Thomas Rouxel, skipper du Figaro Crédit Mutuel de Bretagne, à prpos de la première étape de La Solitaire, 515 milles entre Le Havre et Gijon : «J’espère qu’il y aura du vent, parce que si on est obligé de mouiller toutes les six heures, ça ne va pas être de la tarte! Si ça ne part pas vite, on va rapidement voir des écarts se creuser pour peu que certains d’entre nous restent bloqués par la renverse à Barfleur (pointe nord est du Cotentin. Ceci dit, on part avec un courant favorable et si le vent est de la partie, nous passerons tous en même temps. La première séparation de la flotte pourrait bien avoir lieu, du coup, au Raz de Sein où, là encore, il y aura du courant ».
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