Premières réactions d´Aymeric Belloir

    Arrivée Aymeric Belloir
    DR

    Sa course : « C’était compliqué à gérer. Il fallait savoir appuyer quand il le fallait mais aussi mettre le frein quand les conditions devenaient trop dures. La première nuit, j’ai tout affalé devant et j’ai navigué voiles en ciseaux, plein vent arrière. Je n’étais certainement pas le plus rapide, mais j’avais une très bonne progression sur la route… »

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    La casse : « J’ai cassé dès les premières heures de course mon rail de hâle-bas de bôme. J’ai aussi plié un chandelier. Finalement à quelque chose malheur est bon, j’ai pu récupérer un bout du chandelier pour faire une attelle sur la bôme. »

    Sa navigation : « J’avais déjà un peu creusé en arrivant sur les Canaries, mais j’étais encore sous la menace de Justine et Simon. Il fallait faire ses choix de trajectoires à ce moment-là et derrière les choses se sont bien enchaînées. Quelques jours après le passage de Gran Canaria, j’ai vu que la météo favorisait la tête de course. J’en ai profité pour gérer ma course, soigner mes trajectoires. »

    Son seul souci :« Le seul souci, c’était l’écoute du bulletin météo à la BLU. Il y avait tellement d’interférences que j’étais obligé de l’écouter au casque, avec le volume à fond. Je sortais de là avec des acouphènes, c’était horrible… »