Avec le refus du gouvernement néo-zélandais de subventionner Team New Zealand à un moment où l’équipe manque de liquidités, les responsables du syndicat soulignent que les partenaires commerciaux qui ont déjà collaboré avec lui lors de la dernière Coupe se disent tous prêts à rejoindre le projet y compris le partenaire principal Emirates. Cependant, ils attendent tous des informations sur le plan d’eau qui accueillera la Coupe et ne sont pas prêts à financer l’équipe jusqu’à ce moment-là. Avec le risque de ne pas connaître le nom de la ville d’accueil (San Diego, Chicago ou les Bermudes) avant la fin de l’année, c’est ainsi que les soucis financiers de Team New Zealand risquent de perdurer dans l’immédiat.
Dean Barker est revenu à la charge aussi lors d’un entretien à la télé hier en déclarant que le financement du gouvernement lors de la dernière Coupe n’était pas une contribution des contribuables, mais un investissement dans l’économie. Il veut surtout effacer l’image donnée dans certains médias que l’argent du contribuable ne sert qu’à donner un salaire élevé aux dirigeants de l’équipe, précisant qu’il faut employer des architectes, des techniciens et des équipiers et non seulement des patrons.
