"Cela ressemble à une course de rallycross sur des routes de campagne avec plein de nids-de poule sous une pluie torrentielle, sans phare pour éclairer le chemin. Tout fonctionne à bord, mais le conducteur est quelqu’un que vous ne connaissez pas et auquel vous ne faites pas entièrement confiance…"
C’est avec ces mots que Dee Caffari décrit son week-end à bord d’Aviva au milieu de l’Atlantique. Avec cinquante nœuds de vent, le monocoque en convoyage retour de The Artemis Transat a atteint une vitesse de 28,3 nœuds, mais la navigatrice britannique dit que cette expérience l’a empêché de dormir, car il fallait se cramponner de toutes ses forces pendant cette longue course aux montagnes russes.
Dee Caffari sur les montagnes russes
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