Gildas Morvan (Cercle Vert, leader)
"Je suis un plus pessimiste sur la route nord, même si on peut encore aller dans le sud… On pourrait bien dans deux jours, tous se retrouver à un point de croisement obligatoire pour un nouveau départ. Un Porto Santo bis ! Même si on va vite encore ! (10/11 nœuds), j’ai un peu peur qu’en dessous, ils aillent encore plus vite !"
Corentin Douguet (E. Leclerc / Bouygues Telecom, 2e à 3,2 milles)
"Le recroisement bâbord n’est pas si catastrophique pour l’instant puisqu’on a réussi à préserver notre classement. En distance au but, on gagnerait même peu de terrain, mais si on étudie les différents scénarii possibles… d’une part, il n’y en a pas beaucoup, et d’autre part, ce n’est pas à notre avantage ! Ceci dit les écarts quand on va se croiser de nouveau ne vont pas être énormes et après, il y a aura encore un paquet de chemin à faire… "
Dominic Vittet (ATAO Audio System, 13e à 56 milles)
"Tout est une question de confiance dans l’avenir et du moment où on décidera de passer à la caisse. Aujourd’hui, la solution la plus enviable du plan d’eau, c’est Siemens qui l’a, quand on regarde l’avenir météo des prochains jours… Potentiellement, les sudistes sont bien placés et les nordistes sont morts ! Après, il y a ceux qui jouent la distance au but comme Aquarelle, Brit Air et nous même, mais ce n’est pas la meilleure des situations."
