Ericsson revu de fond en comble

    Volvo Ocean Race-Ericsson
    Volvo Ocean Race-Ericsson

    Ericsson, qui avait connu des problèmes de basculement de quille sur la fin de la première étape, a été vérifié sous toutes les coutures avant le départ de la seconde manche. Un sprint à hauts risques vers Melbourne, avec du vent et des glaçons au programme : "C’est étrange de se dire, alors que nous cuisons sur place à Cape Town, que nous allons bientôt passer de "trop chaud à "très froid", note le skipper. Les bateaux sont plus tactiques, plus puissants, plus légers que par le passé, aussi il va falloir aborder les mers du sud avec prudence". Un avis partagé par l’ensemble de l’équipage, par ailleurs pas insensible au côté sauvage et démesuré de l’Indien, comme le souligne l’Australien Tom Braidwood : "C’est très beau dans le sud. En naviguant dans ces coins-là, tu te rends compte à quel point tu y es seul et vulnérable. Les dauphins et les albatros y mènent leur petite vie de tous les jours, et tu te sens comme un poisson hors de l’eau – tu sais que tu n’as rien à faire là".

    - Publicité -

    JB (source Ericsson)