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Régates olympiques Finn, RS:X et 470 dans le Sud à suivre

Du 8 au 13 mai prochains, auront lieu à Marseille les Championnats d’Europe de Finn et RS:X hommes et femmes, tandis que Monaco accueillera les Championnats d’Europe de 470 hommes et femmes. Après l’étape de Coupe du Monde à Hyères la semaine dernière, le sud du pays sera une nouvelle fois le théâtre de régates olympiques de haut vol. Côté Equipe de France, Louis Giard – récent vainqueur de la World Cup Series à Hyères – et Thomas Goyard, Champion d’Europe en titre seront alignés en RS:X. Jonathan Lobert et Fabian Pic seront de leurs côtés présents en Finn et, en 470 hommes et femmes, Guillaume Pirouelle & Jérémie Mion (Champion d’Europe en titre avec Sofian Bouvet) et Cassandre Blandin & Aloïse Retornaz seront les représentants de l’Equipe de France.

Championnats d’Europe RS:X hommes & femmes
Les Championnats d’Europe RS:X testent cette année un nouveau format de course avec un système de qualifications : les 12 meilleurs seront sélectionnés pour un format de phases finales (8ème, quart, demi-finales et finale) à élimination directe, où le bénéfice des points de la semaine ne sera donc pas conservé. Les trois meilleurs en découdrons sur la finale, où le vainqueur sera donc le premier à passer la ligne d’arrivée.

Après deux victoires sur les deux premières épreuves de l’année (World Cup Miami & World Cup Hyères), Louis Giard s’aligne à Marseille avec le plein de confiance, malgré le nouveau format qui sera testé : « Ce sera différent de ce que nous connaissons jusqu’à présent, il va falloir chaque jour que je sois à 100% de mes capacités, c’est un test pour les organisateurs, mais peut-être que ce sera un nouveau format mis en place dans le futur pour notre sport, c’est donc intéressant de voir ce que cela donne. », confie Louis Giard.

Le Calédonien Thomas Goyard, se réjouit également de disputer les Championnats d’Europe dans quelques jours. Sacré l’année dernière Champion d’Europe, il y défendra sa couronne : « Après Miami et Hyères (5ème et 9ème), cela se présente plutôt bien pour les Championnats d’Europe à Marseille. En tout cas, je me sens rapide, plutôt en forme physiquement. Je vais tenter de ne pas faire les mêmes erreurs tactiques que sur l’étape de Coupe du Monde à Hyères ».

Championnat d’Europe de Finn
Les finnistes français seront également présents à Marseille, au Yachting Club de la Pointe Rouge, pour en découdre parmi plus de 60 compétiteurs. Pour son retour à la compétition après une opération du genou il y a tout juste deux mois, Jonathan Lobert a décroché le bronze à Hyères la semaine dernière, il aura l’envie de glaner de nouveau une place d’honneur : « Je suis très content d’aller à Marseille pour cette deuxième grosse régate après la World Cup Series à Hyères. Je suis dans la même optique, c’est-à-dire d’engranger un maximum de navigation, de prendre les journées comme elles viennent et d’essayer d’être performant malgré ma condition physique qui n’est pas encore à 100%. Et puis, bien que ce soit en France, je ne connais pas très bien le plan d’eau marseillais, il va donc falloir s’adapter ».

Fabian Pic sera également au départ de ce Championnat d’Europe, pour tenter d’accrocher une bonne performance.

Championnats d’Europe de 470 hommes & femmes
Les 470 hommes et femmes seront de leurs côtés, à Monaco pour disputer leurs Championnats d’Europe.
Après Kévin Peponnet la semaine dernière à Hyères, Jérémie Mion (Champion d’Europe en titre avec Sofian Bouvet) testera quant à lui une nouvelle association avec le Havrais Guillaume Pirouelle. « Je suis très heureux d’être à Monaco pour les Championnats d’Europe, mais surtout content d’enchaîner les régates ces dernières semaines. Nous nous sommes un peu entraînés en février dernier avec Guillaume et nous avons vu que nous marchions bien dès qu’il y avait du vent. Dans le petit temps, il reste encore du travail. C’est d’ailleurs les conditions que nous devrions rencontrer pendant la régate. Le plan d’eau de Monaco est vraiment très particulier, il y a peu de vent et quand il y en a, il est particulièrement instable. Nous ne nous mettons pas de pression mais nous avons l’envie de bien faire, surtout que je remets mon titre en jeu! » confie Jérémie.

De leurs côtés, Cassandre Blandin & Aloïse Retornaz s’aligneront avec une grande motivation après leurs 7èmes places à Hyères.

L’Equipe de France en compétition
RS:X H Louis GIARD (YC Carnac)
Thomas GOYARD (A. Calédonienne P.A.V / Armée de Champions)

Finn Jonathan LOBERT (SR Rochelaises / Armée de Champions)
Fabian PIC (SR Rochelaises / Studio Vincent Eschalier)

470 H Guillaume PIROUELLE (SNP LE HAVRE) / Jérémie MION (SR Havre)

470 F Cassandre BLANDIN (SNO Nantes) / Aloïse RETORNAZ (SN Sablais)

La délégation de voile olympique au complet
RS:X F Lucie BELBEOCH (CROCODILES L’ELORN)
Jeanne DANTES (ABC VOILE)
Delphine JARIEL (Y C MAUGUIO CARNON)
Berenice MEGE (ASPTT MEYZIEU/DECINE)
Hélène NOESMOEN (SN SABLAIS)
Claire TETARD (S R ROCHELAISES)
Lucie PIANNAZA (CN ANGOULINS)
Jeanne PENFORNIS (LA MOUETTE SINAGOTE)
Rachel CHAPOT (SR ROCHELAISES)

RS:X H Adrien MESTRE (S R ROCHELAISES)
Paul ROZIER (Y C MAUGUIO CARNON)
Oel POULIQUEN (CN LORIENT)
Clément BOURGEOIS (CV MAYENNE)
Camille BOUYER (SR ROCHELAISES)
Trevor CARAES (CROCODILES DE L’ELORN)
Clément GUEVEL (CV A NANTES)
Corentin GUEVEL (CROCODILES DE L’ELORN)
Alec HERLEDAN (CN FOUESNANT)
Titouan LE BOSQ (CN FOUESNANT)
Jérome PASQUETTE (CROCODILES DE L’ELORN)
Corentin BEUDAERT UGOLINI (CN VAUCLIN)
Romain GHIO (AV CARRY LE ROUET)

Finn Antoine DEVINEAU (SNO NANTES)

470 F Marina LEFORT (S R ANTIBES) /GRANIER LARA (S R ANTIBES)
Jennifer PORET (S N P H) / HAUTEFAYE CAMILLE (CNA VOILE)
Charlotte YVEN (S R TERENEZ) / RIOU MARINE (E V TREBEURDEN)
Paola AMAR (YC CANNES) / Pauline FAUROUX (UYC)
Lola BILLY (CV L’ABER WRAC’H) / Emma GUEVEL (SR BREST)

470 H Hippolyte MACHETTI (S R ANTIBES) / DANTES SIDOINE (S R ANTIBES)
Thomas PONTHIEU (SR ANTIBES) / PATURLE QUENTIN (SR ANTIBES)
Jules DUCELIER (S N P H) / Clément MICHEL (CV ST AUBIN ELBEUF)
Vianney GUILBAUD (C V ST QUENTIN) / Aurélien BARTHELEMY (C N BRETIGNOLLES) Swan HAYEWSKI (S R ROCHELAISES) / Arthur CONANT (S R ROCHELAISES)
Arnaud HERAIL (CNAR) / Paco LEPOUTRE (CNAR)

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Grand Prix de l’Ecole Navale : une nouvelle édition qui tient toutes ses promesses !

Grand Prix de l'école Navale 2015 - © Pierrick Contin

La présentation du Grand Prix de l’Ecole Navale 2017 a été présenté ce vendredi sur la Belle Poule à Brest en présence du contre-amiral Benoît Lugan, directeur général de l’École navale, Henry Bacchini, vice-président de la FFVolie, et le capitaine de corvette Alain Daoulas, commissaire nautique de l’épreuve .

La quartier maître Camille Lecointre, sportive de haut niveau de la défense, marraine de l’événement était venue témoigner de son enthousiasme, elle qui a participé à de nombreuses éditions en s’alignant sur le départ des régates mais également du côté de l’organisation.
Objectif 200 !

Côté course, l’épreuve, support du championnat de France Habitables depuis 8 ans, confirme le succès de la monotypie en France et en Europe, et devrait dépasser la barre des 200 bateaux en rade de Brest et Presqu”île de Crozon.
A un peu moins d’un mois de l’épreuve, les ténors des 11 séries prévues sont inscrits.

Les J80, Open 570 et DIAM24 seront cette année encore les séries les plus nombreuses. Elles seront accompagnées des très dynamiques Corsaire, Gibseaplus, Mach650 et Seascape18, LaserSB20.
De nouvelles classes rejoignent l’épreuve en 2017. Présentes pour la première fois au GPEN, les Requin, Open500, Cap Corse, affichent leurs engouement en présentant des flottes bien fournies

Plusieurs événements dans l’événement : En parallèle du championnat de France qui se déroule sur 4 sites de course (l’École navale à Lanvéoc-Poulmic, Camaret-sur-Mer, Crozon-Morgat et Roscanvel), le Grand Prix de l’Ecole Navale propose pour la 7ème année consécutive, une course de paddle. Après une édition au cœur des fêtes maritime de Brest 2016, la Penn Ar Bed Paddle Race, ouverte à tous, aura lieu à Camaret-sur-Mer, le vendredi 26 mai à 18 H.
Le Grand Prix de l’Ecole Navale s’étendra jusqu’à Brest les vendredi 26 et samedi 27 avec une course handivoile organisée par le Lions Club de Brest Iroise en partenariat avec la section handivolie locale.
Des soirées festives sont prévues les jeudi 25 et vendredi 26 mai à Morgat , Camaret et Lanvéoc, mais aussi Roscanvel le 25 mai.
A l”occasion des 150 ans du Yacht Club de France de France, un classement féminin sera extrait des résultats de la classe J80.

Le Grand Prix de l’Ecole Navale, une épreuve entièrement sponsorisée et atypique
Les inscriptions à l’épreuve, associées aux soutiens des partenaires, la mobilisation du milieu associatif et des bénévoles, permettent aux concurrents de bénéficier d’un package logistique unique, le financement récolté étant entièrement reversé dans l’organisation générale de ce Championnat de France fédéral.

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Victoire de Nicolas Lunven à la Solo Maitre CoQ

@ Christophe Favreau

Nicolas Lunven (Generali) s’ets imposé sur la grande course de coefficient 3 et remporte la 14e édition de la Solo Maître CoQ, signant une troisième victoire sur cette classique sablaise. Tout au long des 260 milles nautiques du parcours, le navigateur vannetais aura mené une belle bagarre contre le sablais Sébastien Simon (Bretagne CMB Performance) et contre Erwan Tabarly (Armor Lux). Au classement général provisoire avant jury, le skipper de Generali devance Sébastien Simon et Jérémie Beyou (Charal). Pierre Quiroga (skipper Espoir CEM), beau leader jusqu’à jeudi matin, échoue au pied du podium. Du côté des bizuths, Julien Pulvé de la formation vendéenne (Team Vendée Formation) remporte le classement, un résultat qui le met en confiance pour la suite.

Nicolas Lunven, skipper de Generali: ” Je vais forcément bien quand on gagne ! Pourtant, dès le début, cela n’a pas été facile. Je passe la bouée de dégagement en tête et 5 minutes après c’était déjà la foire. J’étais 9e sous le pont de l’île de Ré. Mais je me suis accroché, je n’ai pas baissé les bras et ce malgré les renversements de situations. Et dieu sait qu’il y en a eu sur cette course ! Mais tout s’est bien déroulé. J’ai eu pas mal de réussite et ce dans tout ce que j’ai fait ou essayé de faire. On s’est bien bagarré avec Erwan et Sébastien. Tout au long de la manche, c’était toujours un coup l’un, puis un coup l’autre. A chaque fois, j’arrivais toujours à repasser devant, voire à avoir la petite longueur d’avance qui suffisait. La victoire au classement général, c’est super. En partant jeudi, je n’avais pas pris la feuille des classements et n’avais pas les points en tête. J’ai appris ma victoire au général une fois la ligne franchie. La cerise sur le gâteau ! Lors de la transition cette nuit, j’étais, au début, plutôt confiant parce que je pensais que le vent allait rentrer de terre. Du coup je m’étais décalé entre la flotte et la côte me disant: “tant que tout le monde est à l’arrêt, il ne va pas se passer grand chose. Le vent va revenir vers moi en premier.” Ca, c’était ce qui était prévu mais ce n’est pas ce qui s’est passé. Erwan m’a fait peur. Décalé plus à l’ouest, il a redémarré un tout petit peu avant moi. Cela lui a permis de refaire son retard et d’être menaçant jusqu’à la bouée des petites Barges. C’est toujours comme ça. On a une idée en tête. On pense que c’est la bonne et on s’aperçoit en cours de route que les concurrents ont d’autres idées en tête et qu’elles ne sont pas si bêtes que ça. C’est ma 3e victoire sur la Solo Maître CoQ. C’est bien de regagner ! Cela fait un moment que je n’avais pas gagné de course en Figaro. Cela met du baume au coeur, surtout devant un tel plateau !

Sébastien Simon, skipper de Bretagne CMB Performance:
C’était dur. En fait, la grande course comptait pour moitié de tout ce qu’on avait fait en début de semaine. Cela remettait tout en jeu mais c’est aussi cela qui était intéressant. Il y a eu plein de retournements de situations. A chaque nuit, il se passait des choses. Il fallait réussir à rester dans le coup, à être opportuniste. La deuxième place m’a échappé sur cette grande course et pour cela je suis un petit peu en colère. Mais je me rattrape avec une troisième place et surtout une place de deuxième au classement général. Cela me va très bien pour la dernière épreuve du championnat de France avant la Solitaire du Figaro. Je suis content de faire deuxième ici aux Sables d’Olonne, à domicile et même si je suis venu avec mon bateau Bretagne CMB Performance. Forcément, quand on est chez soi, on dort à la maison, chez ses parents, on est donc mieux reposé et moins stressé. Sur la course, j’aurai voulu dormir plus mais Nico, avec qui je me suis bien bagarré, ne m’a pas laissé beaucoup de répit. Et puis la dernière nuit tout a basculé. Je suis tombé dans une zone sans vent en premier et j’ai vu la flotte se rapprocher de moi et Nico partir. C’est là où j’ai perdu cette deuxième place et sans doute la victoire au final. Je suis plutot frustré mais cela aurait pu être bien pire. Si on m’avait dit que je ferai un podium en partant, j’aurai été très content. C’est positif avant la Solitaire. Dans les prochains jours, le bateau va rentrer en Bretagne. On a quelques réparations à faire dessus avant de partir pour Bordeaux et puis un peu de repos pour le skipper aussi…

Jérémie Beyou, skipper de Charal:
Je suis super content de cette 3e place au général. Je me suis remis au Figaro il n’y a pas si longtemps que ça. Sur la Solo Concarneau, je cherchais encore mes marques. Et là cette 3e place, c’est plus que correct. A Concarneau, j’avais laissé passer des places dans une transition et cela valait sans doute une 14e place. Ici, à la Solo Maître CoQ, j’ai réussi à être constant pendant toute l’épreuve. J’ai fait toutes les manches autour de 5e mais jamais complètement devant. Je pense que je ne suis pas encore là. J’y vais progressivement. Et si tous les 15 jours cela progresse comme ça alors cela peut jouer sur la Solitaire. En tout cas, je suis super content de cette semaine de progression, d’être sur le podium derrière Nicolas Lunven et Sébastien Simon qui ont très bien navigué. Surtout Nico qui a fait une super belle course de nuit, rapide, aux bons endroits tout le temps. Il n’y a pas de honte à être derrière ces deux là. Et puis un podium pour ma première course sous les couleurs de Charal, l’histoire commence bien ! Avec un joli clin d’oeil sur le fait que mon premier podium Charal soit sur la Solo Maître CoQ.”

Julien Pulvé, skipper de Team Vendée Formation:
C’est ma première participation à la Solo Maître CoQ. Pour moi, c’était une épreuve difficile mais un excellent exercice. Sur la partie offshore, je suis un peu plus à l’aise. C’est plus facile pour temporiser et pour prendre les décisions. Cela me convient très bien. A l’arrivée, je ne savais pas exactement combien j’étais placé. Ca c’est tellement éparpillé sur l’eau que je voyais les autres bizuths arriver avant moi. Ma première place de bizuth est une bonne surprise. Je suis vraiment ravi. J’ai bien négocié les conditions et le boulot qu’il y avait à faire ainsi que ma gestion du sommeil. Je suis curieux de savoir combien de temps les autres coureurs ont dormi. C’était une belle épreuve.”

 

Classement général provisoire avant jury

1. Nicolas LUNVEN – GENERALI – 27 points
2. Sébastien SIMON – Bretagne Crédit Mutuel de Bretagne Performance – 28 points
3. Jérémie BEYOU – CHARAL – 28 points
4. Pierre QUIROGA – Skipper Espoir CEM – 34 points
5. Anthony MARCHAND – Ovimpex – Secours Populaire – 40 points
6. Alexis LOISON – Custo Pol – 41 points
7. Thierry CHABAGNY – GEDIMAT – 55 points
8. Erwan TABARLY – Armor Lux – 58 points
9. Adrien HARDY – AGIR Recouvrement – 62 points
10. Xavier MACAIRE – Groupe SNEF – 69 points
11. Gildas MAHE – Du Talent Mais Pas d’Argent – 79 points
12. Charlie DALIN – Skipper MACIF 2015 – 81 points
13. Benjamin DUTREUX – SATECO – 86 points
14. Yann ELIES – Queguiner – Leucémie Espoir – 92 points
15. Damien CLOAREC – SafeRail – 106 points
16. Tanguy LE TURQUAIS – NIBELIS – 107 points
17. Alan ROBERTS – Seacat Services – 110 points
18. Simon TROEL – NF Habitat – 111 points
19. Martin LE PAPE – Skipper MACIF 2017 – 116 points
20. Damien GUILLOU – Triskel – 118 points
21. Eric PERON – Finistère Mer Vent – 130 points
22. Justine METTRAUX – TEAMWORK – 132 points
23. Will HARRIS – Offshore Academy – 139 points
24. *Julien PULVE – Team Vendée Formation – 143 points
25. * Milan KOLACEK – Czeching The Edge – 152 points
26. Athur PRAT – Les Perles de Saint Barth – 152 points
27. * Pierre RHIMBAULT – Bretagne Crédit Mutuel de Bretagne Espoir – 153 points
28. Sophie FAGUET – Porsche by Normandy Elite Team – 160 points
29. Yves RAVOT – Hors la Rue – 160 points
30. Mary ROOK – Inspire + – 174 points
31. * Alexia BARRIER – Piqd.com – 176 points
32. * Pierre LEBOUCHER – Aragorn – 177 points
33. Arnaud GODART-PHILIPPE – Faun Environnement – 179 points
34. Cécile LAGUETTE – Eclisse – 199 points
35. * Eric DELAMARE – Région NORMANDIE – 199 points
36. Tolga Ekrem PAMIR – FREE DOM Services A Domicile – 212 points
37. Marc POUYDEBAT – Cherche Sponsors – 215 points
38. * Axel DE BLAY – Botte Fondations – Naho Consulting – 216 points
39. Théo MOUSSION – #ThéoEnFigaro – 229 points
40. * Loic PAUCHET – OBJECTIF LA SOLITAIRE TOUS ENSEMBLE – 233 points

* bizuth

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Armel et Thomas sur Dongfeng

29April2017, DFRT, Tour de Belle Ile Yann Riou / Dongfeng Race Team

Charles Caudrelier avait invité Armel Le Cléac’h et Thomas Coville à disputer le Tour de Belle-Ile avec son équipage de Dongfeng Race Team qui prépare la Volvo Ocean Race 2017-18. A 15h44, le VO65 Dongfeng a coupé la ligne d’arrivée en tête des monocoques. Pour l’équipage international qui partira en octobre sur la course autour du monde en équipage la plus extrême qui soit, une journée comme celle-ci, ce n’est que du bonheur !

Charles Caudrelier, skipper de Dongfeng Race Team : « Nous avons partagé une journée de rêve autour de Belle-Ile avec un peu de vent mais pas trop et une équipe super. Nous avions des invités sympas et compétents ! C’était agréable de partager notre univers de la Volvo Ocean Race et de Dongfeng Race Team. Thomas (Coville) connaît la course car nous l’avons gagnée ensemble en 2012 et Armel (Le Cléac’h), lui, a plutôt l’habitude de régater en solitaire et a pris du plaisir je crois à naviguer en équipage. C’était très détendu mais aussi un bon entraînement, car on apprend toujours quelque chose quand on est en mer. »

Armel Le Cléac’h, skipper de Banque Populaire et vainqueur du Vendée Globe 2016-17 : « La Volvo Ocean Race autour de Belle-Ile, c’était vraiment super sympa ! C’est la première fois que je re-naviguais en mode compétition depuis l’arrivée du Vendée Globe, une reprise de façon amicale, dans des conditions idéales et sans pression. On a bien rigolé et quand on rigole, c’est que ça se passe bien ! On sent vraiment qu’il y a une super entente autour de Charles à bord de Dongfeng et c’est primordial pour leur tour du monde qui va durer huit mois ! Ils ont tous du talent et la mixité entre marins français et anglo-saxons, garçons et filles, ça marche et on voit bien que le courant passe. »

Thomas Coville, skipper de Sodebo Ultim’ et recordman du tour du monde en solitaire en multicoque depuis décembre 2016 : « La Volvo Ocean Race, il faudrait que ce soit tous les jours comme ça ! Des conditions idéales et une super équipe à bord de Dongfeng, vraiment ! J’ai de très bons souvenirs avec Charles sur la Volvo que nous avons remportée avec Franck Cammas. Là, j’ai retrouvé l’ambiance. Ça travaille mais après la manœuvre, il y a toujours une petite blague. Je suis impressionné par le binôme formé par Marie (Riou) et Carolijn (Brouwer) qui sont à des postes intéressants et importants. Charles, lui, a tous les chiffres en tête et pianote ça parfaitement ! Et puis, il y a la rigueur des métronomes anglo-saxons qui font le job avec la même précision sur le Tour de Belle-Ile qu’ils le feront au départ de la Volvo Ocean Race. Ce sont de vrais pros et je suis fan de cette attitude. Et puis, il y avait aussi Kévin Escoffier qui fait le liant entre tout ça, jovial et compétent. C’était un régal. Merci Charles pour l’invitation ! »

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Alain Gautier gagne le TOUR DE BELLE-ILE 2017

© Easy Ride- TOUR DE BELLE-ILE

Alain Gautier gagne pour la deuxième fois le TOUR DE BELLE-ILEsur son trimaran Orma Sensation Océan en bouclant ce samedi les 42 milles du parcours en 2h29. L’équipage de Sensation Océan composé de professionnels et d’amateur passe de peu à côté du record de l’épreuve toujours détenu par Sébastien Josse en 2h24. A 21h00, 260 bateaux avaient franchi la ligne d’arrivée !

Comme chaque année, depuis sa création en 2008, le TOUR DE BELLE-ILE a livré son lot d’images magiques. Du soleil, du vent, tout était réuni pour en mettre plein les yeux des concurrents. Amateurs ou professionnels, tous s’accordent sur une chose, la fête a tenu ses promesses !

Alain Gautier, skipper de Sensation Océan, vainqueur du TOUR DE BELLE-ILE : « Je suis très heureux de cette deuxième victoire ! Les conditions météo étaient splendides et j’avais un superbe équipage mêlant amateurs et professionnels. La bataille avec Actual Ultim était vraiment sympa. Jusqu’à La Teignouse, ils étaient à 100 mètres dernière nous mais, sur le bord de portant, nous les avons distancés. On a passé une très belle journée sur l’eau même si le record, nous échappe de cinq minutes ! »

Yves Le Blévec, skipper Actual Ultim, deuxième : « Le TOUR DE BELLE-ILE est une épreuve que j’aime beaucoup et qui se déroule à la maison. Je suis ravi de cette journée car nous avons maté Actual Ultim, il y a seulemet deux jours. C’est donc la première sortie du bateau. On a eu des conditions de rêve ! Il y a eu une belle bagarre en début de course avec Sensation Océan, mais ils nous ont rapidement distancé. Nous sommes beaucoup plus lourd car notre bateau est taillé pour faire le tour du monde. Pour les battre, il aurait fallu que le parcours soit un peu plus grand ! »
Armel Tripon, skipper Réauté Chocolat, troisième et premier Multi50 : « Première course, première confrontation avec deux autres multi50 et première navigation avec les foils. Bilan : nous sommes très contents ! Il y a eu une belle bagarre avec FenêtréA – Mix Buffet et Drekan Groupe mais nous avons réussi à tirer notre épingle du jeu ! »
Charles Caudrelier, skipper de Dongfeng, cinquième et premier monocoque : « Nous avons partagé une journée de rêve autour de Belle-Ile avec un peu de vent mais pas trop et une équipe super. Nous avions des invités sympas et compétents. C’était agréable de partager notre univers de la Volvo Ocean Race et de Dongfeng Race Team. Thomas (Coville) connaît la course car nous l’avons gagnée ensemble en 2012 et Armel (Le Cléac’h), lui, a plutôt l’habitude de régater en solitaire et a pris du plaisir je crois à naviguer en équipage et à s’occuper seulement de la navigation. C’était très détendu mais aussi un bon entraînement, car on apprend toujours quand on est en mer. »

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Mathilde de Kerangat et Jonathan Lobert en bronze !

Sailing Energy / World Sailing / FFVoile

Le « World Cup Series France » s’est terminé à Hyères avec des résultats encourageants. Mathilde de Kerangat après une très belle Medal Race, lors de laquelle la jeune femme a navigué aux avant-postes tout du long, Mathilde a réussi à sécuriser sa troisième place et monte sur la 3e marche du podium. Jonathan Lobert (Finn) réalise, lui aussi, une magnifique dernière course, en prenant rapidement la tête de la flotte, s’assurant ainsi de ramener dans ses bagages une médaille de bronze. Un joli cadeau qu’il se fait pour son anniversaire !

La première médaille du jour a été remportée par Mathilde de Kerangat, qui confirme sa bonne forme, puisqu’elle récidive : tout comme lors de l’étape de Miami, elle termine Hyères avec la médaille de bronze autour du cou : « Pour cette Medal Race, j’avais deux adversaires à seulement un point de moi, je ne pouvais pas contrôler les deux, j’ai donc décidé de faire ma course et cela s’est bien passé. Je suis super contente de ma régularité cette semaine, car je n’ai pas eu de grosse bâche pendant les phases de qualifications et finir sur une belle course comme aujourd’hui et une médaille de bronze, c’est super. Mon objectif cette année est le Championnat du monde à Medemblik (Hollande) en août, mais avec cette 3e place, je suis contente de gagner mon ticket pour la finale de Coupe du monde à Santander en juin prochain. Je ferai le meilleur résultat possible, je me donnerai à fond et si je peux refaire un podium ce sera génial. », explique Mathilde.

La seconde médaille a été glanée par le Finniste Jonathan Lobert, qui signe un prometteur retour à la compétition : « Je suis super content, car je ne m’étais pas du tout entraîné de l’hiver : je me suis fait opérer du genou début février, donc c’était vraiment une régate de reprise. Au cours de la semaine, jour après jour, je me suis senti de mieux en mieux dans le bateau et j’ai réussi à remonter des places tranquillement jusqu’à monter sur le podium aujourd’hui. C’est mon anniversaire, donc je suis super heureux de cette médaille de bronze. C’est un bon début pour la campagne. »., rapporte Jonathan, quelques minutes avant de monter sur le podium.

Jean-Baptiste Bernaz n’aura pas réussi à grappiller de places supplémentaires dans le classement aujourd’hui lors de sa Medal Race, mais reste satisfait sur ses résultats globaux : « Après la victoire à Miami, je suis content de l’ensemble de la Coupe du Monde, bien que je sois plus heureux quand je gagne que quand je finis 6ème. Cela a été plus compliqué aujourd’hui. Donc voilà… mais c’est un bon début d’olympiade et une bonne Coupe du Monde. », rapporte Jean-Baptiste Bernaz, qui va prendre un peu de repos avant l’un de ses objectifs de la saison, la finale de la Coupe du monde dans un mois : « avec les Championnats du monde (à Split –Croatie en septembre) la finale de Santander, début juin, représente une régate importante. Nous naviguerons avec les 25 meilleurs mondiaux, la crème de la crème ! »., conclue Jean-Baptiste.
En 470 hommes, Kévin Péponnet & Jérémie Mion achèvent la compétition en 9e position, les 470 femmes, Cassandre Blandin & Aloïse Retornaz sont 7e.

Le bilan de Guillaume Chiellino, Directeur de l’Equipe de France
« Quatre médailles, c’est un très bon bilan pour l’Equipe de France. D’abord avec la médaille d’or de Louis Giard en RS:X, qui gagne sa deuxième étape de Coupe du monde après Miami en janvier dernier. Comme on lui a dit : « c’est le début d’une série », il faut qu’il continue !
Ensuite, avec la médaille d’argent de Moana Vaireaux & Manon Audinet en Nacra 17, qui vient couronner un important travail hivernal, un travail vraiment dense, sur la navigation, sur le support et sur d’autres supports pour appréhender la pratique du bateau volant.

Et puis il y a les médailles de bronze de Mathilde de Kerangat en Laser Radial et de Jonathan Lobert en Finn. Il s’agit d’une deuxième médaille consécutive pour Mathilde sur une étape de Coupe du monde, c’est une très bonne chose, le travail avec son coach François Husson est efficace. Pour Jonathan, c’était un retour à la compétition. Il y avait des incertitudes avec l’opération au genou qu’il a subi, mais il a fait une semaine consistante et finit avec une Medal Race gagnée, c’est positif.

On a vu également des bonnes choses en 49er FX avec Lili Sebesi & Albane Dubois qui refont une régate dans le Top 5 après Palma. Julie Bossard & Aude Compan ont fait des bonnes manches, il y a des bonnes choses, notamment sur la stratégie, mais il y a un gros travail à faire sur la technique en vue des prochaines échéances, avec leur mondial fin août.

Pour le 470 hommes, c’était une première association pour Kévin Péponnet & Jérémie Mion, ils font un Top 10, c’est une bonne performance compte tenu du plateau en présence. Même chose pour le 470 femmes, elles font une bonne régate, c’est de bon augure pour le 470 français en l’absence de la plupart de nos meilleurs (excepté Jérémie Mion), de voir que la relève est là.

Enfin, Jean-Baptiste fait un top 10 également, il a fait quelques bonnes manches, mais il est capable de bien mieux, on sait qu’il vaut mieux que ça. Thomas Goyard en RS:X termine avec une 9e place, Fabian Pic réalise une très bonne première moitié de compétition et connait une fin plus difficile, Billy Besson & Amélie Riou ont fait de bonnes courses pour leur première régate, alors que Marie Bolou en Laser Radial est passé à côté de sa compétition. »

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Antoine Mermod Président de l’IMOCA Ocean Masters

A l’occasion de l’Assemblée générale de l’Association Imoca, Jean Kerhoas, qui préside l’Association depuis 2013, a présenté son rapport moral et souligné les bonnes décisions qui ont marqué ces quatre dernières années, notamment en termes de sécurité et de fiabilité. La mise en œuvre des mâts et quilles standards ont répondu aux objectifs, et les 6 bateaux qui en étaient équipés n’ont connu aucune défaillance.

Un autre point majeur des préoccupations de la classe IMOCA est le développement de son championnat du monde IMOCA Ocean Masters entamé depuis 2013 avec la société OSM et le soutien de Sir Keith Mills. À ce titre, le succès de la course transatlantique New York-Vendée (Les Sables d’Olonne) semble avoir trouvé toute sa place au sein du programme et s’inscrira aux calendriers des saisons à venir.
En cette fin de cycle, bon nombre des IMOCA60 en vente ont trouvé preneur, avec pour la plupart des acheteurs l’objectif annoncé de prendre part au prochain Vendée Globe 2020 et autres courses préparatoires. D’autre part l’annonce la semaine passée de l’arrivée d’un nouveau partenaire « Charal » aux côtés de Jérémie Beyou et de la construction d’un bateau neuf, viennent aussi confirmer de très belle manière tout le dynamisme de la Classe IMOCA.

Le choix des foils
Dévoilés pour la première fois sur les IMOCA60 courant 2015, les foils ont valu des débats animés. Ces appendices se sont néanmoins révélés très rapidement fiables et performants, mais aussi un élément de communication très fort au fil des compétitions. Avec quatre IMOCA60 équipés de foils aux quatre premières places du Vendée Globe, cette option technologique a fait ses preuves, et c’est très logiquement que l’Assemblée Générale a renforcé son choix, en autorisant plus de possibilité de réglage de ces appendices afin d’en optimiser l’utilisation.
La stabilité des règles a guidé les propositions du comité technique pour les évolutions, et les nouvelles règles, adoptées à la très large majorité, sont désormais en place jusque 2021.
À noter parmi les décisions entérinées par l’Assemblée, les skippers navigueront désormais avec une voile de moins et quelques ajustements ont été effectués en faveur de la sécurité grâce au retour d’expérience des derniers Vendée Globe et Barcelona World Race.

Un programme de courses entériné jusqu’au Vendée Globe 2020
L’Assemblée a validé son programme de course pour le cycle IMOCA Ocean Masters établi sur les quatre prochaines années pour permettre la meilleure préparation au Vendée Globe, et fait le choix de la stabilité avec les classiques Rolex Fastnet Race, Transat Jacques Vabre et Route du Rhum et réitère son soutien à la Barcelona World Race, dont le Directeur de la FNOB, Xosé-Carlos Fernandez, a présenté l’Avis de Course. Un format renouvelé pour le tour du monde en double au départ de Barcelone, intégrant une escale à Sydney, et dont le départ sera donné le 12 janvier 2019. Laura Legoff, Directrice Générale du Vendée Globe a confirmé à cette occasion tout l’intérêt de la SAEM Vendée de participer aux côtés de la Classe IMOCA aux réflexions menées afin de conforter la cohérence des courses du circuit IMOCA Ocean Masters sur le long terme.

Le Conseil d’Administration IMOCA 2017-2018 (de gauche à droite: Tanguy De Lamotte, Alex Thomson, Antoine Mermod, Paul Meilhat, Conrad Colman)

De nouveaux visages
L’Assemblée Générale 2017 de l’IMOCA était aussi l’occasion d’accueillir de nouveaux membres et de nouveaux projets, comme la Germano-Française Isabelle Joschke, l’allemand Boris Hermann qui va courir sous les couleurs du Yacht Club de Monaco à bord du foiler ex Gitana16 ou encore Pierre Lacaze et Yoann Richomme, qui prendront le départ de la Transat Jacques Vabre en novembre prochain avec le plan Lombard mené par Samantha Davies au départ du Vendée Globe 2012.
C’est un Conseil d’Administration plus jeune et plus international qui mènera la Classe IMOCA dans son évolution et ses décisions stratégiques pour l’avenir.
En effet, hormis Alex Thomson, réélu au poste d’administrateur pour la 9ème année consécutive, le comité a accueilli hier les skippers Conrad Colman, Tanguy De Lamotte et Paul Meilhat ainsi que le Team Manager de l’équipe No Way Back, Antoine Mermod qui est élu au poste de Président.
Motivée pour poursuivre le développement de la Classe en continuité avec les orientations prises depuis plusieurs années tout en améliorant son fonctionnement interne, l’Assemblée a choisi de faire confiance à de nouveaux représentants et confirme sa volonté d’ouverture vers l’International avec l’arrivée du plus Français des Néo-Zélandais.
Après quatre ans d’activité pour mener la gestion et le développement de la Classe IMOCA, le mandat du Président sortant, Jean Kerhoas, n’a pas été renouvelé, et les trois membres restant Vincent Riou, Jean Le Cam et Luc Talbourdet qui ont travaillé à ses côtés ont souhaité se retirer du conseil.
Les prochaines semaines vont permettre à cette nouvelle équipe de se mettre en place avant de se positionner sur les axes de développement qu’ils vont souhaiter adresser.
Antoine Mermod, Président de la Classe IMOCA :
« Je suis très fier d’avoir été choisi pour diriger le nouveau conseil d’administration élu par les membres de la classe IMOCA.
La classe se porte très bien grâce à la qualité du travail réalisé durant les 4 dernières années par Jean Kerhoas et son équipe.
Nous avons aujourd’hui une jauge validée jusqu’en 2021 et un programme de course qui nous amène au prochain Vendée Globe.
De nouveaux skippers arrivent dans la classe, des nouveaux bateaux sont en construction et la plupart des skippers ayant brillé au dernier Vendée globe optimisent leurs bateaux ou changent de navire pour plus de performance.
La saison 2017 devrait nous apporter de magnifiques régates avec en point d’orgue la Transat Jacques Vabre en Novembre »
Programme IMOCA Ocean Masters 2017-2020:
2017 Rolex Fastnet Race / Transat Jacques Vabre
2018 New York – Barcelona / Route du Rhum
2019 Barcelona World Race / Rolex Fastnet Race / Transat Jacques Vabre
2020 New York – Vendée / Vendée Globe

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Solo Maitre COQ départ de la grande course

Le départ du rendez-vous attendu de la grande course de la Solo Maitre CoQ a été donné ce jeudi 27 avril à 12h en baie des Sables d’Olonne. Les 40 figaristes se sont élancés sans encombres sur le grand parcours de coefficient 3 dans un vent faible de 5 noeuds et oscillant entre 0° et 30°. A la bouée de dégagement, Nicolas Lunven, skipper de Generali, virait la marque en tête avant de partir sous spi vers l’île de Ré et d’être rattrapé par Martin Le Pape, skipper Macif 2017, au passage du pont de l’île de Ré. Très groupé, l’ensemble de la flotte a passé ce point stratégique en 15 minutes. Ils font maintenant route vers Belle-Île. Suite aux prévisions météorologiques instables pour la fin de parcours, ce denier a été modifié et réduit à 260 milles nautiques. Les premiers Figaros sont attendus sur la ligne d’arrivée samedi 29 avril au matin.

Pour suivre l’évolution de la flotte, une cartographie est disponible en ligne sur le site de la Solo Maître CoQ et actualisée toutes les 10 minutes: http://www.solomaitrecoq.com/cartographie. Cette cartographie est également disponible sur smartphones grâce à l’application mobile gratuite YB Races.

solo

Avant de quitter le ponton, ils ont dit:

Eric Peron, skipper de Finistère Mer Vent:
” La course n°4 va être un peu tordue. Il va falloir être opportuniste. Sur cette édition de la Solo Maître CoQ, je suis là surtout pour me régler. Je n’ai pas spécialement de pression car c’est ma première régate de la saison. En 2017, je n’ai que 5 jours de navigation en Figaro à mon compteur. L’idée c’est de se régler, de regarder les copains, comment ils vont et de reprendre mes repères. Ca fait longtemps que je n’ai pas fait d’épreuve en solitaire. Ma dernière remonte à la Solo Maître CoQ 2014. Je préparais la transat AG2R avec Nicolas Lunven et il m’avait laissé son Figaro Generali pour que je m’entraine. Sinon ma dernière Solitaire du Figaro, c’était en 2011. Cela fait quand même un bout de temps. Depuis j’ai navigué mais surtout en équipage. L’exercice est quand même un peu différent surtout sur les petits côtiers comme ceux de lundi et de mardi derniers. Mais je reprends mes repères tranquillement et ça va de mieux en mieux.”

Sébastien Simon, skipper de Bretagne CMB Performance:
” C’est bien de naviguer à la maison mais cela n’empêche pas d’arriver en retard au briefing de ce matin. Au classement général je suis 4e après 3 courses mais rien n’est joué. Ce que l’on a fait compte pour l’instant pour la moitié des points. Du coup, tout peut encore se passer et le résultat de cette grande course peut tout modifier. Sur ce début de course, je suis plutôt satisfait même si j’insiste rien n’est joué et que tout reste à faire. Cette course promet d’être compliquée puisqu’à chaque fois qu’on télécharge un nouveau fichier météo, nous avons des prévisions qui diffèrent des fichiers précédents. C’est un peu de la prise de tête. Maintenant que l’heure de la mise en configuration est passée, on ne peux plus récupérer de nouveaux fichiers, on va partir avec les dernières infos et on verra bien comment cela va se passer sur l’eau. Je pense que qu’on va tous se regarder un petit peu, voir qui part à droite, qui part à gauche, qui change de voile… Ca va être très interessant. J’ai commencé la voile aux Sables mais je suis vite parti m’entrainer en Bretagne en course au large. Aujourd’hui je connais mieux les bouées et les cailloux bretons que ceux de Vendée, je n’ai donc pas d’avantage sur mes concurrents.”

Martin Le Pape skipper Macif 2017:
” Pour l’instant, le bilan est quand même assez médiocre. Je suis complètement passé à côté des deux premiers jours de course. C’est un format que je redoutais un peu. Je ne l’aime pas particulièrement et j’ai moins l’habitude de ces parcours que d’autres de mes concurrents. Je préfère allonger les bords et aller au large. C’est plus mon truc. Ensuite, je n’ai pas bien régaté, j’ai pris de mauvaises décisions, pris de mauvais départs or c’est primordial sur ces formats. Aujourd’hui, je mets tout ça de côté et me concentre à nouveau sur la grande course qui reste mon objectif principal de travail en vue de la Solitaire Urgo Le Figaro. Cela va être intéressant et représente tout de même 50% de la course.”

Gildas Mahé, skipper du Figaro Du Talent mais pas d’Argent:
” Pour l’instant, c’est un bilan mitigé sur les deux premiers jours. C’est le moins qu’on puisse dire ! 15e au général, c’est pas terrible, ce n’est pas mon niveau. Jusque là je n’ai pas été bon tactiquement. Je n’ai pas fait les bons choix de bords ni pris de bons départs. Par contre le côté positif de tout ça c’est ma vitesse. Il me semble et je dis bien me semble, car le vent était assez instable, que j’ai plutôt une bonne vitesse au près. Jusqu’à présent c’était mon point faible et cela semble s’être amélioré. C’est le truc qui me rassure. Maintenant, je suis content de changer de parcours, de partir sur un truc un peu plus long. Je crois que j’ai perdu la main sur les petits parcours. Peut-être que je vieillis! Sur cette dernière course, on aura toutes les conditions: de la molle, du vent ce soir vers l’île de Ré et beaucoup de près. Il va y avoir beaucoup de jeu.”

Julien Pulvé, skipper de Team Vendée Formation:
” Pour ma première Solo Maître CoQ, je dirais qu’il y a du bon et du moins bon sur ce début d’épreuve. Ce qui est assez normal puisque c’est la première fois que je me confrontais à 39 autres skippers sur ces petits parcours en mode serré. J’ai appris pleins de trucs et c’est bien là l’essentiel ! C’est vrai que j’ai fait des erreurs mais j’ai également fait de belles choses, de bons départs, de bons choix tactiques, des manoeuvres correctes. C’est très instructif et par rapport à mon expérience en Figaro, ce n’est pas trop mal. Je suis content. Aujourd’hui, on part sur le parcours offshore. Entre guillemets, c’est un peu plus dans mes cordes, dans mes habitudes. J’espère que cela va bien se passer. En plus on passe devant la maison, peut-être un petit plus. Je vais essayer de bien naviguer, de ne pas prendre de risques et d’aller vite. Mon objectif reste le classement bizuth même si pour l’instant je ne suis pas très bien placé. Je ne vais pas marquer les autres bizuths sur cette course mais essayer de me faire vraiment plaisir, de bien naviguer, de me sentir bien au large sur mon Figaro. La gestion du sommeil fera également partie d’un de mes axes de travail sur cette étape.”

Milan Kolacek, skipper de Czeching The Edge:
“Je suis prêt pour la grande course. Je me sens bien. Les conditions annoncées ne sont pas très difficiles. Le bateau est prêt également. Mes premiers résultats sur cette épreuve ne sont pas parfaits. Je fais de mon mieux et fais ce que je sais faire. Bien sûr, j’aimerai gratter quelques places et remonter dans le classement général, En tout cas je vais tout faire pour. Au général je suis 32e, ce n’est pas vraiment le résultat que j’espérais. Enfin ce n’est pas encore fini.”

Simon Troël, skipper de NF Habitat:
“Je ne suis pas hyper content de ma deuxième journée de course où je n’ai pas été très brillant. Cela dit, on m’aurait prédit une 12e place au général avant la grande course, je pense que j’aurai signé. Donc je suis plutôt satisfait de ce début d’épreuve. Et puis nous n’en sommes qu’à la moitié, tout va se jouer sur cette grande course de coefficient 3. Il va y avoir du jeu et ça promet d’être sympa. Le froid va être un paramètre important comme les transitions météorologiques. Tant que nous n’aurons pas coupé la ligne d’arrivée, il peut se passer des choses, comme d’habitude. J’ai quelques idées sur ce que je dois faire jusqu’au Birvideaux mais je vais garder cela pour moi. Après pour le retour vers les Sables, ça va être très rock. Les fichiers météos se contredisent pas mal. Réponse: samedi dans la journée.”

Mary Rook, skipper de Inspire+:
” J’ai vraiment apprécié les régates inshores de lundi et de mardi. Ce n’était pas évident de faire de si petits parcours à 40 Figaros et pourtant j’ai bien navigué. Malheureusement, j’ai été disqualifiée sur une des manches de lundi par le jury sur une mauvaise appréciation je pense. Ils m’ont vu toucher la marque alors que ce n’était pas le cas. Hormis cela, c’était super, un bon exercice dans un vent très aléatoire. Maintenant j’ai hâte de m’élancer sur la grande course. Les fichiers prévoient du vent jusqu’à demain matin, il ne faut pas que j’oublie mes vêtements chauds comme mardi dernier ! Pour la fin de parcours, la météo est encore incertaine et je pense que le comité de course a pris une bonne décision en modifiant le parcours. Sinon cela aurait été très très long.”

Classement provisoire après 3 courses
1. Pierre Quiroga – Navigateur – Skipper Espoir CEM – FRA 47 (13 pts)
2. Anthony Marchand navigateur – Ovimpex Secours Populaire – FRA 6 (16 pts)
3. Jérémie Beyou – Charal – FRA 98 (16 pts)
4. Sébastien Simon – Bretagne CMB Performance – FRA 5 (19 pts)
5. Adrien Hardy – Agir Recouvrement – FRA 32 (20 pts)
6. Alexis Loison – Custo Pol – FRA 9 (23 pts)
7. Yann Eliès – Groupe Quéguiner – Leucémie Espoir – FRA 26 (23 pts)
8. Nicolas Lunven – Generali – FRA 3 (24 pts)
9. Damien Cloarec – Saferail – FRA 95 (25 pts)
10. Thierry Chabagny – Gedimat – FRA 92 (28 pts)
11. Xavier Macaire – Groupe SNEF – FRA 8 (36 pts)
12. Simon Troel – NF Habitat – FRA 69 (42 pts)
13. Benjamin Dutreux – Sateco – FRA 192 (47 pts)
14. Gildas Mahé – Du Talent mais pas d’Argent – FRA 45 (49 pts)
15. Erwan Tabarly – Armor Lux – FRA 10 (52 pts)
16. * Pierre Leboucher – Aragorn – FRA 62 (54 pts)
17. Eric Peron – Finistère Mer Vent – FRA 68 (55 pts)
18. Alan Roberts – Seacat Services – GBR 85 (56 pts)
19. Tanguy Le Turquais – Nibélis – FRA 74 (59 pts)
20. Damien Guillou – Triskel – FRA 100 (61 pts)
21. Arthur Prat – Les Perles de St Barth – FRA 80 (65 pts)
22. Charlie Dalin – Skipper Macif 2015 – FRA 1 (66 pts)
23. Justine Mettraux – Teamwork – SUI 40 (69 pts)
24. * Pierre Rhimbault – Bretagne CMB Espoir – FRA 25 (75 pts)
25. Yves Ravot – Hors la rue – FRA 64 (76 pts)
26. * Eric Delamare – Région Normandie – FRA 55 (76 pts)
27. Will Harris – Offshore Academy – GBR 23 (79 pts)
28. Arnaud Godart-Philippe – Faun Environnement – FRA 38 (80 pts)
29. Martin Le Pape – Skipper Macif 2017 – FRA 79 (80 pts)
30. * Alexia Barrier – Piqd.com – FRA 49 (83 pts)
31. Mary Rook – Inspire+ – GBR 21 (84 pts)
32. Milan Koláček – Czeching The Edge – CZK 97 (86 pts)
33. Sophie Faguet – Porsche by Normandy Elite Team – FRA 56 (88 pts)
34. * Julien Pulvé – Team Vendée Formation – FRA 88 (92 pts)
35. Cecile Laguette – Eclisse – FRA 12 (103 pts)
36. Tolga Pamir – FreeDom Services à domicile – FRA 87 (104 pts)
37. Théo Moussion – #ThéoEnFigaro – FRA 19 (106 pts)
38. * Loic Pauchet – Objectif La Solitaire Tous Ensemble – FRA 20 (110 pts)
39. Marc Puydebat – Cherche Sponsors – FRA 66 (110 pts)
40. * Axel de Blay – Botte Fondation – FRA 22 (114 pts)
* bizuth

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Coville avec Riou, Besson et Nelias sur The Bridge

Training for the maxi tri SODEBO, skipper Thomas Coville, prior to his solo circumnavigation record attempt, off Belle Ile, on october 12, 2016 - Photo Jean-Marie Liot / DPPI / SODEBO

La course The Bridge sera une première. Elle partira le 25 juin de Saint-Nazaire en direction de New-York. Face à François Gabart sur MACIF, Francis Joyon sur IDEC, Yves le Blevec sur ACTUAL, Thomas Coville s’alignera sur son Sodebo Ultim pour cette course en équipage. Pour l’accompagner pour ce nouveau défi, six équipiers embarqueront avec lui pour 6000 kilomètres.

– Jean-Luc Nélias, LE routeur du record du tour du monde, est un des complices de Thomas. Pétri d’expériences multiples, le navigateur est un homme direct qui fait et dit ce qu’il pense. Avec lui, le skipper de Sodebo Ultim’ est en totale confiance. Ce marin navigateur et stratège était le co-skipper de Thomas sur la précédente Transat Jacques Vabre.

– Loïc Le Mignon est le boat captain de Sodebo Ultim et il embarque avec une double casquette. Manœuvrier hors pair qui a plus d’un tour dans son sac, cet homme joyeux a la réputation d’aimer vivre en mer. Doté d’une grande bienveillance, sa polyvalence est précieuse pour Thomas qui connaît bien les enjeux d’un sport mécanique comme la voile. En tant que boat captain, s’il y en a un qui connaît sur le bout des doigts les 31 mètres de long et 21,20 mètres de large de Sodebo Ultim’, c’est bien Loïc.

– Thierry Briend est un des piliers du projet et fait partie de la garde rapprochée de Thomas. Cet homme sait créer les traits d’union entre les hommes. Membre de la cellule routage cet hiver pour le record, ce régatier multi-supports navigue avec Thomas depuis une dizaine d’années.

Deux autres marins, avec chacun un palmarès très différent et exceptionnel, complètent la cohérence de cet équipage de très haut niveau :

– Vincent Riou fait partie du club des spécialistes de la course au large. Cet homme très polyvalent avec lequel Thomas collabore notamment sur la mise au point des pilotes automatiques, est apprécié pour sa transparence, parce que c’est un grand stratège, un technicien et un navigant hors pair.

– Billy Besson a une spécialité différente des autres équipiers recrutés pour cette transat. Originaire de Papeete, le jeune homme manie avec dextérité le catamaran de sport. Thomas ne voulait pas se focaliser sur des profils venus du large. Rompu à l’art de la régate, Billy Besson est un pur produit de l’olympisme et il va apporter à l’équipe son touché et son ressenti de barreur hors norme.

Thomas Coville : « Je suis très heureux qu’ils aient tous accepté d’embarquer à bord de Sodebo Ultim’ pour cette course. C’est un atout de naviguer avec des gens de cette qualité. Pour la première fois, nous allons manœuvrer à six sur ce bateau, et nous allons pouvoir le pousser à son maximum. J’ai hâte de voir le potentiel de Sodebo Ultim’ en équipage par rapport à cet hiver où j’étais seul à bord.
Le plateau est incroyable et cette traversée s’annonce sportivement exceptionnelle. La silhouette du Queen Mary 2 va me faire quelque chose, l’image du départ sera belle avec les quatre Ultimes. New York est une ville qui fait fantasmer, c’est une ville référente pour moi avec de nombreux souvenirs d’arrivées sous le pont de Verrazzano.»

JUILLET – Tentative de l’Atlantique Nord en solo
Après cette transat en équipage, retour au solo.
Thomas Coville veut en effet tenter d’établir un nouveau record de traversée de l’Atlantique Nord en solitaire. Le skipper de Sodebo Ultim’ a prévu un stand-by à New York d’une quinzaine de jours dans l’attente de la bonne fenêtre météo qui lui permettrait de battre ce record qui est aujourd’hui détenu par Francis Joyon avec un temps de 5j 2h 56min depuis 2013.

NOVEMBRE – Transat Jacques Vabre en double
Le 5 novembre, place au double pour Thomas Coville et Jean-Luc Nélias qui s’élanceront ensemble depuis Le Havre en direction de Salvador de Bahia au Brésil.

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Quentin Vlamynck et son Mini 6.50 “Arkema 3” 2e de la Pornichet Select

ARKEMA 3 - Proto Mini 6.50 N°900 - Skipper : Quentin Vlamynck

Quentin Vlamynck termine 2e de la Pornichet Select derrière l’indéboulonnable Ian LIPINSKY (Griffon.fr), première épreuve du Championnat de France de Course au Large en Solitaire de la saison, à bord de son prototype Mini 6.50 Arkema 3. C’est le premier podium pour ce mini ultra innovant mais qui doit encore progresser.

Parti de Pornichet le 22 avril vers 13h00, le skipper a franchi la ligne d’arrivée en 2e position à 5h22 ce lundi 24 avril, après 40 heures et 8 minutes de course. Bénéficiant de superbes conditions sur les 300 milles nautiques (555 km) du parcours, avec une pointe de vitesse à 20,59 nœuds (37km/h), Quentin a su tirer profit de son innovante machine et démontré le potentiel de son bateau aux 24 autres prototypes engagés. Un résultat de bon augure pour la suite du programme sportif et la Mini Transat 2017.

Réactions de Quentin Vlamynck (Arkema 3) à son arrivée :

« La course s’est très bien passée, notamment la 1e nuit où nous avons eu les conditions parfaites pour Arkema 3. Le bateau filait vent de travers et nous avons atteint de belles moyennes, avec un pic à plus de 20 nœuds. Nous savons que le bateau avance bien vent arrière, mais nous devons encore améliorer sa polyvalence. J’ai senti un déficit de vitesse dès que l’angle de vent est plus serré ou encore quand je navigue au près, vent de face.
Sur cette épreuve, cela m’a fait du bien de naviguer en tête de flotte, avec Ian. Se confronter aux autres est la meilleure manière d’améliorer les réglages du bateau. C’est engageant pour les prochaines épreuves. »

Le Mini 6.50 Arkema 3 rejoindra dès demain le port de La Rochelle pour une semaine d’entraînement, avant de remettre le cap vers la Bretagne Sud et la Trinité-sur-Mer en vue de sa participation, du 9 au 14 mai, à la Mini en Mai. »

Classement (avant jury) de la Pornichet Select 2017
1°) Ian LIPINSKY (Griffon.fr) – arrivé le lundi 24 avril à 2h52
2°) Quentin VLAMYNCK (Arkema 3) – arrivé le lundi 24 avril à 5h22
3°) Erwan LE MENE (Canopus) – arrivé le lundi 24 avril à 8h54
sur 25 prototypes engagés.
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Programme 2017 du Mini 6.50 Arkema 3 :
Lorient Bretagne Sud Mini – départ le 8 Avril 2017 à 13h
Pornichet Select 6.50 – départ le 22/04 à 12h
Mini en Mai – départ le 9 mai à 11h
Trophée MAP- départ le 8 juin
Transat Mini 6.50 – départ le 1 Octobre à 15h30

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