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Tag Heuer aime les sports nautiques !

Tag Heuer Sport Vision
Tag Heuer Sport Vision

Matériaux de très haute technologie, design intégré d’avant-garde, confort ergonomique exceptionnel sont les principales caractéristiques de cette collection de lunettes haut de gamme destinées aux hommes et aux femmes actifs.

Bateaux à voile ou à moteur, jet ski, wind surf, surf et body board… la pratique des sports nautiques nécessite le port de lunettes particulièrement adaptées à ce milieu : légèreté, parfaite adhérence dans l’action en milieu humide, verres permettant une vision précise des reliefs de vagues sans interférence de réverbérations, ni de gêne due aux embruns…

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Drouglazet l´emporte à Cuba

Victoire de Eric Drouglazet
DR

Ne quittant jamais les premiers rôles depuis le départ de Saint-Nazaire le 3 avril dernier, Eric Drouglazet était passé en tête le 16 avril à 5 h. Il était privé de liaison satellite et ne pouvait donc plus communiquer avec la terre depuis douze jours. De plus, Eric Drouglazet ne disposait que d’informations météo extrêmement limitées pour le finish palpitant qui s’est dessiné au large de la base américaine de Guantanamo, quand toute la flotte s’est resserrée pour le sprint final.
C’est la première fois que l’arrivée d’une course transatlantique est fêtée à Cuba. A Cienfuegos, ville de 100 000 habitants surnommée « la perle du sud », l’accueil des autorités et de la population locale est à la hauteur de l’exploit d’Eric Drouglazet : formidable. Visiblement fatigué et très ému, le navigateur satisfait en ce moment même aux exigences d’une première conférence de presse. Ses suivants immédiats, Gildas Morvan (Cercle Vert) et Charles Caudrelier (Bostik) sont attendus sur la ligne dans les deux heures qui viennent. Et la lutte pour le podium est acharnée dans la baie de Cienfuegos où un incroyable regroupement général a eu lieu, alors que pendant la traversé de l’Atlantique, les écarts entre les bateaux ont été parfois jusqu’à 450 milles, soit plus de 830 kilomètres.

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Dame Ellen MacArthur de retour sur l´eau

Ellen MacArthur / Castorama
DR

Castorama de retour sur l´eau pour de nouveaux tests
Depuis son retour à Lorient début mars, le trimaran a été mis en chantier pendant sept semaines pour une vérification et une remise en état complètes. Les six hommes de l’équipe technique, dirigée par le Project Manager Oli Allard, ont travaillé d’arrache-pied pour remettre Castorama en configuration de navigation pour quelques tests sous voiles. « La remise en état s’est très bien passée – il n’y a pas eu de trop mauvaises surprises. Les réparations et améliorations se sont déroulées comme prévu. Ellen va rapidement pouvoir naviguer à nouveau, » a déclaré hier Oli. Le chantier s’est concentré autour de zones clés de la structure du bateau, le mât et le gréement, les voiles, l’accastillage et l’électronique ainsi que sur de nombreux points de détails inhérents à ce type de chantier. « La structure générale du bateau est bonne lorsqu’on considère qu’il a déjà parcouru 48 000 milles depuis sa mise à l’eau il y a 15 mois en janvier 2004. Nous avons dû travailler sur l’arrière du bateau suite aux mouvements du boîtier de safran tribord. Nous les avons supprimés en renforçant les charnières, » a expliqué Oli. « L’accastillage était dans un état prévisible après autant de milles parcourus. Tout a été remplacé ou réparé. Le plus gros du travail concernait le mât et notamment la boule de pied de mât, petite pièce de 80mm qui supporte l’ensemble du gréement ( jusqu’à 60 tonnes). Nous avons découvert une fissure de 4 mm dans la partie de mât qui repose sur cette boule. Sur le conseil de nos ingénieurs d’HDS, nous avons remplacé cette pièce ainsi que la boule elle-même. » L’ensemble du jeu de voiles a été inspecté et réparé chez North Sails, à Vannes, tandis que Future Fibres a remplacé 99% du gréement courant. « Nous avons tiré nos premiers bords avant-hier par 15 nœuds de vent médium, des conditions idéales pour ce que nous souhaitions réaliser. Nous avons terminé le réglage du mât et attendons maintenant le retour d’Ellen à Lorient à la fin de la semaine afin de compléter notre programme de tests, » conclut Oli.

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C’est la lutte royale

Eric Drouglazet - Crédit Maritime/Zerotwo
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Pas un bookmaker n’aurait parié un peso sur tel scénario. Un final à couper le souffle – mais, on l’espère, pas celui d’Eole – se met en place à vingt ou trente heures d’une arrivée à Cienfuegos qui s’annonce sublime. « Vous noterez que le quatuor de tête est composé de trois vainqueurs de la Solitaire plus le gagnant du Trophée BPE 2001, ce qui est somme toute révélateur de l’exigence de cette course…» Une fois de plus Lionel Péan voit juste. La lutte finale est engagée. Elle est royale. Demain, on saura qui sera le premier capitaine triomphant au ponton de Cienfuegos. Et tout peut encore se jouer au cœur même de la baie, dans d’ultimes bords « au couteau », comme ont coutume d’imager nos douze pirates des Caraïbes. Avantage, pour l’instant, à Eric Drouglazet. En profitant le premier d’un flux d’est soutenu revenu la nuit dernière (« 18-20 nœuds établis, j’ai vu jusqu’à 28 dans une rafale », assure Gildas Morvan), le skipper de Crédit Maritime Zerotwo a plus que doublé son avance par rapport à hier : il dispose désormais d’un capital de 29,4 milles sur le Cercle Vert de Gildas Morvan et à peine plus sur le Bostik de Charles Caudrelier, puisque ces deux-là, à l’image des magnifiques boxeurs cubains, naviguent au contact. Se rendent coup pour coup. Pour faire bonne mesure, Dominic Vittet vient se mêler lui aussi à l’ultime bataille. Il a chipé cette nuit la 4e place à Samantha Davies (Skandia), ajoutant ainsi un lauréat de la mythique Solitaire au dernier carré. Son Atao Audio System n’est plus qu’à 35 milles d’Eric Drouglazet.

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Sortie aujourd´hui du livre officiel sur le Vendée Globe 2004-2005

Le livre Officiel du Vendée Globe
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Après un départ en fanfare, la course a vite tourné à la régate planétaire, laissant place à des duels inédits et s’achevant dans un final en apothéose.

Bravant leur peur et les multiples dangers que recèle le tour de la planète mer, ces vingt skippers en quête d’absolu ont été suivi depuis la terre par quatre journalistes spécialisés qui chaque jour, à l’autre bout du monde, ont partagé leurs joies et leurs peines, leurs réussites et leurs échecs, leurs moments de bonheur et leurs angoisses passagères.

Ce livre est le récit de ce que fut le quotidien de cette course exceptionnelle et de ces 20 marins hors norme…

• Auteurs : Pierrick Garenne, Loic Le Bras, Nicolas Raynaud, Denis Van den Brink
• Editeur : Mer & Média
• Beau livre, grand format (230 X 230 cm)
• 240 pages – 500 photos, cartes et illustrations
• Prix public TTC : 39,90 €

Vous pouvez le commander directement dans la rubrique boutique de notre site

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Télégramme Tresco Trophée

Figaro 2 Benoît Petit - Défi Santé Voile
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Sacré Yvon ! L´an passé, il n´avait pas caché son désir de passer la barre et de participer au Tresco non plus en tant qu´organisateur, mais sur son nouveau X 43. “Ça me démange de retrouver la régate, dit-il. Ce n´est pas pour cette année, mais c´est promis, ce sera pour 2006″”. Dont acte. Une fois encore, Yvon Quillec, entourée d´une équipe ô combien efficace, sera le maître d´œuvre de cette 22e édition du Tresco Trophée. A plus d´une semaine du coup de canon, plus de 110 inscriptions fermes étaient arrivées sur le bureau du YC Morlaix. Un chiffre qui satisfait largement les organisateurs qui ne peuvent aller au-delà de 120 bateaux, la capacité du port étant limitée.

Du niveau en Figaro

De plus, cette année, l´Obélix Trophy et le Tresco Trophée ne sont séparés que de trois jours : malgré ce court délai, plusieurs concurrents vont s´empresser de convoyer les bateaux, de Bénodet à Morlaix, dès dimanche soir.
Comme d´habitude, les concurrents seront répartis en cinq groupes : “”côtiers””, “”course””, “”grande course””, “”course au large””, et “”régate””.
Dans ce dernier groupe, avec les Figaro 1 (6 engagés) et 2 (5 engagés également), le niveau sera relevé avec la présence de Bruno Jourdren (“”D´Aucy””), de Benoît Petit (“”Défi Santé Voile””) et d´Oliver Krauss (“”Espoir Crédit Agricole””). Le Brestois Nicolas Audigane sera également présent à la barre de son redoutable Bongo 9.60. En “”Grande Course””, Philippe Delaporte et son J 109 “”Pen Azen”” auront du fil à retordre avec le X 43 de Philippe Quillec.

Les vainqueurs reviennent

Preuve de l´attachement des skippers à cette épreuve à nulle autre pareille -“”avec le Tour du Finistère, c´est la seule course à proposer une étape de nuit””, note le président-, les vainqueurs reviennent régulièrement remettre leur titre en jeu. Absent en 2004 pour cause de gros travaux sur son Armagnac MK2, Ti´ Claude Tanniou (“”Weldom””) va tenter de réussir la passe de quatre en “”côtiers”” après ses succès en 2000, 2001 et 2002. En Figaro 2, le vainqueur 2004, toutes classes confondues, Oliver Krauss espère monter de nouveau sur la plus haute marche du podium. A la barre de “”Scillonia””, Philippe Quillec avait triomphé en 1993, tandis que le Roscovite Jacques Hamon (1er en 1995 à la barre de “”Avel Ben II””) aimerait bien démontrer une fois encore que même un “”vieux”” bateau, à savoir une Folie Douce, peut vaincre des unités plus récentes. Enfin, Patrick Thomas, lauréat en 2003 avec son First 36.7 “”Roch´Hélou””, sera sur la ligne, cette fois à la barre du redoutable JPK. Plus loin encore dans le palmarès, on trouve trace d´un certain Laurent Clech, vainqueur du Tresco en First Class 8 en… 1986. Le licencié du YC de Morlaix revient cette année. Marée oblige, cette année, le premier départ sera donné mercredi à 16 h 30 pour les “”côtiers””, les “”Grande Course”” partant environ une heure plus tard.

P.E

– Pour tout renseignement : Yacht Club de Morlaix. Tél : 02. 98. 88. 38. 00. Fax : 02. 98. 88. 44. 83. Adresse e-mail : ycmorlaix@wanadoo.fr
Site internet : www.yc-morlaix.com”

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Médiatis Région Aquitaine chavire, son skipper est sain et sauf

Médiatis Région Aquitaine / Yves Parlier
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Le chavirage a eu lieu lors de la deuxième tentative du record de la distance parcourue sur 24 heures.

Joint sur le cargo, Yves Parlier est revenu sur les circonstances du chavirage : « le bateau s’est mis à accélérer en levant la coque. J’ai eu des difficultés pour choquer la grand voile pour ralentir…je suis sorti sur le pont et j’ai réussi à choquer… mais malgré cela, le bateau s’est progressivement retrouvé sur la tranche et je suis tombé vers la coque opposée… 15 minutes plus tard, le bateau était retourné … ».

Le catamaran, toujours localisé par sa balise, se situe dans l’ouest des Canaries. L’équipe technique de Médiatis Région Aquitaine, basée actuellement à Las Palmas de Gran Canaria assure l’opération de récupération du catamaran.

Source Médiatis Région Aquitaine

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IB Group Challenge, ouverture de la saison ORMA

Groumama 2 en action : Le redoutable plan VPLP reprend le chemin de l´entraînement.
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Il va falloir être attentifs, concentrés, en pleine forme, bien coordonnés… pour les six équipages ; révisés, optimisés, fiabilisés, préparés… pour les six trimarans, sortis de leur chantier hivernal il n’y a qu’un mois environ, et pour certains avec encore du travail à finaliser pour espérer être au niveau. Car cette saison 2005 s’annonce chaude : Groupama 2 a mis la barre très haute en fin d’année dernière en imposant sa marque sur les plans d’eau méditerranéens. Tous les teams se sont donc remis en cause cet automne pour combler un déficit sinon abyssal, du moins suffisamment significatif pour que toutes les évolutions mises en place sur le trimaran de Franck Cammas soient adaptées aux autres multicoques : grands foils courbes, mât aile à corde maximale, dérive à trimmer, jeu de voiles neuf, recul des galhaubans, étai sur vérin hydraulique, réorganisation du plan de pont, avancée de l’équipage en navigation, suppression des enduits inutiles, allègement drastique des plates-formes, augmentation de la voilure au portant… La liste est longue et les chantiers ont été toniques pour arriver à participer aux entraînements du Pôle Finistère Course au Large de Port-la-Forêt dès la mi-mars et début avril.

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SOF : Toujours ventée !

SOF - Laser
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Honneur aux Françaises qui signent une bonne journée : Sophie de Turckheim (YC Antibes) remporte la première régate chez les Laser Radial et ses places de 2ème et 3ème dans les manches suivantes l’installent en seconde position du classement général provisoire derrière la Suissesse Corinne Meyer. Solenne Brain (SR Brest), l’autre Française favorite, n’est pas loin. Elle finit sa journée 4ème du général grâce à une progression régulière : 5e, 3e, 2e. Le brillant duo Ingrid Petitjean (SN Marseille) / Nadège Douroux (SN Marseille) confirme son aisance en 470 et ses années de pratique en se plaçant 2ème de la première manche de la journée avant de remporter facilement la seconde et de prendre ainsi la tête du classement. Chez les hommes de cette série, les frères Bonnaud (SN Sablais) sont eux aussi en forme et leur régularité (2e, 3e, 2e) leur permet de conserver la tête du classement devant les Italiens Della Torre / Zandona.
En planche Mistral, si les Françaises tirent leur épingle du jeu des 3 manches courues avec une présence régulière dans les 10 premières places et notamment la 4ème position au général aujourd’hui de Charline Picon (CN La Tremblade), l’impressionnante Ukrainienne Olga Maslivets domine toujours en signant sa 3ème victoire de manche. Leurs homologues masculins brillent une fois encore avec la victoire de Nicolas Beudou (V Lacanau Guyenne). Fabrice Hassen fort de ses 2 victoires dimanche, reste en tête. Beau tir groupé français également en Tornado : 4 Français se placent dans les 10 premiers, et on salue les deux jolies places de 2ème et 3ème de Xavier Revil (SRV Annecy) et Christophe Espagnon (Equipe de France militaire), seconds du général ce soir, qui disputent là leur première SOF ensemble. Rude journée pour les multicoques où on compte 5 abandons. A noter que le double médaillé olympique Mitch Booth n’a pas perdu la main et qu’en duo avec son jeune fils de 17 ans, il flirte encore avec le podium, devant les Français Matthieu Souben (SN Vannes) et Gurwan Bontemps (SN Vannes), cinquièmes. En Finn, Guillaume Florent (YC Dunkerque), s’accroche au peloton avec une place de 9ème au général provisoire alors qu’Hervé Tournieux, en 2 .4, talonne les trois Britanniques du podium dans une flotte presque exclusivement française et anglaise. En Yngling, si l’équipage des derniers JO, Anne Le Helley (SR Rochelaises) / Marion Deplanque (SNO Nantes) / Catherine Lepesant (CV Paris) a été malmené par les conditions dans la première manche, il a montré que la brise pouvait aussi être son terrain de jeu en remportant la seconde et dernière course du jour.
Les 49er étaient aussi à la fête et les premiers Français terminent 7ème, il s’agit de Emmanuel Dyen (CNV Aix les bains) et Yann Rocherieux (SN Sciez), à égalité de points avec les Lorientais Guillou / Monteau (CN Lorient). Pierre Pennec, associé désormais à Stéphane Christidis, n’a pu profiter des conditions du jour : lors d’une embardée, le Rochelais a en effet été victime d’une entorse de la cheville. Très déçu, il n’est pas certain de pourvoir poursuivre la SOF.
Enfin, belles performances de Jérémie Steayert (CV Chatelaillon) et de Thomas Le Breton (SR de Brest), respectivement 4ème et 6ème de deux manches particulièrement physiques dont la dernière est remportée par Jérémie. Thomas était 4ème hier après trois manches disputées.

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Tir groupé devant Cuba

Gildas Morvan - Cercle Vert
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Au chant des centaines de coqs cubains ce matin, la baie de Cienfuegos offre un spectacle incroyable. Dans un clin d’œil sublime d’une rive à l’autre, le soleil a rendez-vous avec la lune pleine. Et y’a de la joie à contempler un instant deux sternes en route pour le paradis couper ce rai de lumière astrale, cet axe sidéral et sidérant qui sera aussi dans quelque jours le sublime trait final de cette transatlantique hors normes. Quelque 400 milles à l’est, une autre ligne magique s’est tracée comme par enchantement entre la pointe de Cuba et celle d’Haïti… et celle-ci ressemble à s’y méprendre à une nouvelle ligne de départ ! « Le spectacle est extraordinaire ce matin », s’enthousiasme le marseillais Marc Emig, «on est deux, trois, quatre bateaux sur la même ligne. On vient de faire 4000 milles, de traverser un océan et on recommence. C’est incroyable ! »Voilà. L’impensable scénario est en place. Regroupement général. Bataille rangée à vue. La guerre de Troie aura bien lieu. Il n’y a plus que 36 milles d’écart entre le premier et le dixième. Moins de 10 milles séparent le cinquième bateau (Atao Audio System) du dixième (Coutot Roehrig). Dix bateaux sur douze peuvent prétendre à la victoire. Rupture de stock sur les points d’exclamation !

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