Michèle Paret raconte l’ambiance, quelques dizaines d’heures avant le Cap Horn : "C’est plafond bas, on a une visibilité qui n’excède pas les 2, 3 milles, il bruine, l’air est saturé à 100% d’humidité. On a touché un peu d’air, on est toujours en avant du front, on aimerait avoir un peu plus de vent, il n’y a pas trop de vagues à surfer mais on arrive quand même à avoir une bonne vitesse. Le front arrive sur nous doucement, mais il ne devrait pas nous rattraper avant le Horn…"
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