoir souffert lors de son Vendée Globe en raison de l’engagement physique démesuré que nécessitait cette machine de guerre, et son nouveau propriétaire ne cache pas lui non plus que son choix va représenter un sacré défi en solitaire…

Lire la suite de cette interview exclusive dans le nouveau Course Au Large N°43, disponible en kiosques.

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