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Classement général provisoire du Championnat de France Elite de Course au Large

Depart de la 1eme etape de la Solitaire Bompard Le Figaro entre Cowes (UK) et Paimpol - Cowes le 26/06/2016 àAlexis Courcoux

Depuis deux mois, les 44 marins solitaires ont enchaîne les navigations entre la Manche (Solo Normandie), la Bretagne (Solo Concarneau – Trophée Guy Cotten) et la Vendée (Solo Maître CoQ). Même si un premier classement s’établit après ces 3 courses, les figaristes savent que le plus gros objectif de la saison reste à venir : la Solitaire URGO Le Figaro dont le départ sera donné de Bordeaux le 4 juin prochain.

Intégration réussie !
Pour la première fois cette année, les deux premières épreuves de la saison intégraient le prestigieux Championnat de France Elite de Course au Large et il va sans dire que cette nouveauté a rapidement été adoptée par l’ensemble des coureurs, en attestent les taux de participation record à la Solo Normandie (24 inscrits) et à la Solo Concarneau – Trophée Guy Cotten (37 inscrits). La flotte s’est même encore étoffée aux Sables d’Olonne sur la Solo Maître CoQ à la fin du mois d’avril avec 40 bateaux au départ !

Yannig Livory : « La dynamique insufflée ces derniers mois continue et nous avons atteints des records de participation sur ces épreuves. Toute la classe se réjouit de l’engouement des coureurs et des armateurs dans notre nouveau Championnat de France, qui rend les performances sportives des marins d’autant plus remarquables »

Les gros-bras devant !
Vainqueur des deux premières épreuves, l’actuel Champion de France Charlie Dalin (Skipper Macif 2015) a frappé fort en début de saison en montrant qu’il fallait plus que jamais compter sur lui cette année en remportant les deux premières épreuves de la saison et figure actuellement en 3e position du classement général provisoire du Championnat 2017.
La lutte est engagée ensuite pour les deux premières places du podium ! Sébastien Simon (Crédit Mutuel de Bretagne Performance) continue de montrer tout son potentiel pour sa quatrième année sur le circuit. Sur trois compétitions, il décroche deux belles places : 3e de l’épreuve normande et 2e de l’épreuve vendéenne.
Enfin Nicolas Lunven (Generali) grâce à une superbe régularité (2e de la Solo Normandie et vainqueur la Solo Maître CoQ) grimpe sur la 1e marche du podium provisoire du championnat.
Nicolas Lunven : « Je suis satisfait de ce début de saison et cette première place provisoire montre que j’ai été le plus régulier sur ces 3 premiers épreuves, aux avant-postes, notamment avec ma victoire sur la Solo Maître CoQ. Mais je sais que le plus dur reste à venir, notamment sur la Solitaire URGO Le Figaro et le Championnat est loin d’être terminé. Nous ne sommes pas à l’abri de voir de nouveaux talents émerger sur la Solitaire ou inversement des coureurs en forme s’écrouler. Ces renversements de situation existent sur le circuit et c’est ce qui en fait sa beauté. »

De retour de leur Vendée Globe 2016-2017, Yann Eliès (Groupe Quéguiner Leucémie Espoir) et Jérémie Beyou (Charal) reviennent aux fondamentaux sur le circuit Figaro Bénéteau et n’ont rien perdu de leur talent ! En effet, Yann Eliès termine 3e de la Solo Concarneau – Trophée Guy Cotten tandis que Jérémie Beyou prend la 3e place de la Solo Maître CoQ ! La bataille s’annonce intéressante entre ces deux marins dont l’objectif commun est de remporter une inédite 4e victoire sur la Solitaire URGO Le Figaro.
Anthony Marchand (Ovimpex – Secours Populaire), Adrien Hardy (Agir Recouvrement) et Alexis Loison (CustoPol) réalisent également un excellent début d’année et se bagarrent la 4e place provisoire du Championnat de France.

De la diversité chez les bizuths
Pour les nouveaux venus sur le circuit Figaro Bénéteau, la tâche n’est jamais aisée face à ces cadors expérimentés mais ce début de saison 2017 a permis d’identifier de nombreux talents avec trois vainqueurs différents sur les trois courses. Issu de l’olympisme, Pierre Leboucher (Aragorn) a démarré sur les chapeaux de roue en terminant 1e bizuth de la Solo Normandie, tandis que Pierre Rhimbault (Crédit Mutuel de Bretagne Espoir) remporte celui de la Solo Concarneau – Trophée Guy Cotten et Julien Pulvé (Team Vendée Formation) celui de la Solo Maître CoQ. Des marins aux multiples compétences et aux profils variés promettant un superbe match au classement des bizuths.
Julien Pulvé : « Ce début de saison répond à mes attentes et je suis impressionné par le haut-niveau sur le circuit. Même si on le sait de réputation, c’est encore différent quand on le vit sur terrain en tant que coureur et également chez les bizuths. Le niveau est relevé mais rien n’est joué après ces 3 épreuves. J’apprécie ce Championnat car il est riche et complet, avec des parcours côtiers, du semi-large sur les épreuves de début de saison, puis des étapes de plus de 500 milles à venir sur la Solitaire URGO Le Figaro. Ce sera d’ailleurs mon objectif principal cette saison : faire un podium bizuth et si possible bien figurer au classement général. »

Le Championnat de France Elite de Course au Large Le Classement Général Provisoire après trois épreuves

classementClassement CFECL 2017

Et des coefficients à venir …
Mi épreuves ne signifie pas pour autant mi saison avec encore 9 points de coefficients (sur 13) répartis sur les trois prochaines courses du circuit. La Solitaire URGO Le Figaro représente à elle seule un coefficient 6. Cette mythique course au large en solitaire en quatre étapes est la plus difficile, la plus longue mais également la plus convoitée et reste le pilier du circuit Figaro Bénéteau. Les 43 skippers inscrits s’élanceront de Bordeaux le 4 juin prochain en direction de Gijón en Espagne, puis reviendront sur Concarneau avant de conclure à Dieppe autour du 22 juin, au terme de 2000 milles nautiques (3 700 km) de navigation.

Les 3 derniers points de coefficients seront affectés sur les deux courses de fin de saison : le Tour de Bretagne en double avec un coefficient 1 qui fait son entrée cette année au Championnat de France et enfin la Douarnenez Fastnet Solo avec un coefficient 2 terminera la saison sur une grande boucle au large.

En bref : La Transat AG2R La Mondiale 2018 partira le 22 avril !
Grande nouveauté pour la 14e édition de cette transatlantique en double entre Concarneau et St Barthélémy : elle intègre pour la première fois le Championnat de France Elite de Course au Large et soutient les amateurs en déployant un dispositif dédié à la construction de leurs projets sportifs… Un record de participation en perspective pour une des transats les plus mythiques de la planète voile !

Le calendrier 2017 du circuit Figaro Bénéteau :
Evènements inclus au Championnat de France Elite de Course au Large 2017 :
Solo Normandie (solitaire / Coef. 1) / Granville – Cherbourg / Du 15 au 19 mars 2017
Solo Concarneau (solitaire /Coef. 1) / Concarneau / Du 4 au 9 avril 2017
Solo Maître CoQ (solitaire / Coef. 2) / Les Sables d’Olonne / Du 20 au 30 avril 2017
La Solitaire URGO Le Figaro (solitaire / Coef. 6) / Départ le 4 juin 2017 de Bordeaux
Tour de Bretagne (double / Coef. 1) / Du 24 août au 3 septembre 2017
Douarnenez Fastnet Solo (solitaire / Coef. 2) /Du 13 au 23 septembre 2017
Evènements non inclus au Championnat de France Elite de Course au Large 2017 :
Rolex Fastnet Race (double) / Cowes (Royaume Uni) / Départ le 6 août 2017

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Armel Tripon sur la bonne voie avec son multi50

Première navigation pour le Multi 50 Réauté chocolat skippé par Armel Tripon @Pierre Bourras

Une semaine après la victoire sur le Tour de Belle-Ile, RÉAUTÉ CHOCOLAT enchaînait ce week-end à Douarnenez sur le Grand Prix Guyader, alternance de parcours côtiers et de runs de vitesse. Là encore, tout s’est passé à merveille pour l’équipage d’Armel Tripon, qui termine 3e au classement général et signe le meilleur run de vitesse. Bilan par thèmes avec Armel Tripon…

« On termine troisièmes au général, ce qui est très bien car n’oublions pas que nous sommes encore en phase de découverte du bateau ! Nous avons fait de belles choses : nous avons souvent été en tête, nous avons gagné une des courses côtières et potentiellement, sans de petites erreurs de jeunesse, nous pouvions faire mieux encore. Ce que je retiens surtout c’est que ce n’est que notre deuxième compétition et que nous ne sommes pas du tout ‘à la rue’, comme on dit, mais au contraire parfaitement dans le match. Nous sommes en permanence en lutte rapprochée avec Erwan Le Roux et Lalou Roucayrol, qui ont beaucoup plus d’expérience que nous dans cette classe. Bref, c’est vraiment très très positif. Cela veut dire que nous sommes sur la bonne voie et aussi que nous ne nous sommes pas trompés dans toutes les améliorations apportées au bateau pendant le chantier d’hiver. »

Record des runs : 29,5 nœuds de moyenne et une pointe à 36,6 !
« La journée de vendredi a été époustouflante, dans des conditions très musclées : 25 nœuds de vent moyen et des rafales à 33 nœuds. C’était chaud mais nous avons pris confiance avec l’équipage au fil des runs – des sprints sur 2,5 milles – et nous repartons avec le meilleur chrono de tous les bateaux inscrits : un run à 29,5 nœuds de moyenne, dont une pointe à 36,6 nœuds au GPS (ce qui veut dire 38 ou 39 nœuds au speedo) ! C’était incroyable ! Il ne faut pas faire de bêtises et être très concentré dans ces conditions, mais quel plaisir de voir le bateau aller bien au-delà des polaires de vitesse prévues et garder un comportement très sain. Personne ne pensait que nous pourrions atteindre des vitesses pareilles, pas même nous. C’était très intense. Vendredi matin au départ il y avait de l’appréhension et de la tension car c’était la première fois qu’on utilisait le bateau dans ces conditions-là. Mais au fur et à mesure des runs nous avons pris confiance dans la conduite du bateau et je voyais que l’équipage répondait parfaitement, ils ont fait un super boulot ! Il y avait une belle cohésion et une euphorie générale : à la fin du run victorieux on a tous hurlé de joie, aussi bien l’équipage que les invités à bord ! Ce sont des moments géniaux à vivre ! »

Le Multi50 RÉAUTÉ CHOCOLAT
« Il donne entière satisfaction. D’autres marins qui avaient navigué dessus dans son ancienne version (ndlr : il s’agit de l’ex-Actual) nous ont dit qu’ils ne l’avaient jamais vu aussi rapide, que ce soit sur le bord où on a le foil mais aussi sur l’autre ! Cela fait plaisir et valide nos choix. Nous avons bien fait de refaire le profil de dérive et de l’alléger un peu cet hiver. On atteint des vitesses bien au-delà des espérances : les architectes nous avaient prédit 12 à 15 % de gain de vitesse et là on est plus sur du 30% ! Nous sommes donc dans le vrai et c’est bon de constater ça. »

Des invités à bord
« A chacune des six courses côtières et sur les deux après-midis de runs de vitesse, nous avons eu des invités à bord (journalistes, clients, partenaires…). Ils ont pu vivre de l’intérieur ce qu’est la régate et les runs de vitesse sur des bateaux pareils, c’est génial. Nous sommes le seul sport à pouvoir proposer ça, c’est une grande chance de pouvoir partager ça. Il n’y a quasiment pas de comparaison possible… ou alors imaginez que vous êtes à l’arrière d’une voiture de rallye de haut niveau pendant une spéciale ! C’est un des ‘plus’ indéniables de la classe Multi50. Les invités ont vécu avec nous ces grands moments… à voir leurs mines réjouies et leur enthousiasme, je pense qu’ils n’ont pas été déçus ! C’était du grand spectacle. D’ailleurs les photographes se sont régalés eux-aussi : il y a des images extraordinaires de ce week-end à Douarnenez… »

La Classe Multi50
« J’ai vu des gens qui œuvrent depuis des années au développement de cette classe qui avaient la larme à l’œil tellement ils étaient émus de voir ce spectacle ! L’arrivée des foils, le fait qu’il y ait maintenant une vraie flotte homogène où on est beaucoup à pouvoir gagner, le spectacle proposé à ces vitesses… tout le monde a conscience que c’est un vrai tournant, dans le bon sens, pour la classe Multi50. Et nous on a le sentiment d’arriver au bon moment, d’être à notre place pour participer à ce développement de la classe. Avec les bateaux en construction, nous allons être très vite huit ou neuf bateaux vraiment compétitifs sur les lignes de départ. C’est génial ! »

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L’équipage d’Actual pour The Bridge

C’est au tour d’Actual de dévoiler son équipage pour The Bridge reposant sur un savant mélange d’expertise, des profils particulièrement hétéroclites, une même volonté de recherche de performance sécuritaire, une indispensable cohésion humaine et une précieuse touche féminine : voici

Jean-Baptiste Le Vaillant : “Maître” multi : L’un des marins les plus expérimentés qui soit en multicoque océanique, Jean-Baptiste Le Vaillant accompagne le skipper Actual depuis la prise en main de l’Ultim rouge et noir. C’est l’une des pièces maitresses de ce quintet transatlantique.
Yves Le Blévec : « C’est une présence importante qui a conditionné le reste de l’équipage. Jean-Bapt’ est une valeur ajoutée en terme d’expérience, de sérieux et de sécurité. C’est l’élément sécuro-performance. Nous naviguons ensemble depuis longtemps en Multi50, il y a eu notamment la Vendée Saint-Pétersbourg en 2010. Et il est aussi avec nous depuis nos premiers bords en Ultim. C’est une belle collaboration, nous nous entendons très bien, je suis ravi de l’avoir à bord. »
Découvrez son portrait : http://www.teamactual.eu/2017/05/jean-baptiste-le-vaillant/

Samantha Davies : multi expérimentée
Yves Le Blévec a toujours valorisé la diversité et la mixité pour constituer ses équipages, celui de The Bridge ne déroge pas à la règle avec la participation aussi précieuse qu’active de la solaire Sam Davies.
Yves Le Blévec : « Sam, c’est avant tout de l‘expérience : elle a notamment à son actif un Vendée Globe, la Volvo Ocean Race et ses récentes collaborations en tant que navigatrice au sein de l’équipe Sodebo… Je suis très serein concernant notre collaboration.
Et puis, c’est toujours un plaisir et un gros plus d’avoir une fille à bord, les garçons se comportent toujours mieux en présence d’une femme. »
Découvrez son portrait : http://www.teamactual.eu/2017/05/samantha-davies/

Davy Beaudart : la bonne énergie « Born in Mini », comme 80% de cet équipage, Davy Beaudart est aussi responsable d’un chantier de maintenance de bateaux de course. Ce perfectionniste humble et bosseur a vite trouvé sa place à bord du trimaran géant.
Yves Le Blevec : « Nous collaborons depuis longtemps avec Davy, que ce soit via son chantier ou comme équipier à bord du Mach 6.50, du Multi50 et de l’Ultim depuis l’an dernier.
Pour l’Ultim, Davy n’est pas du sérail, mais je sais qu’avec lui nous disposons d’un solide atout performance. Il navigue très bien, il a une bonne énergie. J’ai un très bon souvenir de son implication lors du tour de l’ile de Wight l’an dernier : quand il est sur le pont, je peux aller dormir tranquille, il sait aller vite, mais il est très prudent. »
« Nous ne perdons jamais de vu que l’objectif final de ce projet Ultim Actual est le tour du monde de 2019. La sécurité est incontournable. Cet équipage est donc performant, il va bien fonctionner humainement, et, surtout, il saura être sécuritaire », résume le skipper Actual.
Découvrez son portrait : http://www.teamactual.eu/2017/05/davy-beaudart/

Le 5e homme, Stanislas Thuret : l’œil enthousiaste Ce sera l’œil du team Actual sur cette Transat Ultim vs The Queen Mary. Ce cinéaste-skipper prépare la Mini Transat, mais, dès que l’occasion se présente, il joue avec malice et profondeur de sa caméra pour montrer les émotions et les défis relevés par les coureurs au large.
Yves Le Blevec : « Je souhaitais qu’il y ait un spécialiste de la vidéo à bord. Ce que Stan fait pour son projet Mini est vraiment intéressant, moderne et décalé. Il est cinéaste professionnel, on peut donc s’appuyer sur de véritables compétences. Et puis, il est passionné par la course au large, il est super enthousiaste et très sympa : des atouts majeurs au sein d’un équipage ! »
Découvrez son portrait : http://www.teamactual.eu/2017/05/stanislas-thuret/

Sur The Bridge, à bord de l’Ultim Actual, Stan aura à cœur de révéler tous les rouages d’un équipage : l’alchimie nécessaire à son bon fonctionnement. Et, grâce à la magie du direct, il aura aussi un œil à bord de l’adversaire, le Queen Mary…

Yves le Blevec, skipper Actual Ultim : la force tranquille

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Nouveauté B&G : l’AIS NAIS 500 Class-B

Un Transpondeur Compact Basse Consommation Vital Pour Eviter les Collisions.
B&G le leader mondial en électronique de navigation spécialiste de la voile présente un transpondeur AIS (Automatic Identification System) totalement intégré – le B&G NAIS 500. Indispensable lors de navigations entre les routes surpeuplées ou dans les ports encombrés, le NAIS 500 – qui intègre un récepteur GPS-500 dédié – est de taille compacte, léger et totalement étanche. Il présente une consommation minime et de multiples connections pour travailler en réseau avec n’importe quel écran multifonction Zeus3 ou Vulcan.

Conformément à la stricte réglementation concernant les transpondeurs AIS de classe B, le NAIS 500 assure que le navire est bien visible sur les écrans – en réduisant ainsi le risque de collision. Le transpondeur envoie un signal aux autres navires sur zone, ce qui permet aux navigateurs d’anticiper les manœuvres d’évitement nécessaires bien en avance. Compatible avec le NMEA 2000®, NMEA 0183®, NMEA 0183 multiplexé en USB, le NAIS 500 est simple à installer, quelle que soit la configuration. Capable de résister aux conditions les plus difficiles du grand large, le transpondeur répond aux normes d’étanchéité IPX7. Pesant moins de 250 grammes et avec une consommation moyenne minime de 180 mA en12 V, le NAIS 500 est idéal pour toutes les tailles de voiliers.

“Identifier les navires faisant route vers vous est au moins aussi important que de connaître votre position, c’est vital pour des traversées en sécurité,” a déclaré Leif Ottosson, le CEO de Navico. “Avec la réglementation en vigueur, la plupart des navires commerciaux sont tenus d’avoir l’AIS à bord. Le NAIS 500 fonctionne avec les écrans multifonctions B&G pour offrir aux marins la tranquillité de l’esprit. Quelque soient les conditions de mer, ils seront visibles par tout le trafic sur zone”

Coupler le NSPL-500 VHF Splitter Box avec le NAIS-500 permet d’utiliser une antenne VHF unique pour le NAIS 500 et la VHF fixe.

AIS NAIS-500 Class B avec l’antenne GPS-500 : 878.90 € H.T NAIS-500 avec GPS-500, NSPL-500, câble Micro-C et connecteur en T: 1131.12 € H.T NSPL-500: 251.90 € H.T
Pour plus d’informations à propos de B&G, rendez-vous sur www.bandg.com.

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3ème saison sur le GC32 Racing Tour pour le Team ENGIE

©Jesus Renedo

Sébastien Rogues et son équipe veulent le podium cette année. Après leur belle progression l’année dernière, la fine équipe d’ENGIE peut espérer les premières places. Dans deux jours débutera le premier opus de cette nouvelle saison de l’un des plus exigeants circuits de catamaran volant au monde : le GC32 Racing Tour. Pour sa troisième saison, le Team ENGIE, mené par Sébastien Rogues, revoit ses ambitions à la hausse. Le ton est donné et durant les cinq épreuves du calendrier, le Team ENGIE sera certainement un adversaire à surveiller.

Du jeudi 11 au dimanche 14 mai, dix équipes (trois suisses, une américaine, une japonaise, une monégasque, une argentine, une des Bermudes et deux françaises) vont ouvrir la saison 2017 du GC32 Racing Tour. C’est sur le lac de Garde à Riva en Italie que les premières manches débuteront pour le plus grand bonheur de Sébastien et de sa fidèle équipe : Gurvan Bontemps, Jean Baptiste Gellée, Antoine Joubert et Benjamin Amiot, tous désireux de retrouver leur bateau volant. « Nous avons vraiment hâte de retrouver la compétition. Notre saison sur ce circuit débute dans quelques jours mais nous avons eu l’incroyable opportunité de naviguer avec notre bateau ENGIE, lors de deux événements à Oman en février et mars dernier à l’occasion du GC32 Championship et de la première étape des Extreme Sailing Series. Nous avons énormément navigué et je dois dire que nous n’aurions jamais pu le faire avec les conditions que nous avons en France à cette même période hivernale. Naviguer 43 manches au total face à l’élite de la discipline et les meilleurs barreurs du monde est un réel atout et une source incroyable d’apprentissage. Grâce à ces nombreuses heures sur l’eau nous avons, j’en suis certain, franchi un cap. Notre objectif pour 2017 est clair, nous visons le podium général avec je l’espère quelques belles victoires lors des différentes épreuves », confiait le skipper baulois.

Articulé autour d’un équipage naviguant soudé et d’un team à terre efficace et méticuleux, le Team ENGIE sera cette année le seul équipage professionnel Français sur le GC32 Racing Tour, l’équipage de Robin Folin, Team France Jeune sera uniquement présent à Riva en préparation de la Red Bull Youth America’s Cup. Si Sébastien Rogues ne se focalise pas sur ce fait, il est certain que l’ancien coureur au large fera tout pour briller sur les différentes étapes : « C’est certain que nous serons les seuls représentants français. Je ne me mets aucune pression mais si je peux porter les couleurs d’ENGIE et de la France au plus haut ça serait formidable. Pour en revenir à l’équipe, tous ont énormément travaillé, que ce soit de leur côté ou bien sur le bateau (ndlr : récupéré suite aux épreuves à Oman il y a 10 jours). Il y a une réelle cohésion de groupe et même à terre, Julien Grancher a réalisé un travail extraordinaire pour nous fournir la meilleure plateforme possible pour régater et engranger de bons résultats. »

Une saison 2017 qui débute donc en Italie sur le lac de Garde pour ensuite prendre la direction du sud de la Sardaigne. Le port de Villasimius accueillera les GC32 du mercredi 28 juin au samedi 1er juillet. Cap ensuite vers l’Espagne et Palma de Majorque du mercredi 2 au samedi 5 aout pour la troisième manche, la quatrième se tiendra quant à elle à Calvi en Corse, du mercredi 13 au samedi 16 septembre. Du jeudi 12 au dimanche 15 octobre la cité phocéenne accueillera la dernière épreuve de la saison.
Il faudra à Sébastien Rogues, Gurvan Bontemps, Jean Baptiste Gellée, Antoine Joubert et Benjamin Amiot faire preuve de lucidité dès les premières manches car sur ce circuit seule la régularité au plus haut niveau permet d’accéder au podium.
Avec une cinquième place acquise en 2016 à 7 points du podium et une expérience riche, le Team ENGIE a désormais les cartes en main pour faire de cette nouvelle édition, leur année. A vous de jouer messieurs !

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2ème édition de la Ligue Nationale de Voile au Havre

La ville du Havre accueillera 18 clubs français pour la 2ème édition de la Ligue Nationale de Voile du 8 au 11 juin, . Unique compétition nationale interclubs, cet événement permettra notamment de déterminer quels clubs français auront accès à la Sailing Champions League, unique Coupe d’Europe des Clubs. Au programme, trois jours de compétition intenses, qui promettent un beau spectacle.

Tel que le prévoit le règlement de la Sailing Champions League (Coupe d’Europe des Clubs), les épreuves nationales qualificatives doivent remplir au minima deux critères essentiels, à savoir : des équipages dont 100% des membres sont issus du même club et des compétitions se déroulant sur des flottes collectives.

Cette année, ce sera donc au Havre que les clubs français s’affronteront sur une flotte de monotype J80 mise à disposition par la Société des Régates du Havre, dont la candidature a été retenue pour l’édition 2017. Les Havrais succèdent donc aux Rochelais (SRR) dans l’historique de l’organisation de la compétition.

Qui se sélectionnera pour les demi-finales européennes ?

A l’identique des quatorze autres nations qui participent à la Sailing Champions League, la France bénéficie de quatre places pour accéder aux demi-finales de la Sailing Champions League. Déjà qualifiés, grâce à leurs résultats 2016 (1er et 2nd), les clubs de Saint Quentin (Yvelines – 78) et de Saint Aubin Lès Elbeufs (Seine-Maritime – 76) connaîtront donc à l’issue de l’épreuve Havraise ceux qui les accompagneront à Saint-Pétersbourg en août ou St-Moritz en septembre.

Un tracking quotidien pour suivre et faire vivre la compétition

Comme toutes les grandes compétitions internationales (World Cup Series, Extreme Sailing Series…), la Ligue Nationale de Voile sera équipée du système de tracking de la société SAP. Ce dispositif de suivi des courses en direct ou en replay permettra à tous ceux qui le souhaitent de suivre chaque course et pourquoi pas, pour les clubs engagés, l’occasion d’organiser un temps festif au sein du club pour les autres membres n’ayant pas fait le déplacement.

Nicolas Hénard, Président de la Fédération Française de Voile : « Le concept de la Ligue Nationale de Voile apporte une nouvelle dynamique dans la façon dont nous devons envisager et concevoir nos compétitions. Le Test Event à La Rochelle l’an dernier a permis de valider le concept et nous sommes ravis que Le Havre puisse accueillir l’édition 2017. Je serai au Havre pour rencontrer et échanger avec les clubs présents. Ce sera l’occasion d’évoquer nos travaux en cours et comprendre leurs attentes vis-à-vis de la FFVoile au-delà de la Ligue Nationale de Voile. »

Edward Russo, Président de la Commission Ligue Nationale de Voile : « La Rochelle a été une belle réussite, permettant de sélectionner les deux premiers clubs pour la Sailing Champions League 2017. L’étape du Havre promet une compétition passionnante entre les clubs, qui vont donc se disputer les deux dernières places qualificatives. Cela nous permet de créer en France, avec cette compétition, une véritable dynamique dans les clubs, qui non seulement fédère ses membres, en créant un sentiment d’appartenance fort, mais qui les positionne également parmi les grands clubs français. C’est une compétition pour les clubs et pour leur rayonnement.».

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Avis de course publié pour la Barcelona World Race 2018 – 2019

Xosé-Carlos Fernández, Directeur Général de la FNOB et Antoine Mermod, nouveau Président de la classe IMOCA

La FNOB a présenté à Paris l’Avis de course de la Barcelona World Race 2018 – 2019
La FNOB (Fondation pour la Navigation Océanique de Barcelone) a présenté le 26 avril dernier à Paris l’Avis de course et le nouveau format de la Barcelona World Race 2018 – 2019 à l’Assemblée Générale de la classe IMOCA

L’Avis de course de la Barcelona World Race 2018-2019, dont le départ sera donné le 12 janvier 2019, a été présenté par Xosé-Carlos Fernández, Directeur Général de la FNOB, membre de l’Assemblée Générale et du Conseil d’Administration de la Classe IMOCA. L’équipe technique de la FNOB a travaillé ces six derniers mois avec la Classe IMOCA et l’équipe organisatrice du Vendée Globe pour convenir du nouveau format de la course. L’objectif de ces séances de travail entre la Barcelona World Race et le Vendée Globe était de parvenir à une meilleure coordination entre les deux organisations, mais aussi prendre en compte les suggestions et remarques des teams de la classe IMOCA concernant le format idéal de la course espagnole.

La FNOB a souhaité répondre au maximum aux demandes des skippers qui ont déclaré vouloir participer à la prochaine BWR. Le but étant d’atteindre une plus forte participation et toucher de nouveaux sponsors. L’Avis de course a été très bien accueilli. Dans les prochains jours, le Directeur Général de la FNOB s’entretiendra avec les skippers intéressés.
Parmi les nouvelles règles de cette quatrième édition, le nombre d’étapes change, la Barcelona World Race comprendra deux étapes : Barcelone – Sydney, Sydney – Barcelone. La somme des temps des deux étapes déterminera le classement final. L’escale dans la ville australienne sera obligatoire. Elle permettra aux équipages de faire un point complet, réparer les bateaux si nécessaire et changer de co-skipper s’ils le souhaitent.
Pour télécharger l’Avis de course en français, cliquer sur ce lien.
Comme lors des dernières éditions, la Barcelona World Race (organisée par la Fondation pour la Navigation Océanique de Barcelone) fait partie du Championnat du monde IMOCA, coefficient 8 et de la catégorie ISAF Major Event.

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Participation record au Tour de France à la voile pour ses 40 ans

Le succès se confirme sur le Tour de France à la voile. Jamais le Tour n’a connu un tel engouement. Ce sont à ce jour 31 Teams qui ont confirmé leur participation. Le Team Lorina reste encore l’équipe à battre cette année après sa large domination l’année dernière mais plusieurs équipes se sont préparées plus tôt cette année et ont déjà commencer à les défier. Ce Tour s’annonce plus serré.

Sur la ligne de départ, le 7 juillet à Dunkerque, des grands noms de la course au large qui rejoignent les rangs du Tour à l’image de Paul Meilhat et qui reviennent comme Kito de Pavant ou Bernard Stamm. Les athlètes olympiques et paralympique signent également leur retour en force : Damien Seguin, double champion paralympique et skipper de Team Fondation FDJ – Des Pieds et Des Mains, Sofian Bouvet avec le Team SFS (7ème des J.O. de Rio en 470), Billy Besson avec Team Occitanie – Sud de France (quadruple champion du monde en Nacra 17), Manon Audinet, Félix Pruvot, Sophie de Turckheim, Pierre Leboucher, Noé Delpech (5ème des J.O. de Rio en 49er) ou encore Jason Saunders, le Néo-Zélandais.

En effet, attirés par la nouvelle dynamique du Tour de France à la Voile, les Teams et équipiers internationaux sont de plus en plus présents. Ainsi, ce sont sept nationalités différentes qui seront réunies en juillet : Belges, Suisses, Omanais, Espagnols, Polonais, Britanniques et bien sûr, Français de métropole et des Dom-Tom avec la Guadeloupe et Tahiti.

A noter également, une belle participation féminine avec le retour de Pauline Courtois et son équipage 100% féminin Helvetia by Normandy Elite Team et d’Elodie-Jane Mettraux qui, après la dernière Volvo Ocean Race à bord de Team SCA, revient à ses premières amours en tant que project manager des deux Teams Ville de Genève – CER.

« Une des richesses du Tour, c’est son plateau hétérogène composé de régatiers expérimentés mais aussi de jeunes et d’amateurs » confie Sofian Bouvet, skipper du Team SFS. « Cette régate c’est la rencontre de marins de milieux différents, du multicoque à la course au large en passant par l’olympisme. Cela donne de belles choses : un plateau hyper riche avec plein d’approches différentes et un niveau élevé. »

A l’image de l’avant-saison qui a vu des régates engagées, le Tour 2017 s’annonce relevé. De l’avis de tous, les Teams sont particulièrement préparés et prêts encore plus tôt comme l’explique Quentin Delapierre, skipper du Team Lorina Limonade – Golfe du Morbihan et vainqueur du Tour de France à la Voile 2016 : « Le plateau va être dense pour cette 40ème édition avec des Teams structurés et le retour des athlètes olympiques. »

Un format de course validé

Après la révolution du format sportif en 2016, l’année 2017 sera celle de la confirmation. Alternance de Stades Nautiques et de Raids Côtiers, pavillon noir, finale,… la formule a fait ses preuves et a enthousiasmé les Teams.
Quelques évolutions sont à noter comme le passage des finales de Stades Nautiques de 6 à 8 Diam 24. « Cela ouvre le jeu » confie Quentin Delapierre. « C’est une bonne nouvelle pour les outsiders. À l’avant, il va falloir se battre pour garder sa place car il y aura plus de risques de terminer en seconde partie de tableau. »

Les prétendants à la victoire s’annoncent en effet nombreux et ont déjà animé le haut du tableau lors du Grand Prix Atlantique, du Spi Ouest France ou du Grand Prix Guyader à l’image de Fondation FDJ – Des Pieds et Des Mains, Omansail, Team SFS ou encore Beijaflore sailing. Le Team Lorina Limonade – Golfe du Morbihan, grand animateur lui aussi de l’avant-saison, sait qu’il aura fort à faire s’il veut garder son titre, acquis de façon impériale en 2016.

Le Village Animations, une véritable expérience pour le spectateur

Pour cette 40ème édition, le Village du Tour de France à la Voile a été repensé pour placer le spectateur au cœur de la régate.
Ainsi, parmi les nouveautés, la Zone spectateurs au cœur du Village : toutes les 30 minutes, un Point Course aura lieu depuis cet espace avec une liaison live entre l’animateur et un commentateur embarqué, pour avoir les dernières actus des régates et tout comprendre aux stratégies de course.
La Quotidienne, l’émission TV du Tour sera enregistrée tous les jours en public et en direct entre 15h30 et 16h30 en présence d’intervenants de renom avant d’être rediffusée le lendemain à 11h sur La Chaine l’Equipe. Les Groupes France Télévision et Canal Plus se feront eux aussi le relais des plus belles images du Tour de France à la Voile 2017.

Du côté des animations, un Diam 24 entièrement décoré aux couleurs de la Fondation FDJ sera exposé au cœur du Village, avec des présentations pédagogiques et une animation sailing grinder. Inspiré des IMOCA, les bateaux du Vendée Globe, l’Accromât représentera un vrai challenge pour les spectateurs qui devront monter à plus de 16 mètres de haut grâce au système de l’olivette.

ILS ONT DIT

Jean-Baptiste Durier, Directeur du Tour de France à la Voile
« Cette année nous fêtons la 40ème édition du Tour de France à la Voile ! Rares sont les événements sportifs à afficher une telle longévité… Le succès du Tour tient pour bonne part dans sa capacité à se renouveler. C’est un événement en mouvement qui séduit aujourd’hui plus que jamais les équipages et le grand public. Adopté il y a trois ans, le Diam 24, multicoque rapide et spectaculaire du Tour de France à la Voile est le parfait témoin de cette dynamique. »

Quentin Delapierre, Lorina Limonade-Golfe du Morbihan, vainqueur en 2016
« Cette année, le nombre de Teams en finale des Stades Nautiques et Super Finale à Nice passe de 6 à 8. Cela ouvre le jeu, c’est une bonne nouvelle pour les outsiders. À l’avant, il va falloir se battre pour garder sa place car il y aura plus de risques de terminer en seconde partie de tableau. Le plateau va être dense pour cette 40ème édition avec des Teams structurés et le retour des athlètes olympiques. C’est super pour le Diam 24 et le Tour de France à la Voile ! »

Sofian Bouvet, Team SFS
« Une des richesses du Tour, c’est son plateau hétérogène composé de régatiers expérimentés mais aussi de jeunes et d’amateurs. Cette régate, c’est la rencontre de marins de milieux différents, du multicoque à la course au large en passant par l’olympisme. Cela donne de belles choses : un plateau hyper riche avec plein d’approches différentes et un niveau élevé. »

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C’est parti pour la Mini en mai

Ils sont 70 bateaux à avoir pris le départ ce week end. Dès le premier bord en baie de Quiberon, Ian Lipinski (#865 Griffon) a creusé l’écart avec ses poursuivants, Aurélien Poisson (#679 Roll My Chicken) et Erwan Le Mené (#800 Canopus). Ces derniers ont été au coude à coude jusqu’à une avarie de safran qui a contraint Aurélien à abandonner. Le reste de la flotte étant assez compacte, les passages aux bouées ont été disputés et malheureusement, certains n’ont pu éviter les collisions. Après le parcours côtier de 29 milles dans la baie, Ian Lipinski affirmait une nouvelle fois sa suprématie et comptait déjà 27 minutes d’avance sur Erwan Le Mené et Quentin Vlaminck (#900 Arkema 3).
A 20h30, les positions de tête en Proto restent inchangées.

En Série, Tom Dolan (#910 Offshoresailing.fr), Tanguy Bouroullec (#909 Kerhis CerFrance) et Pierre Chedeville (#887 Blue Orange Games – Voiles des Anges) sont dans un mouchoir de poche depuis ce matin et se tiennent à quelques milles des leaders en Proto.
Malheureusement, onze bateaux ont d’ores et déjà abandonné la course. Des problèmes de safran, des lumbagos ou des pilotes récalcitrants sont venus à bout de Ministes pourtant ultra motivés, comme Adrien Bernard (#463 Blue Gin) qui avait déjà connu des soucis lors de l’édition 2016. Il compte bien revenir l’année prochaine et boucler ce parcours tant convoité. D’autres, tels que Charlotte Méry (#802 Optigestion) ou Rémy Malburet (#495 Sœur Marie Thérèse des Batignolles), sont rentrés au port puis on pu reprendre la route après avoir résolu leur souci technique. Ils font maintenant route vers la baie d’Audierne et tentent de rattraper leurs petits camarades.

La nuit promet d’être sportive avec un vent aux alentours de 20 nœuds et des concurrents qui ne comptent rien lâcher, que ce soit face aux éléments ou à la concurrence.
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L’élite européenne de l’IRC à Marseille !

Déjà une quarantaine de bateaux (allemands, anglais, italiens, espagnols, luxembourgeois, turcs et français) inscrits et plus du double (un millier de régatiers) attendus dans les deux prochains mois, le Marseille 2017 European IRC Championship aura fière allure.

Nicolas Hénard, Président de la FFVoile, présent à Marseille, lors de la dernière SNIM, ne s’y est pas trompé, appelant les équipages indécis à foncer.
IRC0, un Cookson 50 (ITA) pour mater les TP52 ? – “C’est une bonne nouvelle de constater que les forces vives de la voile habitable européenne jaugée IRC s’apprêtent à se confronter à Marseille,“ reconnait Jean-Philippe Cau, président de l’UNCL, l’un des quatre clubs organisateurs, avec le CNTL, la SNM et l’UNM.

La lecture du tableau des inscriptions à deux mois de l’événement laisse augurer un plateau de choix, avec notamment la présence (déjà) de quatre TP52. L’Allemand Phoenix vient se mesurer aux sudistes Arobas2, Alizée et surtout l’inévitable Team Vision Future, roi de la côte méditerranéenne française. Vainqueur incontesté de la dernière SNIM, le bateau varois de Jean-Jacques Chaubard, fait figure de grand favori en IRC0. “Ce qui fait notre force, explique le propriétaire de Team Vision Future, c’est que cela fait sept ans que l’on navigue ensemble…

Chez les étrangers, il faudra aussi surveiller, dans la “catégorie reine“, le bateau italien Endless Game. Le Coockson 50, amarré à Naples tout au long de l’année, vient se frotter pour la première fois à l’élite européenne. Que ce soit le bateau ou l’équipage, c’est une grande découverte, avec humilité, mais non sans ambition. “Notre équipage possède des éléments d’expérience, qui ont, par ailleurs, déjà régaté à Marseille, explique Andrea Falcon, responsable de la communication du projet Endless Game. Citons Pierluigi Fornelli, ancien médaillé de bronze au championnat du Monde de Solling, Davide Inocenti, qui a navigué à bord d’Il Moro di Venezia sur la Coupe de l’America, et encore Luis Doreste, double champion olympique espagnol en 470 (1984) et en Flying Dutchman (1992). Du très haut niveau sur le bateau transalpin.

On sait que la météo est spéciale à Marseille. Petit air ou gros temps, on doit être fin prêt à naviguer auprès des meilleurs, quelle que soient les conditions. Notre objectif ? Faire à peine mieux que ceux qui termineront deuxième“, plaisante-t-il.

Le bateau est neuf. Rapide, drôle et compétitif aux dires d’un équipage, the Red Devils Sailing Team qui navigue ensemble depuis de nombreuses années. Un bateau à suivre de près, notamment dans sa confrontation avec les TP52. Les Italiens n’attendent que çà !
IRC4 – Les half-tonner feront-ils la loi ? La présence du half-tonner Sibelius, naviguant habituellement en Atlantique, présente la particularité d’avoir à son bord, le président de l’UNCL, Jean-Philippe Cau. Il fait partie de la dizaine de concurrents déjà inscrits dans cette catégorie, et pourrait s’immiscer dans la lutte pour le titre. Ancien IOR, construit dans les années 70, le half-tonner est un bateau référence puisqu’il fut support lors de la course en solitaire de l’Aurore, puis du Figaro. Les dernières unités furent construites à la fin des années 80. Leurs propriétaires actuels “adorent“ se frotter aux bateaux modernes et venir les titiller. Il y a fort à parier que l’on en retrouvera quelques autres début juillet.

L’ORCI invité de prestige – Le Marseille 2017 IRC European Championship sera l’occasion de rassembler un maximum de bateaux compétitifs, gage d’un enjeu renforcé et d’une confrontation plus pointue sur l’eau. Dans l’optique du Championnat du Monde de course au large 2018 (La Haye), organisé en ORC et en IRC, l’UNCL offrira un certificat IRC aux bateaux détenteurs d’un certificat ORCi2017 qui lui en feront la demande. “Nous encourageons les bateaux de la jauge ORCi à venir se mesurer aux IRC“, précise le président de l’UNCL. Afin de pouvoir organiser la compétition sur terre et sur mer, dans les meilleures conditions possibles, la deadline des inscriptions est fixée au 28 juin 2017. Mais leur tarif sera majoré passé le 31 mai.

Le programme :
Les bateaux devront être à quai, amarrés à la Société Nautique de Marseille, le 5 juillet, à 9h00 (dernier délai). La journée sera consacrée aux confirmations des inscriptions, inspections et contrôles de jauge.
Les quatre jours de la compétition se déclineront en parcours tactiques et côtiers, incluant une grande course.
La cérémonie d’ouverture se déroulera à l’UNM, mercredi 5 juillet, tandis que la cérémonie de remise des prix se tiendra au CNTL, le dimanche 9 juillet.
Les bateaux seront amarrés et regroupés chaque jour, sur les quais de la SNM (Quai de Rive-Neuve).

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